L’augmentation des frais d’inscription dans les universités publiques continue de faire couler beaucoup d’encre et de salive. Parents d’élèves et étudiants ne cessent de dénoncer cette mesure des autorités universitaires jugée impopulaire et inopportune surtout en cette période de crise. Le secrétaire général de la Fesci, Mian Augustin, a réagi par une déclaration dont nous vous livrons l’intégralité.
Le mercredi 25 juillet 2012, la conférence des présidents d’université a porté à la connaissance du monde que les frais d’inscription passent de 6000 à 100.000, 200.000 voire 300.000Fcfa.
La Fesci s’est aussitôt réunie en Assemblée générale extraordinaire, le 27 juillet dernier.
Pour la Fesci, cette augmentation intervient dans un contexte particulièrement difficile et rend cette décision unilatérale, impopulaire et suicidaire.
C’est pourquoi, bien qu’étant dans une disposition d’aller à l’école, condamne cette décision qui porte atteinte au droit à l’éducation qui est un droit fondamental et inaliénable.
Elle réitère sa volonté d’aller à une concertation nationale sur l’école ivoirienne, chose qu’elle a toujours réclamée.
La Fesci demande donc aux autorités compétentes de jeter un regard sur le mémorandum déposé auprès du Premier ministre, Jeannot Ahoussou Kouassi, pour que cette concertation se tienne afin de garantir une rentrée académique paisible et réussie.
Vive l’école ivoirienne
Vive la Côte d’Ivoire
Fait à Abidjan, le 27 juillet 2012
Mian Augustin,
Secrétaire général de la Fesci
Le mercredi 25 juillet 2012, la conférence des présidents d’université a porté à la connaissance du monde que les frais d’inscription passent de 6000 à 100.000, 200.000 voire 300.000Fcfa.
La Fesci s’est aussitôt réunie en Assemblée générale extraordinaire, le 27 juillet dernier.
Pour la Fesci, cette augmentation intervient dans un contexte particulièrement difficile et rend cette décision unilatérale, impopulaire et suicidaire.
C’est pourquoi, bien qu’étant dans une disposition d’aller à l’école, condamne cette décision qui porte atteinte au droit à l’éducation qui est un droit fondamental et inaliénable.
Elle réitère sa volonté d’aller à une concertation nationale sur l’école ivoirienne, chose qu’elle a toujours réclamée.
La Fesci demande donc aux autorités compétentes de jeter un regard sur le mémorandum déposé auprès du Premier ministre, Jeannot Ahoussou Kouassi, pour que cette concertation se tienne afin de garantir une rentrée académique paisible et réussie.
Vive l’école ivoirienne
Vive la Côte d’Ivoire
Fait à Abidjan, le 27 juillet 2012
Mian Augustin,
Secrétaire général de la Fesci
Articles associés
Le Mandat - 28 juillet 2012
Inscription à l’Université - La FESCI dit non aux nouveaux tarifs - Mian : ‘‘C’est une décision impopulaire et suicidaire’’
Partis Politiques - 28 juillet 2012
Déclaration du RDR suite à l’annonce de la hausse des frais des inscriptions dans les Universités de Côte d’Ivoire