ABIDJAN - Le chef de la division des Droits de l`Homme de l`ONUCI, Mohamed Eissa a exhorté à Bouaké ( centre) les préfets et militaires à protéger et à promouvoir les droits de l`homme "sans distinction et sans discrimination", ont indiqué vendredi à Xinhua des sources onusiennes.
Pour M. Eissa qui intervenait à la clôture d`un séminaire sur le respect des droits de l`homme à l`intention des autorités administratives et sécuritaires, le développement, la sécurité et les droits de l`homme sont indissociables.
"Il n`y a pas développement sans sécurité, il n`y a pas de sécurité sans développement, et il ne peut y avoir ni sécurité, ni développement si les droits de l`homme ne sont pas respectés", a-t- il souligné.
Selon les organisateurs, le séminaire visait à mettre à la disposition des participants les outils devant renforcer leurs capacités en matière de respect des droits de l`homme, et devant permettre le règlement pacifique et durable des conflits.
Le porte-parole des participants, le capitaine Eric Hobbah a relevé que chaque acte posé par le militaire dans l`exercice de ses fonctions doit être voué au bien-être des populations et au respect de leur dignité à travers la protection et la promotion de leurs droits.
Plusieurs préfets de région, officiers, et sous-officiers ont pris part à la rencontre de sensibilisation et de formation dont l`initiative émane du ministère ivoirien des Droits de l`homme et des libertés publiques, avec l`appui de certains partenaires dont l`Opération des Nations-Unies en Côte d`Ivoire (ONUCI).
Pour M. Eissa qui intervenait à la clôture d`un séminaire sur le respect des droits de l`homme à l`intention des autorités administratives et sécuritaires, le développement, la sécurité et les droits de l`homme sont indissociables.
"Il n`y a pas développement sans sécurité, il n`y a pas de sécurité sans développement, et il ne peut y avoir ni sécurité, ni développement si les droits de l`homme ne sont pas respectés", a-t- il souligné.
Selon les organisateurs, le séminaire visait à mettre à la disposition des participants les outils devant renforcer leurs capacités en matière de respect des droits de l`homme, et devant permettre le règlement pacifique et durable des conflits.
Le porte-parole des participants, le capitaine Eric Hobbah a relevé que chaque acte posé par le militaire dans l`exercice de ses fonctions doit être voué au bien-être des populations et au respect de leur dignité à travers la protection et la promotion de leurs droits.
Plusieurs préfets de région, officiers, et sous-officiers ont pris part à la rencontre de sensibilisation et de formation dont l`initiative émane du ministère ivoirien des Droits de l`homme et des libertés publiques, avec l`appui de certains partenaires dont l`Opération des Nations-Unies en Côte d`Ivoire (ONUCI).