L’hélico du Président de la République fait sensation
Pour rallier Zambakro, le président de la République est venu en hélicoptère. Alors que tout portait à croire que le reste du trajet (Yamoussoukro-Zambakro) se ferait par la route. Après son atterrissage, il a été applaudi par la foule composée des parents des élèves officiers sortants.
La libation du chef de terre arrache des applaudissements.
Il n’est pas passé par quatre chemins pour faire sa doléance au chef de l’Etat, alors qu’il était là pour la libation. Saisissant l’occasion, le dignitaire baoulé a réclamé l’aide du président pour la finition des travaux de l’hôpital de Zambakro et aussi l’octroi d’une ambulance.
Un élève officier s’écroule
Tenir debout pendant 4h ça use. Malgré les carreaux de sucre que partageaient de temps à autre les sapeurs pompiers militaires aux élèves, l’un d’entre eux n’a pu supporter la fatigue. Avant la fin de la cérémonie, il s’est écroulé. Aucun de ses camarades n’a voulu dévoiler son identité. «Ce sont des choses qui arrivent», nous a lancé l’un des pensionnaires de l’EFA.
K.H
Pour rallier Zambakro, le président de la République est venu en hélicoptère. Alors que tout portait à croire que le reste du trajet (Yamoussoukro-Zambakro) se ferait par la route. Après son atterrissage, il a été applaudi par la foule composée des parents des élèves officiers sortants.
La libation du chef de terre arrache des applaudissements.
Il n’est pas passé par quatre chemins pour faire sa doléance au chef de l’Etat, alors qu’il était là pour la libation. Saisissant l’occasion, le dignitaire baoulé a réclamé l’aide du président pour la finition des travaux de l’hôpital de Zambakro et aussi l’octroi d’une ambulance.
Un élève officier s’écroule
Tenir debout pendant 4h ça use. Malgré les carreaux de sucre que partageaient de temps à autre les sapeurs pompiers militaires aux élèves, l’un d’entre eux n’a pu supporter la fatigue. Avant la fin de la cérémonie, il s’est écroulé. Aucun de ses camarades n’a voulu dévoiler son identité. «Ce sont des choses qui arrivent», nous a lancé l’un des pensionnaires de l’EFA.
K.H