Le chef du gouvernement a présidé, hier, à l’université Houphouet-Boigny de Cocody, la cérémonie d’ouverture ‘’des journées du départ nouveau’’. Il a invité les étudiants à plus de maturité.
Le Premier ministre n’a pas mâché ses mots, hier. A l’occasion de l’ouverture officielle des ‘’Journées du départ nouveau’’ à l’université Houphouet-Boigny de Cocody, Jeannot Ahoussou-Kouadio a appelé les étudiants à opérer un changement total de comportement et de paradigme. Le passage à l’université doit être définitivement compris comme une étape de la vie et non une vie, selon lui. Le chef du gouvernement a également fait savoir que les universités constituent le pilier du développement socioéconomique et culturel, le ciment de l’unité national et l’instrument d’ouverture sur le reste du monde en facilitant l’adaptation à l’évolution du monde. Raison pour laquelle le président de la République, Alassane Ouattara, a décidé d’offrir aux étudiants un cadre propice aux études en déboursant plus de 100 milliards de FCFA pour les travaux de réhabilitation des universités et unités de recherche de l’enseignement supérieur (Ures). «Les étudiants évolueront dans un milieu sain avec des infrastructures rénovées. Ils utiliseront des équipements de dernières générations et entreront dans le système Lmd (Licence, master, doctorat ndlr)», explique-t-il. Toutefois, il a tenu à préciser que la formation académique de qualité est l’enjeu de cet investissement.
Sur la question de l’entretien des institutions rénovées, Jeannot Ahoussou s’est voulu rassurant : «L’Etat s’engage à entretenir les nouvelles installations pour éviter de nouvelles fermetures». Car, selon lui, l’ampleur des dégâts avant la réhabilitation était telle que la communauté internationale doutait de la capacité du gouvernement à relever ce défi. Puis, il a invité chaque Ivoirien à jouer son rôle afin que le départ nouveau soit une réalité. Le ministre de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique, Cissé Bacongo, a expliqué que la fermeture des universités pour une réorganisation de la vie estudiantine s’avérait indispensable. «Les moyens mis à notre disposition, plus de 100 milliards de FCFA, sont historiques. Nous devons donc prendre nos responsabilités en participant à la vie dans nos universités», a-t-il lancé à l’endroit des étudiants et des enseignants.
Adélaïde Konin
Le Premier ministre n’a pas mâché ses mots, hier. A l’occasion de l’ouverture officielle des ‘’Journées du départ nouveau’’ à l’université Houphouet-Boigny de Cocody, Jeannot Ahoussou-Kouadio a appelé les étudiants à opérer un changement total de comportement et de paradigme. Le passage à l’université doit être définitivement compris comme une étape de la vie et non une vie, selon lui. Le chef du gouvernement a également fait savoir que les universités constituent le pilier du développement socioéconomique et culturel, le ciment de l’unité national et l’instrument d’ouverture sur le reste du monde en facilitant l’adaptation à l’évolution du monde. Raison pour laquelle le président de la République, Alassane Ouattara, a décidé d’offrir aux étudiants un cadre propice aux études en déboursant plus de 100 milliards de FCFA pour les travaux de réhabilitation des universités et unités de recherche de l’enseignement supérieur (Ures). «Les étudiants évolueront dans un milieu sain avec des infrastructures rénovées. Ils utiliseront des équipements de dernières générations et entreront dans le système Lmd (Licence, master, doctorat ndlr)», explique-t-il. Toutefois, il a tenu à préciser que la formation académique de qualité est l’enjeu de cet investissement.
Sur la question de l’entretien des institutions rénovées, Jeannot Ahoussou s’est voulu rassurant : «L’Etat s’engage à entretenir les nouvelles installations pour éviter de nouvelles fermetures». Car, selon lui, l’ampleur des dégâts avant la réhabilitation était telle que la communauté internationale doutait de la capacité du gouvernement à relever ce défi. Puis, il a invité chaque Ivoirien à jouer son rôle afin que le départ nouveau soit une réalité. Le ministre de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique, Cissé Bacongo, a expliqué que la fermeture des universités pour une réorganisation de la vie estudiantine s’avérait indispensable. «Les moyens mis à notre disposition, plus de 100 milliards de FCFA, sont historiques. Nous devons donc prendre nos responsabilités en participant à la vie dans nos universités», a-t-il lancé à l’endroit des étudiants et des enseignants.
Adélaïde Konin
