Le couple Tchotche était devant les tribunaux le 15 juin 2012 et l’épouse délaissée attend la grosse pour faire valoir tous ses droits au regard de la loi parce que son mari l’a quittée pour se remarier avec une autre femme à la mairie de Yopougon en 2011.
Une histoire d’amour qui avait pourtant bien démarré en 1978 dans la commune d’Adjamé où les deux tourtereaux résidaient. C’est le 30 mai 1992 que le militaire, ex-champion d’Afrique de boxe catégorie des poids lourds décide de convoler en justes noces à la mairie d’Adjamé avec celle qui a pris son cœur. Leur amour a été couronné par deux enfants (une fille née en 1979 et un garçon né en 1990). L’adjudant Tchotche Sandou Vincent et Mlle Sangaré Fatoumata devenue son épouse légale ont filé le véritable amour jusqu’en 2007 lorsque le mari au motif de participer à des veillées de prière à l’Eglise du Christianisme où il est devenu un fervent fidèle, quitte la maison conjugale. Le pot aux roses sera découvert plus tard. En effet, le boxeur trompait son épouse Sangaré Fatoumata avec la dénommée Atta Elvyne qui, envoie à l’issue de son amant une note à sa rivale pour le lui signifier vertement. Et pour montrer qu’elle est désormais la favorite, Elvyne débarque un jour au domicile conjugal pour vider la propriétaire des lieux. Mal lui en pris. En effet, celle-ci aidée de ses enfants, lui administre une correction à la mesure de son acte.
Atta Elvine doit son salut à la brigade de gendarmerie d’Adjamé-Mirador qui, a pu la sauver. Elle s’en est toutefois sortie avec une fracture au bras. Admis à la retraite en 2007, Tchotche le mari volage, abandonne ses deux enfants et leur maman dans une maison baillée qui coûte en location 90.000 francs/mois. En outre, il a pris le soin de dire au propriétaire de l’immeuble de vider sa femme parce qu’il ne peut plus payer le loyer. Son épouse se sentant flouée, saisit les autorités militaires compétentes en la matière et la CGRAE pour que ses droits lui soient versés. Ce qui a permis à Mme Tchotche Sandou née Sangaré Fatoumata de toucher la somme de 90.000francs/mois sur la pension retraite de son mari qui équivaut à la contribution aux charges du ménage. Toute chose qui ne rencontre pas l’assentiment de l’époux qui, furieux, clame haut qu’il est divorcé d’avec Fatoumata. Ce que refuite cette dernière qui affirme : « Il m’a abandonnée avec mes enfants après 40 ans de vie commune pour aller vivre avec une autre femme à Yopougon quartier Maroc. On attend le verdict de la justice.
M.O
Une histoire d’amour qui avait pourtant bien démarré en 1978 dans la commune d’Adjamé où les deux tourtereaux résidaient. C’est le 30 mai 1992 que le militaire, ex-champion d’Afrique de boxe catégorie des poids lourds décide de convoler en justes noces à la mairie d’Adjamé avec celle qui a pris son cœur. Leur amour a été couronné par deux enfants (une fille née en 1979 et un garçon né en 1990). L’adjudant Tchotche Sandou Vincent et Mlle Sangaré Fatoumata devenue son épouse légale ont filé le véritable amour jusqu’en 2007 lorsque le mari au motif de participer à des veillées de prière à l’Eglise du Christianisme où il est devenu un fervent fidèle, quitte la maison conjugale. Le pot aux roses sera découvert plus tard. En effet, le boxeur trompait son épouse Sangaré Fatoumata avec la dénommée Atta Elvyne qui, envoie à l’issue de son amant une note à sa rivale pour le lui signifier vertement. Et pour montrer qu’elle est désormais la favorite, Elvyne débarque un jour au domicile conjugal pour vider la propriétaire des lieux. Mal lui en pris. En effet, celle-ci aidée de ses enfants, lui administre une correction à la mesure de son acte.
Atta Elvine doit son salut à la brigade de gendarmerie d’Adjamé-Mirador qui, a pu la sauver. Elle s’en est toutefois sortie avec une fracture au bras. Admis à la retraite en 2007, Tchotche le mari volage, abandonne ses deux enfants et leur maman dans une maison baillée qui coûte en location 90.000 francs/mois. En outre, il a pris le soin de dire au propriétaire de l’immeuble de vider sa femme parce qu’il ne peut plus payer le loyer. Son épouse se sentant flouée, saisit les autorités militaires compétentes en la matière et la CGRAE pour que ses droits lui soient versés. Ce qui a permis à Mme Tchotche Sandou née Sangaré Fatoumata de toucher la somme de 90.000francs/mois sur la pension retraite de son mari qui équivaut à la contribution aux charges du ménage. Toute chose qui ne rencontre pas l’assentiment de l’époux qui, furieux, clame haut qu’il est divorcé d’avec Fatoumata. Ce que refuite cette dernière qui affirme : « Il m’a abandonnée avec mes enfants après 40 ans de vie commune pour aller vivre avec une autre femme à Yopougon quartier Maroc. On attend le verdict de la justice.
M.O