Les jeux olympiques sont terminés pour les ivoiriens. Murielle Ahouré, le dernier espoir qualifié pour la finale de 200 m a terminé à la sixième place derrière de grandes sprinteuses américaine et jamaïcaine. 48 heures plus tôt, l’ivoirienne avait échoué en finale de 100 m. Avant d’en arriver à ces stades de la compétition, Murielle Ahouré s’est qualifiée brillamment en s’imposant aux demi-finales. Il faut le dire tout net. Murielle Ahouré a réalisé de grosses performances pour sa première participation à ces jeux. Car il n’est pas donné à n’importe qui d’arriver en une finale de jeux olympiques.
« J’ai réussi à disputer les finales des deux courses dans lesquelles j’étais engagée. Je suis satisfaite d’autant plus que c’est la première fois que je suis venue aux jeux olympiques. Je manque d’expérience », a-t-elle déclaré en substance sur les antennes de la radio française, Rfi.
En attendant les prochains jeux olympiques, la sprinteuse ivoirienne va se préparer pour les mondiaux d’athlétisme. A 25 ans bientôt, Murielle Ahouré peut encore représenter la Côte d’Ivoire dans les grandes compétitions internationales. C’est le lieu d’interpeller la fédération ivoirienne d’athlétisme et l’Etat. Ils doivent continuer à la soutenir. Mais surtout la fédération doit mener une politique cohérente de formation de jeunes athlètes. De sorte qu’un athlète ne soit trop âgé en arrivant à son stop niveau. Les athlètes comme Murielle Ahouré, on peut en trouver dans l’avenir. Pourvu qu’on mette du sérieux dans le travail.
Ephrem Touboui
« J’ai réussi à disputer les finales des deux courses dans lesquelles j’étais engagée. Je suis satisfaite d’autant plus que c’est la première fois que je suis venue aux jeux olympiques. Je manque d’expérience », a-t-elle déclaré en substance sur les antennes de la radio française, Rfi.
En attendant les prochains jeux olympiques, la sprinteuse ivoirienne va se préparer pour les mondiaux d’athlétisme. A 25 ans bientôt, Murielle Ahouré peut encore représenter la Côte d’Ivoire dans les grandes compétitions internationales. C’est le lieu d’interpeller la fédération ivoirienne d’athlétisme et l’Etat. Ils doivent continuer à la soutenir. Mais surtout la fédération doit mener une politique cohérente de formation de jeunes athlètes. De sorte qu’un athlète ne soit trop âgé en arrivant à son stop niveau. Les athlètes comme Murielle Ahouré, on peut en trouver dans l’avenir. Pourvu qu’on mette du sérieux dans le travail.
Ephrem Touboui