- Madame la Présidente,
- Madame la Représentante du Fonds Monétaire International,
- Madame la Représentante de la Banque Mondiale
- Mesdames et Messieurs les Représentants des créanciers de la Côte d’Ivoire
- Mesdames et Messieurs,
Nous arrivons au terme de la session du Club de Paris consacrée ce jour à l’allègement de la dette de la République de Côte d’Ivoire envers ses créanciers bilatéraux membres du Club, après l’atteinte du point d’achèvement du l’initiative en faveur des Pays Pauvres Très Endettés, le 26 juin 2012. Je me félicite de la qualité et de l’efficacité de nos négociations.
C’est un moment historique pour mon pays empreint d’émotion pour moi et la délégation qui m’accompagne. Ce jour, je suis un Ministre des Finances comblé, qui voit ainsi couronnés de succès les efforts déployés depuis de nombreuses années par le Gouvernement ivoirien. Le cheminement a été long, mais nous avons constamment bénéficié de la confiance de nos créanciers, même dans les périodes les plus incertaines de notre histoire.
Les crises successives qu’a traversées la Côte d’Ivoire ont certes repoussé l’atteinte du point d’achèvement, mais n’ont jamais entamé la détermination des autorités ivoiriennes. Si cela a été possible maintenant, c’est grâce à la grande compréhension et au soutien de nos créanciers ainsi que de l’ensemble de nos partenaires, notamment les institutions de Bretton Woods.
L’effort d’allègement de 99,5% du stock que vous venez de nous consentir est à la hauteur de notre longue attente et de nos espoirs. En outre, le moment est naturellement bien choisi et devrait amplifier l’impact des allègements de dette que nous venons d’obtenir sur notre économie et sur la vie de nos populations. Il s’agit d’une opportunité offerte à notre pays de réaliser la vision et le programme du Président de la République Son Excellence Monsieur Alassane Ouattara de faire de la Côte d’Ivoire un pays émergent à l’horizon 2020.
C’est pourquoi, j’apprécie à sa juste valeur l’effort consenti par nos créanciers bilatéraux, dans un contexte de crise financière qui contraint leurs propres Gouvernements à des ajustements internes.
Je voudrais vous confirmer que la Côte d’Ivoire en fera un bon usage et poursuivra les programmes de reforme engagés, en particulier, pour renforcer la gouvernance économique et financière et améliorer l’environnement des affaires en vue de consolider la croissance, réduire le chômage des jeunes et faire reculer la pauvreté.
Enfin, la Côte d’Ivoire s’attachera à demeurer un pays libéral et ouvert. Les conditions sont désormais réunies pour accueillir davantage d’investissements directs étrangers en soutien aux efforts internes, dans le cadre de notre Plan National de Développement.
Je vous remercie de votre aimable attention.
- Madame la Représentante du Fonds Monétaire International,
- Madame la Représentante de la Banque Mondiale
- Mesdames et Messieurs les Représentants des créanciers de la Côte d’Ivoire
- Mesdames et Messieurs,
Nous arrivons au terme de la session du Club de Paris consacrée ce jour à l’allègement de la dette de la République de Côte d’Ivoire envers ses créanciers bilatéraux membres du Club, après l’atteinte du point d’achèvement du l’initiative en faveur des Pays Pauvres Très Endettés, le 26 juin 2012. Je me félicite de la qualité et de l’efficacité de nos négociations.
C’est un moment historique pour mon pays empreint d’émotion pour moi et la délégation qui m’accompagne. Ce jour, je suis un Ministre des Finances comblé, qui voit ainsi couronnés de succès les efforts déployés depuis de nombreuses années par le Gouvernement ivoirien. Le cheminement a été long, mais nous avons constamment bénéficié de la confiance de nos créanciers, même dans les périodes les plus incertaines de notre histoire.
Les crises successives qu’a traversées la Côte d’Ivoire ont certes repoussé l’atteinte du point d’achèvement, mais n’ont jamais entamé la détermination des autorités ivoiriennes. Si cela a été possible maintenant, c’est grâce à la grande compréhension et au soutien de nos créanciers ainsi que de l’ensemble de nos partenaires, notamment les institutions de Bretton Woods.
L’effort d’allègement de 99,5% du stock que vous venez de nous consentir est à la hauteur de notre longue attente et de nos espoirs. En outre, le moment est naturellement bien choisi et devrait amplifier l’impact des allègements de dette que nous venons d’obtenir sur notre économie et sur la vie de nos populations. Il s’agit d’une opportunité offerte à notre pays de réaliser la vision et le programme du Président de la République Son Excellence Monsieur Alassane Ouattara de faire de la Côte d’Ivoire un pays émergent à l’horizon 2020.
C’est pourquoi, j’apprécie à sa juste valeur l’effort consenti par nos créanciers bilatéraux, dans un contexte de crise financière qui contraint leurs propres Gouvernements à des ajustements internes.
Je voudrais vous confirmer que la Côte d’Ivoire en fera un bon usage et poursuivra les programmes de reforme engagés, en particulier, pour renforcer la gouvernance économique et financière et améliorer l’environnement des affaires en vue de consolider la croissance, réduire le chômage des jeunes et faire reculer la pauvreté.
Enfin, la Côte d’Ivoire s’attachera à demeurer un pays libéral et ouvert. Les conditions sont désormais réunies pour accueillir davantage d’investissements directs étrangers en soutien aux efforts internes, dans le cadre de notre Plan National de Développement.
Je vous remercie de votre aimable attention.