ABIDJAN - La Commission nationale de lutte contre les armes légères et de petit calibre (COMNAT-ALPC) a procédé jeudi à Abidjan à la destruction publique des armes de guerre déposées par les ex-combattants de la crise post-électorale, a constaté Xinhua.
Plusieurs armes collectées ont été découpées et détruites à l`aide de scies électriques et de machines, sous le regard des autorités sécuritaires ivoiriennes et onusiennes.
"Il s`agit d`une destruction des armes obsolètes, qui ne sont pas opérationnelles", a expliqué le président de la COMNAT-ALPC le général Désiré Adjoussou, précisant que les munitions hors d`usage seront aussi détruites.
A en croire celui-ci, 1 857 armes ont été collectées à ce jour sur un objectif annuel de 2 500, ainsi que 342 449 munitions sur un objectif de 300 000, et 1 913 grenades.
"Toutes ces armes et munitions sont conservées en lieux sûrs", a-t-il énoncé, soulignant que l`opération concrétise la volonté de la Côte d`Ivoire de s`inscrire au nombre des Etats qui adoptent une politique sérieuse et rigoureuse en matière de collecte et de destruction des armes légères et de petit calibre comme le recommande la Convention de la Communauté économique des Etats d`Afrique de l`Ouest (CEDEAO).
"Notre pays s`est engagé à juste titre dans une dynamique mondiale et régionale de contrôle de la prolifération des ALPC. Oeuvrons ensemble pour une Côte d`Ivoire paisible, sécurisée et stable", a conclu le président de la COMNAT ALPC.
L`opération de destruction publique d`armes s`inscrivait dans le cadre de la célébration (décalée) de la Journée internationale de la destruction des armes qui selon les autorités sécuritaires est l`occasion pour tous les acteurs étatiques de prendre des initiatives visant à mettre en exergue, la problématique des armes et surtout de trouver des stratégies pour réduire leur disponibilité aux mains des populations civiles.
La Commission nationale de lutte contre les armes légères et de petit calibre créée en avril 2009 par le gouvernement, a entrepris plusieurs actions de sensibilisation envers les populations et les communautés en vue du dépôt volontaire des armes et munitions qu`elles détiennent de manière illégale.
Plusieurs armes collectées ont été découpées et détruites à l`aide de scies électriques et de machines, sous le regard des autorités sécuritaires ivoiriennes et onusiennes.
"Il s`agit d`une destruction des armes obsolètes, qui ne sont pas opérationnelles", a expliqué le président de la COMNAT-ALPC le général Désiré Adjoussou, précisant que les munitions hors d`usage seront aussi détruites.
A en croire celui-ci, 1 857 armes ont été collectées à ce jour sur un objectif annuel de 2 500, ainsi que 342 449 munitions sur un objectif de 300 000, et 1 913 grenades.
"Toutes ces armes et munitions sont conservées en lieux sûrs", a-t-il énoncé, soulignant que l`opération concrétise la volonté de la Côte d`Ivoire de s`inscrire au nombre des Etats qui adoptent une politique sérieuse et rigoureuse en matière de collecte et de destruction des armes légères et de petit calibre comme le recommande la Convention de la Communauté économique des Etats d`Afrique de l`Ouest (CEDEAO).
"Notre pays s`est engagé à juste titre dans une dynamique mondiale et régionale de contrôle de la prolifération des ALPC. Oeuvrons ensemble pour une Côte d`Ivoire paisible, sécurisée et stable", a conclu le président de la COMNAT ALPC.
L`opération de destruction publique d`armes s`inscrivait dans le cadre de la célébration (décalée) de la Journée internationale de la destruction des armes qui selon les autorités sécuritaires est l`occasion pour tous les acteurs étatiques de prendre des initiatives visant à mettre en exergue, la problématique des armes et surtout de trouver des stratégies pour réduire leur disponibilité aux mains des populations civiles.
La Commission nationale de lutte contre les armes légères et de petit calibre créée en avril 2009 par le gouvernement, a entrepris plusieurs actions de sensibilisation envers les populations et les communautés en vue du dépôt volontaire des armes et munitions qu`elles détiennent de manière illégale.