les populations de la région de Gbèkè, après la rentrée académique à l’université Alassane Ouattara ont donné leur avis sur cet établissement qui porte le nom du chef de l’Etat
1- Silué Pégabila, étudiant : “Un travail remarquable a été fait”
Je voudrais saluer le chef de l’état et son gouvernement pour avoir pris l’initiative de fermer les universités en vue de leur réhabilitation. Dans un délai d’un an, un travail remarquable a été fait par nos autorités. Nos universités, à la pointe de la technologie, font aujourd’hui la fierté de la Côte d’Ivoire. C’est une nouvelle rentrée placée sous le sceau du départ nouveau. Les étudiants doivent avoir un esprit nouveau. Ils doivent tourner le dos à la violence et ne s’intéresser qu’à leur formation. Il faut que désormais, l’étudiant soit vu autrement. C’est-à-dire, qu’il soit considéré comme la crème de l’intelligentsia et non un barbare.
2- Pr. Roger Tro Dého, secrétaire de la section CNEC de Bouaké : “Que les problèmes des étudiants soient réglés avant la rentrée”
C’est un sentiment de joie qui nous anime. Nous espérons qu’avec le départ nouveau annoncé par les autorités, les problèmes des enseignants seront réglés avant la rentrée effective. Nous avons eu à faire des grèves. Les autorités nous ont donné l’assurance qu’avant le début effectif des cours, toutes nos revendications pécuniaires seraient satisfaites. Nous espérons qu’elles tiendront parole pour que les cours se déroulent normalement. Nous avons bon espoir. Aux enseignants, nous leur demandons de tous rejoindre Bouaké pour que nous participions à la renaissance pédagogique et scientifique de notre université. Notre institution porte un nom illustre, il faut que nous travaillions de sorte à ressembler au nom que nous portons. Aussi faut-il que les autorités nous aident à réussir ce pari en réglant les problèmes des enseignants afin que nous soyons dans de bonnes dispositions pour commencer cette rentrée académique qui s’annonce sous de bons auspices.
3- Pr Irié Bi, enseignant : “Nous souhaitons que les moyens suivent”
C’est une belle rentrée qui s’inscrit résolument dans la vision du renouveau avec les nouvelles donnes. C’est de façon naturelle que nous nous inscrivons dans cette logique. Dans la sobriété, nous avons procédé à la rentrée solennelle. Nous aurions souhaité que le ministre de tutelle soit à nos côtés pour cette cérémonie solennelle. Nous souhaitons que les moyens suivent afin que nous puissions travailler dans de bonnes conditions.
4- Konaté Moussa, président du CEECI (Comité des élèves et étudiants de Côte d’Ivoire) : “Le Chef de l’Etat vient de mettre fin au calvaire de nos camarades”
Cette cérémonie symbolisant l’ouverture officielle de l’Université Alassane Ouattara revêt un caractère particulier pour les étudiants. Délocalisés à Abidjan, les étudiants étaient formés dans des conditions précaires et sur des sites aussi divers que variés, ne convenant pas à une formation universitaire. A l’image des étudiants, nos enseignants et nos administrations universitaires peinaient à accomplir leur profession. L’avènement de cette université est un grand jour pour nous les étudiants. Le chef de l’Etat vient de montrer une fois de plus qu’il est un homme de parole. Il vient ainsi de mettre fin au calvaire de bon nombre de nos camarades. La rentrée, annoncée sous le signe du départ nouveau, sous-entend une rupture avec les anciennes habitudes. Il faut que chacun s’inscrive effectivement dans cette logique pour que nous puissions converger dans le sens d’une institution, d’un modèle pour l’Afrique et le monde entier.
5- L’honorable Diomandé Mondéni née Fofana, Député de Bouaké : “C’est un regain de vitalité pour notre jeunesse”
Le temple du savoir vient de loin. Il a payé un lourd tribut du fait de la crise. Les enseignements y étaient irréguliers pour cause de guerre. Aujourd’hui ma joie est grande. Le président a vu juste. Notre institution porte son nom. C’est un regain de vitalité pour notre jeunesse en général et celle de Bouaké en particulier. Pendant les travaux, j’ai eu à visiter les chantiers. Je me suis aperçue de l’intérêt que le Président de la République et son gouvernement accordent au monde universitaire et à la formation.
6- Djibo Nicolas, secrétaire national chargé du monde économique Rdr : “Chacun doit marquer une rupture avec le passé”
Je suis très heureux de voir comment les conditions d’études de nos étudiants se sont améliorées. C’est le gage de leur épanouissement. Car le plus précieux des cadeaux qu’un parent puisse offrir à ses enfants, c’est une instruction de qualité. Aujourd’hui, cela est possible à Bouaké. Les jeunes n’auront plus besoin d’envoyer leurs enfants ailleurs pour faire d’excellentes études. Je suis également fier du chef de l’Etat qui malgré ces temps difficiles, a fait en un an, ce que son prédécesseur n’a pas pu faire en dix ans. L’université a été ressuscitée avec du matériel technologique de pointe. L’environnement est devenu plus paisible. La balle est désormais dans le camp du corps enseignants, du personnel administratif et surtout du côté de nos étudiants. Chacun à son niveau doit marquer une rupture avec le passé. Il importe de bien préserver le patrimoine pour en faire bénéficier les générations futures et les apprenants doivent tirer meilleure partie des nouvelles infrastructures, en se consacrant aux études d’abord. C’est à ce prix qu’ils pourront répondre aux attentes de la nouvelle Côte d’Ivoire dont rêve notre président de la République. La nouvelle dénomination ''Université Alassane Ouattara'', interpelle tous les acteurs du système académique à Bouaké. CS
Football : Election à la présidence de la CAF/ Jacques Anouma (candidat déclaré) : “Rien ne m’arrêtera dans mon combat”
Tous ceux qui souhaitaient le retrait de Jacques Anouma à la candidature de la Confédération africaine de football (CAF) doivent déchanter. L’Ivoirien se dit plus que jamais candidat à la succession du camerounais, Issa Hayatou. Malgré l’amendement des textes par le dernier congrès extraordinaire de la CAF aux Seychelles. Accordant un entretien aux confrères sénégalais avant-hier, Jacques Anouma a clairement répondu aux conspirateurs qu’il n’est pas concerné par le nouveau texte. « Je ne me sens pas concerné », a-t-il dit. Même s’il reconnait être « visé ». Selon lui, les choses sont sans ambiguïté. Le texte stipule que texte ‘’tout candidat aux élections à la présidence de la CAF, outre les compétences nécessaires, devra être ou avoir été membre du comité exécutif de la CAF’’. L’Ivoirien qui est membre du comité exécutif de la FIFA précise qu’il est membre de la du comité directeur de la CAF. « Depuis 2007, date de mon élection au Comité exécutif de la FIFA, je suis membre du Comité exécutif de la CAF” a-t-il fait savoir aux confrères sénégalais. Revenant sur le vote de l’amendement à Mahé (Seychelles), Anouma a fait remarquer que l’empressement avec lequel les initiateurs de cet amendement ont obligé les présidents de fédérations à le voter prouve qu’en réalité, les défenseurs de ce projet sont minoritaires. « Ils ne sont pas les plus majoritaires dans cette instance, sinon ils ne se donneraient pas toutes ces peines pour faire passer cet amendement à ce moment », a expliqué celui qui veut briguer la présidence de la CAF. Pour lui, ce vote est loin de la réalité du terrain et il pense que certains présidents ont été abusés. Anouma va plus loin pour révéler que les initiateurs de cet amendement lui ont confié que cette disposition ne sera adoptée qu’en 2017. « Ils ont dû raconter les mêmes contrevérités aux autres présidents pour les amener à accepter cette disposition qui les exclut de l’élection au poste de président de la CAF », a-t-il expliqué à l’APS (agence de presse sénégalaise). Convaincu qu’il est, que la majorité des présidents de fédérations sont pour le changement, Jacques Anouma a réitéré qu’il est toujours en lice pour la présidence de la CAF. Et qu’il ira affronter Hayatou dans les urnes. ‘’Rien ne m’arrêtera”, a-t-il averti, “dans ce combat pour l’éthique et la démocratie qui doit permettre à tous les dirigeants ayant des idées de participer à l’œuvre de construction du football’’, a-t-il martelé à nos confrères sénégalais. Anouma qui dit attendre que la fédération ivoirienne dépose sa candidature, a loué le courage des fédérations qui ont dit non aux textes. « J’attends que la FIF présente ma candidature, même si les textes permettent qu’une autre Fédération puisse porter ma candidature » a lancé Anouma. Le délai de dépôt des candidatures pour la présidence de la CAF est ouverte depuis le lundi dernier. Et la FIF a jusqu’au 3 décembre pour déposer celle de Jacques Anouma qui a solliciter son parrainage.
Koné Lassiné
1- Silué Pégabila, étudiant : “Un travail remarquable a été fait”
Je voudrais saluer le chef de l’état et son gouvernement pour avoir pris l’initiative de fermer les universités en vue de leur réhabilitation. Dans un délai d’un an, un travail remarquable a été fait par nos autorités. Nos universités, à la pointe de la technologie, font aujourd’hui la fierté de la Côte d’Ivoire. C’est une nouvelle rentrée placée sous le sceau du départ nouveau. Les étudiants doivent avoir un esprit nouveau. Ils doivent tourner le dos à la violence et ne s’intéresser qu’à leur formation. Il faut que désormais, l’étudiant soit vu autrement. C’est-à-dire, qu’il soit considéré comme la crème de l’intelligentsia et non un barbare.
2- Pr. Roger Tro Dého, secrétaire de la section CNEC de Bouaké : “Que les problèmes des étudiants soient réglés avant la rentrée”
C’est un sentiment de joie qui nous anime. Nous espérons qu’avec le départ nouveau annoncé par les autorités, les problèmes des enseignants seront réglés avant la rentrée effective. Nous avons eu à faire des grèves. Les autorités nous ont donné l’assurance qu’avant le début effectif des cours, toutes nos revendications pécuniaires seraient satisfaites. Nous espérons qu’elles tiendront parole pour que les cours se déroulent normalement. Nous avons bon espoir. Aux enseignants, nous leur demandons de tous rejoindre Bouaké pour que nous participions à la renaissance pédagogique et scientifique de notre université. Notre institution porte un nom illustre, il faut que nous travaillions de sorte à ressembler au nom que nous portons. Aussi faut-il que les autorités nous aident à réussir ce pari en réglant les problèmes des enseignants afin que nous soyons dans de bonnes dispositions pour commencer cette rentrée académique qui s’annonce sous de bons auspices.
3- Pr Irié Bi, enseignant : “Nous souhaitons que les moyens suivent”
C’est une belle rentrée qui s’inscrit résolument dans la vision du renouveau avec les nouvelles donnes. C’est de façon naturelle que nous nous inscrivons dans cette logique. Dans la sobriété, nous avons procédé à la rentrée solennelle. Nous aurions souhaité que le ministre de tutelle soit à nos côtés pour cette cérémonie solennelle. Nous souhaitons que les moyens suivent afin que nous puissions travailler dans de bonnes conditions.
4- Konaté Moussa, président du CEECI (Comité des élèves et étudiants de Côte d’Ivoire) : “Le Chef de l’Etat vient de mettre fin au calvaire de nos camarades”
Cette cérémonie symbolisant l’ouverture officielle de l’Université Alassane Ouattara revêt un caractère particulier pour les étudiants. Délocalisés à Abidjan, les étudiants étaient formés dans des conditions précaires et sur des sites aussi divers que variés, ne convenant pas à une formation universitaire. A l’image des étudiants, nos enseignants et nos administrations universitaires peinaient à accomplir leur profession. L’avènement de cette université est un grand jour pour nous les étudiants. Le chef de l’Etat vient de montrer une fois de plus qu’il est un homme de parole. Il vient ainsi de mettre fin au calvaire de bon nombre de nos camarades. La rentrée, annoncée sous le signe du départ nouveau, sous-entend une rupture avec les anciennes habitudes. Il faut que chacun s’inscrive effectivement dans cette logique pour que nous puissions converger dans le sens d’une institution, d’un modèle pour l’Afrique et le monde entier.
5- L’honorable Diomandé Mondéni née Fofana, Député de Bouaké : “C’est un regain de vitalité pour notre jeunesse”
Le temple du savoir vient de loin. Il a payé un lourd tribut du fait de la crise. Les enseignements y étaient irréguliers pour cause de guerre. Aujourd’hui ma joie est grande. Le président a vu juste. Notre institution porte son nom. C’est un regain de vitalité pour notre jeunesse en général et celle de Bouaké en particulier. Pendant les travaux, j’ai eu à visiter les chantiers. Je me suis aperçue de l’intérêt que le Président de la République et son gouvernement accordent au monde universitaire et à la formation.
6- Djibo Nicolas, secrétaire national chargé du monde économique Rdr : “Chacun doit marquer une rupture avec le passé”
Je suis très heureux de voir comment les conditions d’études de nos étudiants se sont améliorées. C’est le gage de leur épanouissement. Car le plus précieux des cadeaux qu’un parent puisse offrir à ses enfants, c’est une instruction de qualité. Aujourd’hui, cela est possible à Bouaké. Les jeunes n’auront plus besoin d’envoyer leurs enfants ailleurs pour faire d’excellentes études. Je suis également fier du chef de l’Etat qui malgré ces temps difficiles, a fait en un an, ce que son prédécesseur n’a pas pu faire en dix ans. L’université a été ressuscitée avec du matériel technologique de pointe. L’environnement est devenu plus paisible. La balle est désormais dans le camp du corps enseignants, du personnel administratif et surtout du côté de nos étudiants. Chacun à son niveau doit marquer une rupture avec le passé. Il importe de bien préserver le patrimoine pour en faire bénéficier les générations futures et les apprenants doivent tirer meilleure partie des nouvelles infrastructures, en se consacrant aux études d’abord. C’est à ce prix qu’ils pourront répondre aux attentes de la nouvelle Côte d’Ivoire dont rêve notre président de la République. La nouvelle dénomination ''Université Alassane Ouattara'', interpelle tous les acteurs du système académique à Bouaké. CS
Football : Election à la présidence de la CAF/ Jacques Anouma (candidat déclaré) : “Rien ne m’arrêtera dans mon combat”
Tous ceux qui souhaitaient le retrait de Jacques Anouma à la candidature de la Confédération africaine de football (CAF) doivent déchanter. L’Ivoirien se dit plus que jamais candidat à la succession du camerounais, Issa Hayatou. Malgré l’amendement des textes par le dernier congrès extraordinaire de la CAF aux Seychelles. Accordant un entretien aux confrères sénégalais avant-hier, Jacques Anouma a clairement répondu aux conspirateurs qu’il n’est pas concerné par le nouveau texte. « Je ne me sens pas concerné », a-t-il dit. Même s’il reconnait être « visé ». Selon lui, les choses sont sans ambiguïté. Le texte stipule que texte ‘’tout candidat aux élections à la présidence de la CAF, outre les compétences nécessaires, devra être ou avoir été membre du comité exécutif de la CAF’’. L’Ivoirien qui est membre du comité exécutif de la FIFA précise qu’il est membre de la du comité directeur de la CAF. « Depuis 2007, date de mon élection au Comité exécutif de la FIFA, je suis membre du Comité exécutif de la CAF” a-t-il fait savoir aux confrères sénégalais. Revenant sur le vote de l’amendement à Mahé (Seychelles), Anouma a fait remarquer que l’empressement avec lequel les initiateurs de cet amendement ont obligé les présidents de fédérations à le voter prouve qu’en réalité, les défenseurs de ce projet sont minoritaires. « Ils ne sont pas les plus majoritaires dans cette instance, sinon ils ne se donneraient pas toutes ces peines pour faire passer cet amendement à ce moment », a expliqué celui qui veut briguer la présidence de la CAF. Pour lui, ce vote est loin de la réalité du terrain et il pense que certains présidents ont été abusés. Anouma va plus loin pour révéler que les initiateurs de cet amendement lui ont confié que cette disposition ne sera adoptée qu’en 2017. « Ils ont dû raconter les mêmes contrevérités aux autres présidents pour les amener à accepter cette disposition qui les exclut de l’élection au poste de président de la CAF », a-t-il expliqué à l’APS (agence de presse sénégalaise). Convaincu qu’il est, que la majorité des présidents de fédérations sont pour le changement, Jacques Anouma a réitéré qu’il est toujours en lice pour la présidence de la CAF. Et qu’il ira affronter Hayatou dans les urnes. ‘’Rien ne m’arrêtera”, a-t-il averti, “dans ce combat pour l’éthique et la démocratie qui doit permettre à tous les dirigeants ayant des idées de participer à l’œuvre de construction du football’’, a-t-il martelé à nos confrères sénégalais. Anouma qui dit attendre que la fédération ivoirienne dépose sa candidature, a loué le courage des fédérations qui ont dit non aux textes. « J’attends que la FIF présente ma candidature, même si les textes permettent qu’une autre Fédération puisse porter ma candidature » a lancé Anouma. Le délai de dépôt des candidatures pour la présidence de la CAF est ouverte depuis le lundi dernier. Et la FIF a jusqu’au 3 décembre pour déposer celle de Jacques Anouma qui a solliciter son parrainage.
Koné Lassiné