Qui tient à salir, à porter coûte que coûte un coup à l’honorabilité du ministre d’Etat Daniel Kablan Duncan ? Sans que l’on ne comprenne vraiment les motivations des auteurs de cette cabale, depuis quelque temps, le ministre des Affaires étrangères est sur la sellette des journaux bleus pro-Gbagbo qui lui prêtent des propos qu’ils n’a pas tenus ou des actes qu’il n’a pas posés. Et tout cela, sans avancer la moindre preuve à leur accusation.
C’est d’abord le quotidien "Aujourd’hui" qui est le premier à sonner la charge, fin Août en tentant d’opposer le ministre d’Etat au chef de l’Etat sous le titre : "visite à Londres : Duncan confirme que la reine n’a pas reçu Ouattara". En fait de déclaration, le confrère ne s’appuie sur aucun bout de phrase tenu par le ministre d’Etat lors de sa conférence de presse tenue au lendemain du long séjour du Chef de l’Etat à l’extérieur au cours du mois d’Août. Estimant en effet que le ministre, dans son exposé, aurait "survolé" l’étape de l’Angleterre, le confrère conclut avec une légèreté inqualifiable que ce survol équivaut à un aveu de Duncan qui, par ce fait, confirme tout simplement que Alassane Ouattara n’a pas été reçu par la Reine d’Angleterre. Quelques jours plus tard, c’est un autre confrère de la presse bleue qui brandit un article non signé, donc contraire aux règles de déontologie, pour accuser le ministre d’Etat d’avoir émargé chez Aké N’gbo courant janvier et février 2011, en pleine crise post-électorale. Là encore sans la moindre preuve. Juste des affirmations d’une personne qui se cache derrière la mention "correspondance particulière". Or en pratique "la correspondance particulière" est toujours suivie du nom de l’auteur de l’article. Cette mention vise seulement à renseigner le lecteur que l’auteur de l’article n’est pas journaliste. Au demeurant, en pleine crise post-électorale, au moment où le régime Gbagbo procédait à des enlèvements de cadres du Rhdp, où les domiciles de ces derniers étaient pillés avec parfois l’appui de certains éléments des ex-Fds, quel cadre du Pdci pouvait approcher le périmètre du palais présidentiel, à plus forte raison solliciter le paiement de ses indemnités ou rente viagère ? Si des gens se sont fait passer pour Duncan pour tromper Gbagbo et se faire remettre de l’argent, qu’ils se confessent au lieu d’accuser des citoyens comme le ministre d’Etat Kablan Duncan, un grand serviteur de l’Etat, une compétence prouvée et reconnue de tous et par-dessus tout, un homme d’une grande probité morale. Car tout au long de sa riche carrière professionnelle, sa réputation et sa moralité n’ont jamais été prises à défaut. Et pourtant, Duncan a toujours servi là où l’argent circule par vagues.
AKWABA SAINT CLAIR
C’est d’abord le quotidien "Aujourd’hui" qui est le premier à sonner la charge, fin Août en tentant d’opposer le ministre d’Etat au chef de l’Etat sous le titre : "visite à Londres : Duncan confirme que la reine n’a pas reçu Ouattara". En fait de déclaration, le confrère ne s’appuie sur aucun bout de phrase tenu par le ministre d’Etat lors de sa conférence de presse tenue au lendemain du long séjour du Chef de l’Etat à l’extérieur au cours du mois d’Août. Estimant en effet que le ministre, dans son exposé, aurait "survolé" l’étape de l’Angleterre, le confrère conclut avec une légèreté inqualifiable que ce survol équivaut à un aveu de Duncan qui, par ce fait, confirme tout simplement que Alassane Ouattara n’a pas été reçu par la Reine d’Angleterre. Quelques jours plus tard, c’est un autre confrère de la presse bleue qui brandit un article non signé, donc contraire aux règles de déontologie, pour accuser le ministre d’Etat d’avoir émargé chez Aké N’gbo courant janvier et février 2011, en pleine crise post-électorale. Là encore sans la moindre preuve. Juste des affirmations d’une personne qui se cache derrière la mention "correspondance particulière". Or en pratique "la correspondance particulière" est toujours suivie du nom de l’auteur de l’article. Cette mention vise seulement à renseigner le lecteur que l’auteur de l’article n’est pas journaliste. Au demeurant, en pleine crise post-électorale, au moment où le régime Gbagbo procédait à des enlèvements de cadres du Rhdp, où les domiciles de ces derniers étaient pillés avec parfois l’appui de certains éléments des ex-Fds, quel cadre du Pdci pouvait approcher le périmètre du palais présidentiel, à plus forte raison solliciter le paiement de ses indemnités ou rente viagère ? Si des gens se sont fait passer pour Duncan pour tromper Gbagbo et se faire remettre de l’argent, qu’ils se confessent au lieu d’accuser des citoyens comme le ministre d’Etat Kablan Duncan, un grand serviteur de l’Etat, une compétence prouvée et reconnue de tous et par-dessus tout, un homme d’une grande probité morale. Car tout au long de sa riche carrière professionnelle, sa réputation et sa moralité n’ont jamais été prises à défaut. Et pourtant, Duncan a toujours servi là où l’argent circule par vagues.
AKWABA SAINT CLAIR