Abidjan, Le chocolatier français CEMOI, présent en Côte d’Ivoire dans la transformation de fève de cacao en produit semi fini, prévoit un investissement 2 milliards dans le pays, "d’ici fin 2012", ainsi qu’un élargissement de ses activités à la fabrication de chocolat, avec un passage de sa capacité de production de 70 000 à 100 000 tonnes.
"D’ici la fin de l’année (2012), grâce à un investissement de 2 milliards de FCFA, la capacité d’achat de fèves du site (unité de production de la zone industrielle) de Yopougon (Abidjan) sera portée à 100 000 tonnes", a déclaré, Mardi, le PDG du groupe CEMOI, Patrick Poirrier, au sortir d’une audience avec le Premier ministre ivoirien, Jeannot Ahoussou-Kouadio.
Selon M. Poirrier, son entreprise qui emploi "plus de 200 personnes" en Côte d’Ivoire, "sera également présent sur le marché ivoirien des entreprise de chocolat", avant la fin de l’année.
Depuis deux ans, la société CEMOI, en partenariat avec le Centre national de recherche agronomique (CNRA) et l’Agence nationale d’appui au développement rural (ANADER), a initié destiné à "multiplier par trois le rendement des plantations de cacao, et d’améliorer significativement la qualité et le revenu des planteurs". Sept mille planteurs participent actuellement à ce programme.
(AIP)
"D’ici la fin de l’année (2012), grâce à un investissement de 2 milliards de FCFA, la capacité d’achat de fèves du site (unité de production de la zone industrielle) de Yopougon (Abidjan) sera portée à 100 000 tonnes", a déclaré, Mardi, le PDG du groupe CEMOI, Patrick Poirrier, au sortir d’une audience avec le Premier ministre ivoirien, Jeannot Ahoussou-Kouadio.
Selon M. Poirrier, son entreprise qui emploi "plus de 200 personnes" en Côte d’Ivoire, "sera également présent sur le marché ivoirien des entreprise de chocolat", avant la fin de l’année.
Depuis deux ans, la société CEMOI, en partenariat avec le Centre national de recherche agronomique (CNRA) et l’Agence nationale d’appui au développement rural (ANADER), a initié destiné à "multiplier par trois le rendement des plantations de cacao, et d’améliorer significativement la qualité et le revenu des planteurs". Sept mille planteurs participent actuellement à ce programme.
(AIP)