Fermeté. La chambre préliminaire I de la Cour pénale internationale (Cpi) maintient l’audience à huis clos concernant Laurent Gbagbo aux dates du 24 et 25 septembre comme prévu. La juge Silvia Fernandez de Gurmendi a rendu publique cette décision sans appel, hier, en réponse à la requête de report formulée par la défense de l’ex-chef d’Etat. Dans un document 14 pages en anglais, elle a signifié simplement aux avocats de l’ancien président ivoirien qu’elle ne peut accéder à un autre report de cette audience. «La juge informe déjà M. Gbagbo que les dispositions nécessaires ont été prises dans une chambre attenante à la salle d'audience afin de lui permettre de se reposer pendant les pauses si nécessaire», écrit la présidente de la chambre préliminaire I de la Cpi.
Cette décision fait suite à un rapport médical émis le 19 juillet par trois experts sur la santé de l’ancien président, à la demande des avocats de M. Gbagbo. Les médecins désignés par la Cour avaient à charge de déterminer si ce dernier physiquement apte à prendre part aux procédures engagées à son encontre. En juin, la Cpi avait désigné ces trois experts pour «procéder à un examen médical de M. Gbagbo dans le but d’évaluer son aptitude à participer à la procédure portée contre lui». L’audience doit permettre aux deux parties –Accusations et Défense – de discuter sur le rapport en question. Initialement prévue le 18 juin, l’audience de confirmation de charges contre Laurent Gbagbo, 67 ans, avait été reportée au 3 août. Selon la Cour, les deux parties devaient soumettre leurs observations sur les résultats des examens médicaux.
BI
Cette décision fait suite à un rapport médical émis le 19 juillet par trois experts sur la santé de l’ancien président, à la demande des avocats de M. Gbagbo. Les médecins désignés par la Cour avaient à charge de déterminer si ce dernier physiquement apte à prendre part aux procédures engagées à son encontre. En juin, la Cpi avait désigné ces trois experts pour «procéder à un examen médical de M. Gbagbo dans le but d’évaluer son aptitude à participer à la procédure portée contre lui». L’audience doit permettre aux deux parties –Accusations et Défense – de discuter sur le rapport en question. Initialement prévue le 18 juin, l’audience de confirmation de charges contre Laurent Gbagbo, 67 ans, avait été reportée au 3 août. Selon la Cour, les deux parties devaient soumettre leurs observations sur les résultats des examens médicaux.
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