Baptisée Université Gbon Péléforo Coulibaly, l’Unité de recherche de l’enseignement supérieur (URES) de Korhogo, a effectué, mardi dernier, sa rentrée solennelle, en prélude à la prochaine rentrée académique.
Le directeur de l’URES, Pr Coulibaly Adama, a exhorté collaborateurs, étudiants et partenaires à s’approprier le concept de "départ nouveau" à tous les niveaux, en cultivant le progrès, parce qu’il estime que le "départ nouveau" suppose une gestion de l’institution universitaire axée sur des résultats. Le sous-préfet de Tioro, Méité Lassina, représentant le préfet de région, et l’adjoint au maire de Korhogo, Coulibaly Salimou, représentant le maire, ont exhorté les étudiants à se mettre au travail et à préserver les acquis. Spécialisé depuis sa création dans la formation de diplômés en gestion agropastorale, l’établissement de l’enseignement supérieur aura, à la prochaine rentrée académique, la vocation d’une université de plein exercice avec quatre unités de formation et de recherche (UFR) dans les sciences médicales, les sciences biologiques, les sciences sociales et les lettres, arts et langues. A cela, il faut ajouter un institut agropastoral qui conservera sa spécialité originelle. D’environs, 200 étudiants aujourd’hui, l’effectif de l’université Péléforo Gbon passera à plus de 2.000 étudiants. Le directeur de l’URES ne se fait pas d’inquiétude quant à la capacité d’accueil des infrastructures de la future université. Sur son site actuel, l’on dénombre un bâtiment administratif, un amphithéâtre, un autre en finition, une infirmerie achevée, une bibliothèque et un bâtiment de recherche en construction. A cela, s’ajoutent les anciens édifices du lycée Houphouët-Boigny utilisés par les étudiants depuis la création de l’unité. Le Pr Coulibaly Adama est plus préoccupé par l’insuffisance du personnel d’encadrement, estimé à une trentaine d’enseignants. Il pense qu’il y a des efforts à fournir pour permettre aux étudiants de profiter des enseignements de la vidéoconférence qui seront désormais en vigueur dans les universités ivoiriennes. La rentrée solennelle a été marquée par une série d’allocutions, une conférence, une présentation du projet-pilote d’installation des diplômés en agro-pastoral, une visite des stands et des fermes écoles.
S. Péguy
Le directeur de l’URES, Pr Coulibaly Adama, a exhorté collaborateurs, étudiants et partenaires à s’approprier le concept de "départ nouveau" à tous les niveaux, en cultivant le progrès, parce qu’il estime que le "départ nouveau" suppose une gestion de l’institution universitaire axée sur des résultats. Le sous-préfet de Tioro, Méité Lassina, représentant le préfet de région, et l’adjoint au maire de Korhogo, Coulibaly Salimou, représentant le maire, ont exhorté les étudiants à se mettre au travail et à préserver les acquis. Spécialisé depuis sa création dans la formation de diplômés en gestion agropastorale, l’établissement de l’enseignement supérieur aura, à la prochaine rentrée académique, la vocation d’une université de plein exercice avec quatre unités de formation et de recherche (UFR) dans les sciences médicales, les sciences biologiques, les sciences sociales et les lettres, arts et langues. A cela, il faut ajouter un institut agropastoral qui conservera sa spécialité originelle. D’environs, 200 étudiants aujourd’hui, l’effectif de l’université Péléforo Gbon passera à plus de 2.000 étudiants. Le directeur de l’URES ne se fait pas d’inquiétude quant à la capacité d’accueil des infrastructures de la future université. Sur son site actuel, l’on dénombre un bâtiment administratif, un amphithéâtre, un autre en finition, une infirmerie achevée, une bibliothèque et un bâtiment de recherche en construction. A cela, s’ajoutent les anciens édifices du lycée Houphouët-Boigny utilisés par les étudiants depuis la création de l’unité. Le Pr Coulibaly Adama est plus préoccupé par l’insuffisance du personnel d’encadrement, estimé à une trentaine d’enseignants. Il pense qu’il y a des efforts à fournir pour permettre aux étudiants de profiter des enseignements de la vidéoconférence qui seront désormais en vigueur dans les universités ivoiriennes. La rentrée solennelle a été marquée par une série d’allocutions, une conférence, une présentation du projet-pilote d’installation des diplômés en agro-pastoral, une visite des stands et des fermes écoles.
S. Péguy