Abidjan -Saluant la décision de suspension de la hausse des frais d’inscription dans les universités publiques de Côte d’Ivoire, l’ONG PDHRE-CI invite le gouvernement à évacuer tous les problèmes de l’université susceptibles d’entraver la rentrée universitaire de septembre 2012.
Dans une déclaration en date du 2 août, le président de l’ONG PDHRE-CI, Dr Yéo Adama, encourage la concertation entre toutes les parties concernées par le système universitaire, notamment le gouvernement, les étudiants et les enseignants pour accorder leurs violons sur un certain nombre de questions comme le paiement des arriérés de bourses des étudiants, des heures complémentaires des enseignants, afin d’éviter des entraves à la prochaine année universitaire qui démarrera le 03 septembre prochain.
A la population, notamment les parents d’étudiants, l’organisation propose aussi le dialogue avec les autorités universitaires et le gouvernement, en vue de l’obtention de solutions consensuelles et durables dans l’enseignement supérieur.
"Dans cette situation sociopolitique fragile où la Côte d’Ivoire se reconstruit dans la douleur, toute décision brutale, fût-elle porteuse d’un objectif noble, pourrait porter un coup fatal au processus de réconciliation", indique Dr Yéo Adama qui estime qu’il est "impératif que les universités apportent leur pierre à l’édification de la Côte d’Ivoire nouvelle".
Afin d’améliorer la qualité de la formation, le Conseil des présidents avaient décider d’augmenter les frais d’inscription de 6.000 à 100.000 F pour le premier cycle, 200.000 F pour le niveau Master et 300.000 F pour le niveau Doctorat pour doter les universités de moyens adéquats. Mais, le Conseil des ministres a décidé, à sa réunion de mercredi, de suspendre l’application de cette mesure, afin d’approfondir les réflexions sur la question, rappelle-t-on.
(AIP)
kp
Dans une déclaration en date du 2 août, le président de l’ONG PDHRE-CI, Dr Yéo Adama, encourage la concertation entre toutes les parties concernées par le système universitaire, notamment le gouvernement, les étudiants et les enseignants pour accorder leurs violons sur un certain nombre de questions comme le paiement des arriérés de bourses des étudiants, des heures complémentaires des enseignants, afin d’éviter des entraves à la prochaine année universitaire qui démarrera le 03 septembre prochain.
A la population, notamment les parents d’étudiants, l’organisation propose aussi le dialogue avec les autorités universitaires et le gouvernement, en vue de l’obtention de solutions consensuelles et durables dans l’enseignement supérieur.
"Dans cette situation sociopolitique fragile où la Côte d’Ivoire se reconstruit dans la douleur, toute décision brutale, fût-elle porteuse d’un objectif noble, pourrait porter un coup fatal au processus de réconciliation", indique Dr Yéo Adama qui estime qu’il est "impératif que les universités apportent leur pierre à l’édification de la Côte d’Ivoire nouvelle".
Afin d’améliorer la qualité de la formation, le Conseil des présidents avaient décider d’augmenter les frais d’inscription de 6.000 à 100.000 F pour le premier cycle, 200.000 F pour le niveau Master et 300.000 F pour le niveau Doctorat pour doter les universités de moyens adéquats. Mais, le Conseil des ministres a décidé, à sa réunion de mercredi, de suspendre l’application de cette mesure, afin d’approfondir les réflexions sur la question, rappelle-t-on.
(AIP)
kp
