ABIDJAN - Six nouveaux juges militaires devant diriger les procès des militaires arrêtés dans le cadre des crimes post-électoraux ont été installés vendredi à Abidjan, a constaté Xinhua.
Selon le procureur militaire ivoirien le lieutenant-colonel Ange Kessy, ces juges devraient composer les chambres de jugement et de contrôle de l'instruction du tribunal militaire d'Abidjan ( TMA).
Le lieutenant-colonel Ange Kessy a exhorté ceux-ci à faire preuve de "dignité et de loyauté" dans l'exécution de leur mission.
"Vous devez avoir conscience que vous devez vous mettre au service de la vérité", a-t-il recommandé.
Les procès militaires post-crise débuteront le 18 septembre avec la comparution de militaires proches de l'ex-président ivoirien, Laurent Gbagbo, dont l'ancien commandant de la garde républicaine, le général Dogbo Blé, incarcéré à Korhogo, au nord du pays. Ces soldats pro-Gbagbo sont inculpés pour assassinat, séquestration suivie d'assassinat et arrestation arbitraire.
La crise post-électorale aigüe qui a secoué le pays cinq mois durant, faisant au moins 3.000 morts.
Selon le procureur militaire ivoirien le lieutenant-colonel Ange Kessy, ces juges devraient composer les chambres de jugement et de contrôle de l'instruction du tribunal militaire d'Abidjan ( TMA).
Le lieutenant-colonel Ange Kessy a exhorté ceux-ci à faire preuve de "dignité et de loyauté" dans l'exécution de leur mission.
"Vous devez avoir conscience que vous devez vous mettre au service de la vérité", a-t-il recommandé.
Les procès militaires post-crise débuteront le 18 septembre avec la comparution de militaires proches de l'ex-président ivoirien, Laurent Gbagbo, dont l'ancien commandant de la garde républicaine, le général Dogbo Blé, incarcéré à Korhogo, au nord du pays. Ces soldats pro-Gbagbo sont inculpés pour assassinat, séquestration suivie d'assassinat et arrestation arbitraire.
La crise post-électorale aigüe qui a secoué le pays cinq mois durant, faisant au moins 3.000 morts.