ABIDJAN - Des experts ivoiriens et de la sous-région ouest africaine sont réunis lundi à Abidjan pour analyser les accidents maritimes à l'occasion de la célébration nationale de la Journée mondiale de la mer.
Débattant du thème "l'Organisation maritime internationale (OMI) , 100 ans après le Titanic", les experts ont souhaité "ne plus revivre un tel drame".
Le paquebot Titanic a fait naufrage dans l'océan pacifique en 1912 entraînant la mort d'au moins 1 500 passagers. "Le choix du thème vise à l'amélioration de la sécurité des navires devenus incontournables", a estimé le directeur de cabinet du ministre ivoirien des Transports, Diabaté Moussa, à l' ouverture de la cérémonie.
Il a insisté sur la place importante qu'occupe le domaine maritime dans le développement de la Côte d'Ivoire, indiquant que 90% des échanges de biens lointains de la Côte d'Ivoire sont consécutifs du transport maritime.
M. Diabaté n'a pas occulté les différents accidents maritimes qui sont dus à 80 %, selon lui, à des "erreurs humaines", se référant au drame du Titanic mais également à l'accident du Joola au Sénégal, survenu en 2002 et qui a fait 1.863 victimes.
"Il est nécessaire à ce point de protéger et de préserver les eaux marines de la pollution et de la piraterie", a-t-il ajouté.
Les experts auront à plancher sur des sous-thèmes tels que "la Côte d'Ivoire et la mise en oeuvre des instruments de l'OMI relatifs à la sécurité et à la sûreté maritimes".
Débattant du thème "l'Organisation maritime internationale (OMI) , 100 ans après le Titanic", les experts ont souhaité "ne plus revivre un tel drame".
Le paquebot Titanic a fait naufrage dans l'océan pacifique en 1912 entraînant la mort d'au moins 1 500 passagers. "Le choix du thème vise à l'amélioration de la sécurité des navires devenus incontournables", a estimé le directeur de cabinet du ministre ivoirien des Transports, Diabaté Moussa, à l' ouverture de la cérémonie.
Il a insisté sur la place importante qu'occupe le domaine maritime dans le développement de la Côte d'Ivoire, indiquant que 90% des échanges de biens lointains de la Côte d'Ivoire sont consécutifs du transport maritime.
M. Diabaté n'a pas occulté les différents accidents maritimes qui sont dus à 80 %, selon lui, à des "erreurs humaines", se référant au drame du Titanic mais également à l'accident du Joola au Sénégal, survenu en 2002 et qui a fait 1.863 victimes.
"Il est nécessaire à ce point de protéger et de préserver les eaux marines de la pollution et de la piraterie", a-t-il ajouté.
Les experts auront à plancher sur des sous-thèmes tels que "la Côte d'Ivoire et la mise en oeuvre des instruments de l'OMI relatifs à la sécurité et à la sûreté maritimes".