La première Dame de Côte d’Ivoire, Mme Dominique Ouattara entend impliquer toutes les couches socio-professionnelles dans la lutte contre le phénomène de la traite et le travail des enfants.
Après le lancement de la campagne de communication contre le fléau le lundi 24 septembre 2012 à son cabinet à Cocody (Abidjan), la Première Dame de Côte d’Ivoire, en sa qualité de présidente du Comité national de surveillance des actions de lutte contre la traite, l’exploitation et le travail des enfants (CNS), organise du 27 au 29 septembre 2012, à Yamoussoukro, un atelier de renforcement des capacités du corps préfectoral. Il s’agira pour la Première Dame d’impliquer ce corps dans la lutte contre le fléau. Etant plus proches de la population, dans le pays profond, Mme Ouattara veut associer les préfets qui, à leur tour, seront chargés de répercuter les informations au niveau de la base. L’objectif du séminaire est de parvenir à une réduction significative de ce fléau d’ici 2014. Cela a conduit à la prise de mesures d’ordre institutionnel et stratégique, matérialisée par la création par décret n°2011-365 du 03 novembre 2011, du Comité Interministériel de lutte contre la traite, l’exploitation et le travail des enfants, présidé par le Ministre d’Etat, Ministre de l’Emploi, des Affaires Sociales et de la Solidarité ; la création par décret n°2011-366 du 03 novembre 2011du Comité National de Surveillance des actions de lutte contre la traite, l’exploitation et le travail des enfants, l’adoption, le 28 mars 2012, du Plan d’Action National 2012-2014 de lutte contre la traite, l’exploitation et le travail des enfants qui constitue le document de stratégie nationale de remédiation. Evidemment, une mesure ne peut être efficace que lorsqu’elle est bien comprise. C’est en cela que la Première Dame a décidé d’associer le corps préfectoral, à travers le séminaire de renforcement des capacités. Pour les acteurs de la lutte contre le travail et la traite des enfants, le Préfet, en sa qualité de représentant de l’Etat et de chacun des membres du Gouvernement, a une autorité qui s’exerce sur l’ensemble des responsables administratifs, militaires et communautaires de sa circonscription administrative. Sa fonction d’administrateur et d’agent de développement local lui permet de développer une relation d’autorité et de proximité avec les communautés et organisations sociales locales, afin d’obtenir leur adhésion et leur mobilisation pour un changement de comportement durable en faveur de la protection des enfants. Dans le cadre de ce séminaire, 95 Préfets sont concernés.
HK avec le sercm du CNS
Après le lancement de la campagne de communication contre le fléau le lundi 24 septembre 2012 à son cabinet à Cocody (Abidjan), la Première Dame de Côte d’Ivoire, en sa qualité de présidente du Comité national de surveillance des actions de lutte contre la traite, l’exploitation et le travail des enfants (CNS), organise du 27 au 29 septembre 2012, à Yamoussoukro, un atelier de renforcement des capacités du corps préfectoral. Il s’agira pour la Première Dame d’impliquer ce corps dans la lutte contre le fléau. Etant plus proches de la population, dans le pays profond, Mme Ouattara veut associer les préfets qui, à leur tour, seront chargés de répercuter les informations au niveau de la base. L’objectif du séminaire est de parvenir à une réduction significative de ce fléau d’ici 2014. Cela a conduit à la prise de mesures d’ordre institutionnel et stratégique, matérialisée par la création par décret n°2011-365 du 03 novembre 2011, du Comité Interministériel de lutte contre la traite, l’exploitation et le travail des enfants, présidé par le Ministre d’Etat, Ministre de l’Emploi, des Affaires Sociales et de la Solidarité ; la création par décret n°2011-366 du 03 novembre 2011du Comité National de Surveillance des actions de lutte contre la traite, l’exploitation et le travail des enfants, l’adoption, le 28 mars 2012, du Plan d’Action National 2012-2014 de lutte contre la traite, l’exploitation et le travail des enfants qui constitue le document de stratégie nationale de remédiation. Evidemment, une mesure ne peut être efficace que lorsqu’elle est bien comprise. C’est en cela que la Première Dame a décidé d’associer le corps préfectoral, à travers le séminaire de renforcement des capacités. Pour les acteurs de la lutte contre le travail et la traite des enfants, le Préfet, en sa qualité de représentant de l’Etat et de chacun des membres du Gouvernement, a une autorité qui s’exerce sur l’ensemble des responsables administratifs, militaires et communautaires de sa circonscription administrative. Sa fonction d’administrateur et d’agent de développement local lui permet de développer une relation d’autorité et de proximité avec les communautés et organisations sociales locales, afin d’obtenir leur adhésion et leur mobilisation pour un changement de comportement durable en faveur de la protection des enfants. Dans le cadre de ce séminaire, 95 Préfets sont concernés.
HK avec le sercm du CNS