Le fédéral de la jeunesse du Front populaire ivoirien (Jfpi) du département de Man a sonné la mobilisation de la base du 27 au 30 juin. Sigui Richard entendait rallumer la flamme militante et plaider pour la libération des cadres du Fpi qui sont, selon lui,
arbitrairement détenus. Après avoir discuté avec les différents secrétaires de section de la vie du parti et de la reprise de ses activités dans la région, Sigui Richard fera remarquer que c’est en ville que les secrétaires de section qui vivent la terreur, sont obligés de se cacher. « Nous ne refusons pas de nous inscrire dans le processus de réconciliation et de paix. Nous voulons une liberté provisoire et le dégel des avoirs de nos cadres. Nous demandons à Ouattara d’aller au-delà de toutes les considérations politiques pour décrisper le climat socio politique national », a-t-il plaidé. Puis d’ajouter : « Le président Laurent Gbagbo a été illégalement attaqué en 2002, mais il a fait des concessions en allant même jusqu’à faire de Soro Guillaume son Premier ministre. Nos militants sont terriblement meurtris et vivent pour la plupart dans la clandestinité. Même les rencontres que nous tenons se font avec la peur au ventre». Même si Sigui Richard reconnait que les militants de Man ne sont pas persécutés, ce n’est pas le cas pour le peuple Wê, qui selon lui, vit le martyr. « La jeunesse du Fpi du département de Man ne fera jamais de coup d’Etat. Même si cela devrait arriver, ce ne sera pas par Man.
La fédération Jfpi Tonkpi, par ma voix, dit sa gratitude au ministre Douati Alphonse et aux autres cadres Fpi qui ont non seulement fait gagner le président Gbagbo lors des deux tours des présidentielles dans le département de Man, mais qui nous soutiennent pour le maintien de la flamme du Fpi dans notre département », soutient le fédéral par intérim.
Doua Ange Kady
(District des montagnes )
arbitrairement détenus. Après avoir discuté avec les différents secrétaires de section de la vie du parti et de la reprise de ses activités dans la région, Sigui Richard fera remarquer que c’est en ville que les secrétaires de section qui vivent la terreur, sont obligés de se cacher. « Nous ne refusons pas de nous inscrire dans le processus de réconciliation et de paix. Nous voulons une liberté provisoire et le dégel des avoirs de nos cadres. Nous demandons à Ouattara d’aller au-delà de toutes les considérations politiques pour décrisper le climat socio politique national », a-t-il plaidé. Puis d’ajouter : « Le président Laurent Gbagbo a été illégalement attaqué en 2002, mais il a fait des concessions en allant même jusqu’à faire de Soro Guillaume son Premier ministre. Nos militants sont terriblement meurtris et vivent pour la plupart dans la clandestinité. Même les rencontres que nous tenons se font avec la peur au ventre». Même si Sigui Richard reconnait que les militants de Man ne sont pas persécutés, ce n’est pas le cas pour le peuple Wê, qui selon lui, vit le martyr. « La jeunesse du Fpi du département de Man ne fera jamais de coup d’Etat. Même si cela devrait arriver, ce ne sera pas par Man.
La fédération Jfpi Tonkpi, par ma voix, dit sa gratitude au ministre Douati Alphonse et aux autres cadres Fpi qui ont non seulement fait gagner le président Gbagbo lors des deux tours des présidentielles dans le département de Man, mais qui nous soutiennent pour le maintien de la flamme du Fpi dans notre département », soutient le fédéral par intérim.
Doua Ange Kady
(District des montagnes )