Guillaume Soro chez Ahoussou et Henriette Diabaté :
“Nous devons agir face aux actions terroristes”
Deux heures de huis clos. Une à la Primature et une autre à la Grande chancellerie. C’est le temps qu’a duré les audiences qui ont été accordées successivement au président de l’Assemblée nationale, Guillaume Soro par le Premier ministre Jeannot Ahoussou et la Grande chancelière. Les deux rencontres, sont selon Guillaume Soro qui s’est adressé à la presse, des visites de courtoisies et d’échanges. « Vous savez que face aux légers troubles que le pays a connu, la nécessaire solidarité entre les Institutions recommande que nous, nous retrouvions, pour non seulement apporté notre soutien au gouvernement mais aussi pour échanger des informations utiles dans la quête et la recherche de la sécurité pour les Ivoiriens et la paix pour notre pays », a-t-il indiqué. Tout en remerciant ses hôtes, Guillaume Soro n’a pas manqué de dire que ces deux rencontres leur ont permis de parler de tant de choses, mais surtout mener des réflexions, des pistes de recherches de l’apaisement et du renforcement de la réconciliation dans le pays. « J’ai également partagé certaines informations avec l’un et l’autre. Vous savez, tous les présidents d’institution, mais au delà tous les citoyens lambdas, face à des situations comme celles que nous vivons, ont le revoir de contribuer à la sécurité du pays », a-t-il fait savoir. Il est donc évident que les présidents d’institution qu’ils sont se retrouvent pour parler des questions aussi bien politique que sécuritaire. Particulièrement avec la Grande chancelière, le président de l’Assemblée nationale a indiqué avoir engagé des réflexions, des pistes de recherche pour consolider l’apaisement et renforcer la réconciliation nationale dans notre pays. Il aussi été question du partage de certaines informations. « Tous les présidents d’institution, mais tous les citoyens lambdas, face à des situations comme celles que nous vivons ont le devoir de contribuer à la sécurité du pays », a-t-il fait remarquer. Les échanges ont également porté sur les questions politiques que de sécurité « Face aux attaques terroristes, nous ne devons pas croiser les mains », a-t-il insisté. Contrairement à ce que veulent faire croire les mauvaises, langues ces tournées ne sont une violation du principe de séparation des pouvoirs. « La Constitution de la République de Côte d’Ivoire n’a jamais interdit à un président d’Institution d’entendre les questions de sécurité. Ce que la Constitution n’interdit pas, elle le permet », a-t-il rappelé. Le citoyen ivoirien qu’il est et à plus forte raison, président d’institution, a selon lui, le devoir et la responsabilité d’engager toute action susceptible d’apporter la sécurité en Côte d’Ivoire. « Ce serait irresponsable d’être au banc de la République. La République est faite des Présidents d’institution que des citoyens. C’est ce que nous faisons », a-t-il conclu. Les deux missions ont été jugées, de fructueuses selon Guillaume Soro.
Thiery Latt
“Nous devons agir face aux actions terroristes”
Deux heures de huis clos. Une à la Primature et une autre à la Grande chancellerie. C’est le temps qu’a duré les audiences qui ont été accordées successivement au président de l’Assemblée nationale, Guillaume Soro par le Premier ministre Jeannot Ahoussou et la Grande chancelière. Les deux rencontres, sont selon Guillaume Soro qui s’est adressé à la presse, des visites de courtoisies et d’échanges. « Vous savez que face aux légers troubles que le pays a connu, la nécessaire solidarité entre les Institutions recommande que nous, nous retrouvions, pour non seulement apporté notre soutien au gouvernement mais aussi pour échanger des informations utiles dans la quête et la recherche de la sécurité pour les Ivoiriens et la paix pour notre pays », a-t-il indiqué. Tout en remerciant ses hôtes, Guillaume Soro n’a pas manqué de dire que ces deux rencontres leur ont permis de parler de tant de choses, mais surtout mener des réflexions, des pistes de recherches de l’apaisement et du renforcement de la réconciliation dans le pays. « J’ai également partagé certaines informations avec l’un et l’autre. Vous savez, tous les présidents d’institution, mais au delà tous les citoyens lambdas, face à des situations comme celles que nous vivons, ont le revoir de contribuer à la sécurité du pays », a-t-il fait savoir. Il est donc évident que les présidents d’institution qu’ils sont se retrouvent pour parler des questions aussi bien politique que sécuritaire. Particulièrement avec la Grande chancelière, le président de l’Assemblée nationale a indiqué avoir engagé des réflexions, des pistes de recherche pour consolider l’apaisement et renforcer la réconciliation nationale dans notre pays. Il aussi été question du partage de certaines informations. « Tous les présidents d’institution, mais tous les citoyens lambdas, face à des situations comme celles que nous vivons ont le devoir de contribuer à la sécurité du pays », a-t-il fait remarquer. Les échanges ont également porté sur les questions politiques que de sécurité « Face aux attaques terroristes, nous ne devons pas croiser les mains », a-t-il insisté. Contrairement à ce que veulent faire croire les mauvaises, langues ces tournées ne sont une violation du principe de séparation des pouvoirs. « La Constitution de la République de Côte d’Ivoire n’a jamais interdit à un président d’Institution d’entendre les questions de sécurité. Ce que la Constitution n’interdit pas, elle le permet », a-t-il rappelé. Le citoyen ivoirien qu’il est et à plus forte raison, président d’institution, a selon lui, le devoir et la responsabilité d’engager toute action susceptible d’apporter la sécurité en Côte d’Ivoire. « Ce serait irresponsable d’être au banc de la République. La République est faite des Présidents d’institution que des citoyens. C’est ce que nous faisons », a-t-il conclu. Les deux missions ont été jugées, de fructueuses selon Guillaume Soro.
Thiery Latt