Ce sont des sentiments de satisfaction qui nous animent parce que nous avons beaucoup appris. Nous avons reçu beaucoup d’informations et je sais que cela va nous aider à mieux appréhender notre mission de représentants du peuple. Pour ce qui est du débat relatif à la candidature du Pdci-Rda en 2015, je pense qu’il ne faut pas mettre la charrue avant les bœufs. Nous sommes un parti organisé, et nous sommes en ce moment en train de préparer les élections municipales et régionales. Après ces élections nous aurons le Congrès. Et figurez-vous que ce n’est même pas à l’occasion du Congrès que le candidat du Pdci sera désigné. Après le Congrès nous tiendrons une Convention. C’est à cette occasion là seulement qu’on pourra désigner le candidat à la présidentielle. Il faut donc attendre la Convention.
Honorable Silué Kagnon (Napié) : « Nous sommes soulagés »
C’est un sentiment de réussite qui nous anime. Nous pensons que l’Assemblée nationale tient le bon bout et que la Côte d’Ivoire va renaitre de ses cendres. Parce que nous avons reçu ici au cours de cette formation tous les rudiments nécessaires pour que nous puissions jouer convenablement notre rôle de représentant du peuple. Nous sommes soulagés.
Honorable Assa Boby (Dimbokro) : « On verra par la suite pour la candidature de 2015 ».
C’est un sentiment de satisfaction, parce qu’il y a d’un côté un renforcement des capacités pour les anciens, et puis des rudiments pour les nouveaux de l’autre coté afin que ceux-ci entrent en fonction en toute connaissance de cause et de façon efficace. Pour répondre à votre question concernant la candidature du Pdci en 2015, je dois dire que c’est trop tôt pour en parler maintenant. Le temps viendra où on parlera de ces choses-là. Qu’on prenne patience pour gérer ce qui doit l’être en ce moment et puis on verra par la suite pour la candidature en 2015.
Honorable Didier Baudoua Kouadio Koffi (Attiégouakro) : « Une formation très utile pour notre travail de parlementaires »
Nous avons d’agréables sentiments. C’est une formation qui a été très utile, et cela va nous aider à faire au mieux notre travail de parlementaire. Pour la candidature du Pdci en 2015, je crois que ce n’est vraiment pas à l’ordre du jour. Nous attendons les réunions des différentes instances avant de prendre les décisions qui s’imposent. Pour l’heure, ce n’est pas à l’ordre du jour…
Honorable Dally Jules (Grand-Zattry): « C’est une très bonne initiative… »
Ce sont des sentiments de fierté qui nous animent. Cette formation va nous permettre de faire face à la mission qui est la nôtre. Nous sommes les représentants du peuple qui attend de nous un travail bien. Or tout ce qui se fait bien est précédé de formation. Là où il n’y a pas d’apprentissage, on tâtonne le plus souvent et on n’arrive pas à bien faire le travail. C’est une très bonne initiative et il faut féliciter ceux qui ont eu l’idée d’organiser cet atelier de formation.
Marius N’dri (Dir. des Sces législatifs de l’Assemblée nationale) : « Le médicament pour le député c’est la bonne loi »
Je suis venu à cet atelier en tant que Consultant. Je suis intervenu sur le thème : « les normes essentielles d’élaboration de bonnes lois ». Il s’agissait de donner aux députés des rudiments dans la mise en œuvre de leurs attributions. Comme vous le savez, le rôle principal du député c’est de voter la loi. Mais il a aussi le contrôle de l’action gouvernementale. Il faut savoir que la nouvelle législature est composée de 80 à 85% de taux de renouvellement. D’où l’importance de cet atelier qui donne aux nouveaux députés quelques rudiments. Le médicament pour le député c’est la bonne loi.
Propos recueillis par Jean Philippe Okann
Honorable Silué Kagnon (Napié) : « Nous sommes soulagés »
C’est un sentiment de réussite qui nous anime. Nous pensons que l’Assemblée nationale tient le bon bout et que la Côte d’Ivoire va renaitre de ses cendres. Parce que nous avons reçu ici au cours de cette formation tous les rudiments nécessaires pour que nous puissions jouer convenablement notre rôle de représentant du peuple. Nous sommes soulagés.
Honorable Assa Boby (Dimbokro) : « On verra par la suite pour la candidature de 2015 ».
C’est un sentiment de satisfaction, parce qu’il y a d’un côté un renforcement des capacités pour les anciens, et puis des rudiments pour les nouveaux de l’autre coté afin que ceux-ci entrent en fonction en toute connaissance de cause et de façon efficace. Pour répondre à votre question concernant la candidature du Pdci en 2015, je dois dire que c’est trop tôt pour en parler maintenant. Le temps viendra où on parlera de ces choses-là. Qu’on prenne patience pour gérer ce qui doit l’être en ce moment et puis on verra par la suite pour la candidature en 2015.
Honorable Didier Baudoua Kouadio Koffi (Attiégouakro) : « Une formation très utile pour notre travail de parlementaires »
Nous avons d’agréables sentiments. C’est une formation qui a été très utile, et cela va nous aider à faire au mieux notre travail de parlementaire. Pour la candidature du Pdci en 2015, je crois que ce n’est vraiment pas à l’ordre du jour. Nous attendons les réunions des différentes instances avant de prendre les décisions qui s’imposent. Pour l’heure, ce n’est pas à l’ordre du jour…
Honorable Dally Jules (Grand-Zattry): « C’est une très bonne initiative… »
Ce sont des sentiments de fierté qui nous animent. Cette formation va nous permettre de faire face à la mission qui est la nôtre. Nous sommes les représentants du peuple qui attend de nous un travail bien. Or tout ce qui se fait bien est précédé de formation. Là où il n’y a pas d’apprentissage, on tâtonne le plus souvent et on n’arrive pas à bien faire le travail. C’est une très bonne initiative et il faut féliciter ceux qui ont eu l’idée d’organiser cet atelier de formation.
Marius N’dri (Dir. des Sces législatifs de l’Assemblée nationale) : « Le médicament pour le député c’est la bonne loi »
Je suis venu à cet atelier en tant que Consultant. Je suis intervenu sur le thème : « les normes essentielles d’élaboration de bonnes lois ». Il s’agissait de donner aux députés des rudiments dans la mise en œuvre de leurs attributions. Comme vous le savez, le rôle principal du député c’est de voter la loi. Mais il a aussi le contrôle de l’action gouvernementale. Il faut savoir que la nouvelle législature est composée de 80 à 85% de taux de renouvellement. D’où l’importance de cet atelier qui donne aux nouveaux députés quelques rudiments. Le médicament pour le député c’est la bonne loi.
Propos recueillis par Jean Philippe Okann
