Après Bouaké, la nouvelle opération de recensement des ex-combattants a débuté, lundi dernier, dans le Poro.
La nouvelle opération de recensement des ex-combattants démobilisés et jeunes associés, a démarré à Korhogo. Depuis lundi dernier, les ex-combattants ont pris d’assaut les locaux de l’état-major de la 4ème région militaire. Contrairement aux précédentes opérations d’identification, celle en court, se passe dans le calme, l’ordre et la discipline. Chaque pétitionnaire vient consulter la liste nominative des ex-combattants affichée à l’intérieur de la cour, avant d’aller faire le rang, à la grande satisfaction de Mamadou Kamagaté, leur porte-parole. « Nous avons mené une vaste compagne de sensibilisation à travers les radios de proximité », justifie-t-il le fait que l’opération se déroule sans encombre. Mais, au-delà de la discipline, cette sensibilisation serait pour beaucoup dans l’affluence constatée sur les différents sites d’enrôlement. Arrivée la veille d’Abidjan, l’équipe de l’Institut national de la statistique (Ins) en charge de l’opération, après les formalités administratives, a effectivement commencé l’enrôlement dans l’après-midi de lundi. 188 personnes ont été enregistrées le premier jour. 279 et 307 pétitionnaires le seront mardi et mercredi. Soit une moyenne de 70 ex-combattants par poste. Un chiffre qui va de façon croissante depuis le lancement de l’opération. « La discipline observée par les pétitionnaires nous aide beaucoup dans l’avancement de notre travail. Au fur et à mesure que nous avançons, nous constatons que la performance de nos agents augmente», se réjouit Konaté Abou, superviseur général de l’étape de la 4ème région militaire. Visiblement très heureux et satisfait, Soro Siriki, un ex-combattant, dit placer toute sa foi dans l’opération en cours. « Je viens de finir les trois étapes de l’opération. Bien que j’ai participé aux précédentes, c’est la première fois que j’ai foi véritablement en la parole donnée de nos dirigeants », fait-il remarquer. Prévue pour durée un mois, l’opération couvre les villes de Korhogo, Ferkessédougou et Ouangolo, avec l’implantation d’un site d’enrôlement dans chacune de ces villes. Pour l’heure, la première étape de l’opération qui se déroule concomitamment à Korhogo et à Ferkessédougou, va durer deux semaines. Elle doit s’achever dans la ville de Ouangolo. Un délai que Konaté Abou et son équipe pensent pouvoir respecter.
Cheick Timité à Korhogo
La nouvelle opération de recensement des ex-combattants démobilisés et jeunes associés, a démarré à Korhogo. Depuis lundi dernier, les ex-combattants ont pris d’assaut les locaux de l’état-major de la 4ème région militaire. Contrairement aux précédentes opérations d’identification, celle en court, se passe dans le calme, l’ordre et la discipline. Chaque pétitionnaire vient consulter la liste nominative des ex-combattants affichée à l’intérieur de la cour, avant d’aller faire le rang, à la grande satisfaction de Mamadou Kamagaté, leur porte-parole. « Nous avons mené une vaste compagne de sensibilisation à travers les radios de proximité », justifie-t-il le fait que l’opération se déroule sans encombre. Mais, au-delà de la discipline, cette sensibilisation serait pour beaucoup dans l’affluence constatée sur les différents sites d’enrôlement. Arrivée la veille d’Abidjan, l’équipe de l’Institut national de la statistique (Ins) en charge de l’opération, après les formalités administratives, a effectivement commencé l’enrôlement dans l’après-midi de lundi. 188 personnes ont été enregistrées le premier jour. 279 et 307 pétitionnaires le seront mardi et mercredi. Soit une moyenne de 70 ex-combattants par poste. Un chiffre qui va de façon croissante depuis le lancement de l’opération. « La discipline observée par les pétitionnaires nous aide beaucoup dans l’avancement de notre travail. Au fur et à mesure que nous avançons, nous constatons que la performance de nos agents augmente», se réjouit Konaté Abou, superviseur général de l’étape de la 4ème région militaire. Visiblement très heureux et satisfait, Soro Siriki, un ex-combattant, dit placer toute sa foi dans l’opération en cours. « Je viens de finir les trois étapes de l’opération. Bien que j’ai participé aux précédentes, c’est la première fois que j’ai foi véritablement en la parole donnée de nos dirigeants », fait-il remarquer. Prévue pour durée un mois, l’opération couvre les villes de Korhogo, Ferkessédougou et Ouangolo, avec l’implantation d’un site d’enrôlement dans chacune de ces villes. Pour l’heure, la première étape de l’opération qui se déroule concomitamment à Korhogo et à Ferkessédougou, va durer deux semaines. Elle doit s’achever dans la ville de Ouangolo. Un délai que Konaté Abou et son équipe pensent pouvoir respecter.
Cheick Timité à Korhogo