‘’La pépinière du cinéma africain’’, Clap Ivoire est à sa 12e édition. Pilotée par l’Office national de cinéma de Côte d’Ivoire (Onac-ci), la cérémonie d’ouverture a eu lieu hier, au Palais de la culture. De grandes innovations sont prévues.
Ça tourne. Les projecteurs sont braqués depuis hier, sur le Palais de la culture de Treichville où s’est ouverte la 12e édition du concours de jeunes cinéastes africains, Clap Ivoire. Pour cette année, le directeur de l’Onac-ci, Kitia Touré, prévoit de grands changements. Contrairement à l’année dernière (qui a eu lieu sur un seul site), la fête du cinéma se déroulera sur plusieurs sites : la salle Niangoran Porquet du palais, le Cnac Café-théâtre à Treichville, le Wafou à Marcory et les cinémas La Fontaine aux Deux-Plateaux et Primaverra à Marcory, où auront lieu les projections. De plus, le nombre de pays participants a connu une croissance. Outre les pays de l’Union économique et monétaire ouest-africain (Uemoa), ceux de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’ouest (Cedeao), y participent. Conscient de l’évolution technologique que connaît la production cinématographique au plan international, le coordonnateur général de Clap Ivoire, Kitia Touré, a prévu une formation en 3D (3 dimensions). Cette séance est ouverte à tous les jeunes qui voudraient affiner leurs connaissances dans ce domaine. Il s’agira de permettre la maîtrise de l’art de la prise de vue en 3D, de s’essayer à cette pratique et se familiariser avec le matériel technique de la 3D. L’édition 2012 connaît un retour de taille. A savoir, celui de l’Office international de la francophonie (Oif), qui s’était retiré du concours. Un come-back important dans le sens où il «apporte une contribution substantielle, surtout grâce au volet formation des jeunes », selon le Dg de l’Onac-ci. Aujourd’hui, le programme s’étendra de 10h à 20h 30. Il permettra d’instruire sur le « montage de dossier de financement d’une production cinématographique», «la circulation de l’image dans l’espace Cedeao », et l’initiation à la 3D. Demain, débuteront les projections de films. 15 films seront projetés. Ce sont : ‘’Refuge d’autrefois’’ (Gnani Hélène ; Bénin), ‘’Trouble coïncidence’’ (Ouedraogo Jean Baptiste ; Burkina), ‘’Fonon ou le génie du fer’’ (Coulibaly Seydou ; Côte d’Ivoire), ‘’La génération de demain’’ (Antonio Jacinto ; Guinée Bissau), ‘’Mariage et divorce’’ (Seyba Lamine Sangaré ; Mali), ‘’Agent madani’’ (Ali Abdou ; Niger), ‘’Nos bijoux’’ (Coly Bintou Fanta ; Sénégal), ‘’Le prix à payer’’ (Tchincoun Maxime ; Togo), ‘’Rencontres virtuelles’’ (Esse Ayeman Aymar ; Bénin), ‘’Le chant de la survie’’ (Kwene Hermann ; Burkina), ‘’Babi’’ (Siam Marley ; Côte d’Ivoire), ‘’Le feu de l’amour’’ (Cheick Mohamed Kéita ; Mali), ‘’Le ciseau d’or du désert’’ (Abou Moumouni ; Niger), ‘’Bijou’’ (Seck Charles ; Sénégal) et les ‘’Echassiers’’ (Azaglo Koffi ; Togo). C’est vendredi, en début de soirée, que le successeur de Jean-Eudes Pokou, lauréat de la 11e édition avec ‘’Le voile déchiré’’ sera connu.
Sanou A.
Ça tourne. Les projecteurs sont braqués depuis hier, sur le Palais de la culture de Treichville où s’est ouverte la 12e édition du concours de jeunes cinéastes africains, Clap Ivoire. Pour cette année, le directeur de l’Onac-ci, Kitia Touré, prévoit de grands changements. Contrairement à l’année dernière (qui a eu lieu sur un seul site), la fête du cinéma se déroulera sur plusieurs sites : la salle Niangoran Porquet du palais, le Cnac Café-théâtre à Treichville, le Wafou à Marcory et les cinémas La Fontaine aux Deux-Plateaux et Primaverra à Marcory, où auront lieu les projections. De plus, le nombre de pays participants a connu une croissance. Outre les pays de l’Union économique et monétaire ouest-africain (Uemoa), ceux de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’ouest (Cedeao), y participent. Conscient de l’évolution technologique que connaît la production cinématographique au plan international, le coordonnateur général de Clap Ivoire, Kitia Touré, a prévu une formation en 3D (3 dimensions). Cette séance est ouverte à tous les jeunes qui voudraient affiner leurs connaissances dans ce domaine. Il s’agira de permettre la maîtrise de l’art de la prise de vue en 3D, de s’essayer à cette pratique et se familiariser avec le matériel technique de la 3D. L’édition 2012 connaît un retour de taille. A savoir, celui de l’Office international de la francophonie (Oif), qui s’était retiré du concours. Un come-back important dans le sens où il «apporte une contribution substantielle, surtout grâce au volet formation des jeunes », selon le Dg de l’Onac-ci. Aujourd’hui, le programme s’étendra de 10h à 20h 30. Il permettra d’instruire sur le « montage de dossier de financement d’une production cinématographique», «la circulation de l’image dans l’espace Cedeao », et l’initiation à la 3D. Demain, débuteront les projections de films. 15 films seront projetés. Ce sont : ‘’Refuge d’autrefois’’ (Gnani Hélène ; Bénin), ‘’Trouble coïncidence’’ (Ouedraogo Jean Baptiste ; Burkina), ‘’Fonon ou le génie du fer’’ (Coulibaly Seydou ; Côte d’Ivoire), ‘’La génération de demain’’ (Antonio Jacinto ; Guinée Bissau), ‘’Mariage et divorce’’ (Seyba Lamine Sangaré ; Mali), ‘’Agent madani’’ (Ali Abdou ; Niger), ‘’Nos bijoux’’ (Coly Bintou Fanta ; Sénégal), ‘’Le prix à payer’’ (Tchincoun Maxime ; Togo), ‘’Rencontres virtuelles’’ (Esse Ayeman Aymar ; Bénin), ‘’Le chant de la survie’’ (Kwene Hermann ; Burkina), ‘’Babi’’ (Siam Marley ; Côte d’Ivoire), ‘’Le feu de l’amour’’ (Cheick Mohamed Kéita ; Mali), ‘’Le ciseau d’or du désert’’ (Abou Moumouni ; Niger), ‘’Bijou’’ (Seck Charles ; Sénégal) et les ‘’Echassiers’’ (Azaglo Koffi ; Togo). C’est vendredi, en début de soirée, que le successeur de Jean-Eudes Pokou, lauréat de la 11e édition avec ‘’Le voile déchiré’’ sera connu.
Sanou A.