− Monsieur le Ministre de l’Economie, des Finances et de l’Industrie de la République française,
− Mesdames et Messieurs les Hauts Responsables du Ministère en charge de l’Economie et des Finances,
− Mesdames, Messieurs,
C’est un grand honneur pour moi de prendre la parole ce matin, à l’occasion de la signature de l’Accord entre le Ministère de l’Economie et des Finances de Côte d’Ivoire et le Groupement d’intérêt public dénommé Assistance au Développement des Echanges en Technologies Economiques et Financières (ADETEF), en vue de la mise en place d’un Institut des Finances en Côte d’Ivoire.
Je voudrais saisir cette opportunité pour exprimer, au nom des plus Hautes Autorités de l’Etat, mes sincères remerciements à l’endroit de la France, pour le soutien constant qu’elle n’a cessé de matérialiser à l’endroit de la Côte d’Ivoire dans le cadre de la normalisation post crise.
Ce soutien a permis, non seulement, de rendre effective la reprise, mais aussi et surtout, de conclure un programme à moyen terme ayant abouti, il y a deux jours, à l’atteinte du point d’achèvement de l’initiative en faveur des Pays Pauvres Très Endettés (PPTE).
C’est dire, Monsieur le Ministre de l’Economie et des Finances, que votre pays a aidé la Côte d’Ivoire à s’inscrire dans une dynamique de long terme, permettant d’offrir des perspectives prometteuses pour les populations ivoiriennes, qui ont tant souffert de ces années de crises.
La signature de l’Accord de ce jour est la marque même de la poursuite de cet engagement, en faisant en sorte de créer les conditions permettant de renforcer et de pérenniser les acquis.
Mesdames et messieurs,
La création de l’Institut des Finances à Abidjan est une initiative que nous avons accueillie avec soulagement, en ce qu’elle contribue au double objectif de repositionnement économique de la Côte d’Ivoire et de renforcement de l’intégration sous régionale.
En effet, l’ambition du Gouvernement, avec à sa tête le Président de la République, est de faire de la Côte d’Ivoire un pays émergent à l’horizon 2020.
Pour y parvenir, il nous faut un service public doté d’une capacité opérationnelle à la hauteur des attentes des populations et des besoins du secteur privé.
C’est pourquoi, après plusieurs années de crises qui ont affecté notamment la qualité des ressources humaines, le renforcement des capacités et la remise à niveau du personnel des Administrations Economiques et Financières s’imposent comme une exigence, pour mieux faire face aux défis de la reconstruction et de la relance.
L’Institut des Finances devrait donc contribuer à l’efficacité de l’Administration Publique, et améliorer ce faisant, la gestion des politiques économiques, celle de l’aide au développement, des projets et programmes d’investissement, et de façon spécifique, garantir un meilleur accompagnement du secteur privé.
Nous sommes convaincus que, de la qualité et de l’efficacité de l’Administration publique, dépend le dynamisme du secteur privé, que nous entendons mettre au centre de notre politique de relance durable de la croissance.
Par ailleurs, cet Institut va constituer un instrument de renforcement de l’intégration, à travers la qualité de ses programmes et la couverture de l’ensemble des pays de la sous région ouest africaine.
Aussi, m’adressant à la Présidente de l’ADETEF, voudrais-je donner l’assurance que les Autorités ivoiriennes prendront toutes les dispositions nécessaires pour rendre très rapidement fonctionnel l’Institut des Finances.
C’est sur ces mots que je voudrais clore mon propos, en réitérant mes remerciements à tous et en souhaitant plein succès à l’Institut des Finances d’Abidjan.
Merci de votre aimable attention.
− Mesdames et Messieurs les Hauts Responsables du Ministère en charge de l’Economie et des Finances,
− Mesdames, Messieurs,
C’est un grand honneur pour moi de prendre la parole ce matin, à l’occasion de la signature de l’Accord entre le Ministère de l’Economie et des Finances de Côte d’Ivoire et le Groupement d’intérêt public dénommé Assistance au Développement des Echanges en Technologies Economiques et Financières (ADETEF), en vue de la mise en place d’un Institut des Finances en Côte d’Ivoire.
Je voudrais saisir cette opportunité pour exprimer, au nom des plus Hautes Autorités de l’Etat, mes sincères remerciements à l’endroit de la France, pour le soutien constant qu’elle n’a cessé de matérialiser à l’endroit de la Côte d’Ivoire dans le cadre de la normalisation post crise.
Ce soutien a permis, non seulement, de rendre effective la reprise, mais aussi et surtout, de conclure un programme à moyen terme ayant abouti, il y a deux jours, à l’atteinte du point d’achèvement de l’initiative en faveur des Pays Pauvres Très Endettés (PPTE).
C’est dire, Monsieur le Ministre de l’Economie et des Finances, que votre pays a aidé la Côte d’Ivoire à s’inscrire dans une dynamique de long terme, permettant d’offrir des perspectives prometteuses pour les populations ivoiriennes, qui ont tant souffert de ces années de crises.
La signature de l’Accord de ce jour est la marque même de la poursuite de cet engagement, en faisant en sorte de créer les conditions permettant de renforcer et de pérenniser les acquis.
Mesdames et messieurs,
La création de l’Institut des Finances à Abidjan est une initiative que nous avons accueillie avec soulagement, en ce qu’elle contribue au double objectif de repositionnement économique de la Côte d’Ivoire et de renforcement de l’intégration sous régionale.
En effet, l’ambition du Gouvernement, avec à sa tête le Président de la République, est de faire de la Côte d’Ivoire un pays émergent à l’horizon 2020.
Pour y parvenir, il nous faut un service public doté d’une capacité opérationnelle à la hauteur des attentes des populations et des besoins du secteur privé.
C’est pourquoi, après plusieurs années de crises qui ont affecté notamment la qualité des ressources humaines, le renforcement des capacités et la remise à niveau du personnel des Administrations Economiques et Financières s’imposent comme une exigence, pour mieux faire face aux défis de la reconstruction et de la relance.
L’Institut des Finances devrait donc contribuer à l’efficacité de l’Administration Publique, et améliorer ce faisant, la gestion des politiques économiques, celle de l’aide au développement, des projets et programmes d’investissement, et de façon spécifique, garantir un meilleur accompagnement du secteur privé.
Nous sommes convaincus que, de la qualité et de l’efficacité de l’Administration publique, dépend le dynamisme du secteur privé, que nous entendons mettre au centre de notre politique de relance durable de la croissance.
Par ailleurs, cet Institut va constituer un instrument de renforcement de l’intégration, à travers la qualité de ses programmes et la couverture de l’ensemble des pays de la sous région ouest africaine.
Aussi, m’adressant à la Présidente de l’ADETEF, voudrais-je donner l’assurance que les Autorités ivoiriennes prendront toutes les dispositions nécessaires pour rendre très rapidement fonctionnel l’Institut des Finances.
C’est sur ces mots que je voudrais clore mon propos, en réitérant mes remerciements à tous et en souhaitant plein succès à l’Institut des Finances d’Abidjan.
Merci de votre aimable attention.
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