ABIDJAN - Les Forces nationales de sécurités et de défense ivoiriennes a commencé le marquage et l`enregistrement des armes mardi à Abidjan, à l`initiative de la Commission nationale de lutte contre la prolifération des armes légères et de petit calibre (ComNat-ALPC).
La cérémonie de remise de kits de marquage s`est déroulée à l`état-major général de l`armée en présence des autorités militaires ivoiriennes et des représentants des structures partenaires dont l`ONU.
Pour le président de la ComNat ALPC, le général Désiré Adjoussou, la gestion des stocks d`armes des bases militaires constitue un enjeu majeur pour la Côte d`Ivoire.
"Les récents événements violents ont mis en exergue la problématique de la circulation des armes légères", a énoncé le général Adjoussou, déplorant le fait que des stocks d`armes emportées aient alimenté le circuit illégal.
"Il est impératif pour la Côte d`Ivoire de garantir la sécurité des stocks d`armes et de munitions", a-t-il soutenu, appelant à un combat tous azimuts contre la prolifération des armes légères.
Dans le cadre de l`opération, plusieurs militaires, gendarmes et policiers devraient être formés aux techniques de gestion et de sécurisation des munitions et explosifs.
La cérémonie de remise de kits de marquage s`est déroulée à l`état-major général de l`armée en présence des autorités militaires ivoiriennes et des représentants des structures partenaires dont l`ONU.
Pour le président de la ComNat ALPC, le général Désiré Adjoussou, la gestion des stocks d`armes des bases militaires constitue un enjeu majeur pour la Côte d`Ivoire.
"Les récents événements violents ont mis en exergue la problématique de la circulation des armes légères", a énoncé le général Adjoussou, déplorant le fait que des stocks d`armes emportées aient alimenté le circuit illégal.
"Il est impératif pour la Côte d`Ivoire de garantir la sécurité des stocks d`armes et de munitions", a-t-il soutenu, appelant à un combat tous azimuts contre la prolifération des armes légères.
Dans le cadre de l`opération, plusieurs militaires, gendarmes et policiers devraient être formés aux techniques de gestion et de sécurisation des munitions et explosifs.