Le 18 octobre est la date d’anniversaire rappelant la naissance du président Félix Houphouët Boigny. L’union des secrétaires de sections du PDCI-RDA, présidée par Georges Aimé AKUE, va commémorer cet évènement à Yamoussoukro. Dans cet entretien, il donne les grandes articulations de ce grand rassemblement. M. AKUE s’est prononcé également sur le prochain congrès de son parti.
Pourquoi la création d’une union de secrétaires de sections ? Quelles sont ses missions ?
L’union a été créée par mes prédécesseurs lorsque le président Henri Konan Bédié était en exil. Elle s’est assignée trois missions essentielles à savoir : Premièrement, la lutte pour le retour du président Bédié d’exil. Deuxièmement, la lutte pour la réinstallation du président Bédié à la tête du parti. Enfin, la troisième mission, la lutte pour la réinstallation de Bédié à la tête de l’Etat de Côte d’Ivoire. Les deux premières missions ont été atteintes. Malheureusement, la troisième n’a pas aboutie.
Combien de sections compte l’union ?
Nous sommes présents dans le district d’Abidjan. Nous avons une intention d’entrer dans le sud Comoé très bientôt. Nous allons installer une coordination à Yamoussoukro. C’est une union qui devient forte.
Le Pdci-Rda prépare activement son prochain congrès. Quel rôle comptez-vous jouez ?
Nous sommes en train de préparer de manière très active l’organisation d’un séminaire de réflexion. Le comité de réflexion est présidé par le vice-gouverneur, Abi Raoul. Il est secrétaire général de section à Marcory (Anoumabo). Ensuite, nous donnerons notre position sur le congrès.
Le président Bédié est candidat à sa propre succession. Quel est votre avis?
C’est avec grande joie que nous accueillons cette nouvelle. Nous sommes les enfants d’Houphouët Boigny. Nous avons souhaité que le président Félix Houphouët Boigny reste toute la vie à la tête du pays et du Pdci-Rda. C’est la même chose que nous souhaitons pour le président Bédié. Malheureusement, ce grand homme a connu des difficultés lors de la succession à Félix Houphouët- Boigny. Une fois installée à la tête du pays. Il a fait de très bonnes choses pour la Côte d’Ivoire. Certains esprits chagrins n’ont pas voulu le laisser travailler. On a fait un coup d’Etat contre lui en 1999. La Côte d’Ivoire n’avait pas besoin. Vous voyez aujourd’hui les conséquences de ce coup de force. Nous saluons la candidature du président Bédié. Mieux, Henri Konan Bédié l’a dit, c’est son dernier combat. Nous, secrétaires généraux de section de Côte d’Ivoire à partir du 18 octobre à Yamoussoukro, nous allons annoncer officiellement notre soutien à sa candidature.
Quelle est cette cérémonie que vous organisez le 18 octobre à Yamoussoukro ?
Le 18 octobre est la date de naissance du président Félix Houphouët Boigny. Nous allons organiser une journée de reconnaissance à ce grand homme. Nous, secrétaires généraux de sections sommes mieux placés pour rendre immortel le président Félix Houphouët Boigny. En même temps, nous allons rassembler, réconcilier tous les Ivoiriens autour de ce grand homme. Que tous les ivoiriens se retrouvent à nos côtés le 18 octobre prchain. De sorte que, les enfants de Félix Houphouët Boigny se retrouvent autour de lui.
Quelles sont les articulations de cette manifestation ?
J’ai déjà rencontré le maire de Yamoussoukro. Cette manifestation est placée sous le haut patronage d’Henri Konan Bédié. Le président de la République, Alassane Ouattara est notre invité spécial. Plusieurs autres invités de marque et de hautes personnalités de l’Etat sont attendus. Les personnalités de l’opposition sont aussi nos invités. Cette cérémonie est placée sous la présidence du maire de Yamoussoukro, Jean KouaKou Gnrangbé. Nous souhaitons que ce jour là, tous les Ivoiriens comme un seul homme se retrouvent autour de Félix Houphouët-Boigny. Qu’on apprenne à se parler et qu’on oublie le passé pour un moment. Nous avons de gros soucis financiers. Nous souhaitons que les cadres du parti nous viennent en aide financièrement et matériellement. Il s’agit de dire au monde entier que Houphouët-Boigny n’est pas mort. Que le 18 octobre, Yamoussoukro soit noir de monde.
réalisée par
PATRICK N’GUESSAN
Pourquoi la création d’une union de secrétaires de sections ? Quelles sont ses missions ?
L’union a été créée par mes prédécesseurs lorsque le président Henri Konan Bédié était en exil. Elle s’est assignée trois missions essentielles à savoir : Premièrement, la lutte pour le retour du président Bédié d’exil. Deuxièmement, la lutte pour la réinstallation du président Bédié à la tête du parti. Enfin, la troisième mission, la lutte pour la réinstallation de Bédié à la tête de l’Etat de Côte d’Ivoire. Les deux premières missions ont été atteintes. Malheureusement, la troisième n’a pas aboutie.
Combien de sections compte l’union ?
Nous sommes présents dans le district d’Abidjan. Nous avons une intention d’entrer dans le sud Comoé très bientôt. Nous allons installer une coordination à Yamoussoukro. C’est une union qui devient forte.
Le Pdci-Rda prépare activement son prochain congrès. Quel rôle comptez-vous jouez ?
Nous sommes en train de préparer de manière très active l’organisation d’un séminaire de réflexion. Le comité de réflexion est présidé par le vice-gouverneur, Abi Raoul. Il est secrétaire général de section à Marcory (Anoumabo). Ensuite, nous donnerons notre position sur le congrès.
Le président Bédié est candidat à sa propre succession. Quel est votre avis?
C’est avec grande joie que nous accueillons cette nouvelle. Nous sommes les enfants d’Houphouët Boigny. Nous avons souhaité que le président Félix Houphouët Boigny reste toute la vie à la tête du pays et du Pdci-Rda. C’est la même chose que nous souhaitons pour le président Bédié. Malheureusement, ce grand homme a connu des difficultés lors de la succession à Félix Houphouët- Boigny. Une fois installée à la tête du pays. Il a fait de très bonnes choses pour la Côte d’Ivoire. Certains esprits chagrins n’ont pas voulu le laisser travailler. On a fait un coup d’Etat contre lui en 1999. La Côte d’Ivoire n’avait pas besoin. Vous voyez aujourd’hui les conséquences de ce coup de force. Nous saluons la candidature du président Bédié. Mieux, Henri Konan Bédié l’a dit, c’est son dernier combat. Nous, secrétaires généraux de section de Côte d’Ivoire à partir du 18 octobre à Yamoussoukro, nous allons annoncer officiellement notre soutien à sa candidature.
Quelle est cette cérémonie que vous organisez le 18 octobre à Yamoussoukro ?
Le 18 octobre est la date de naissance du président Félix Houphouët Boigny. Nous allons organiser une journée de reconnaissance à ce grand homme. Nous, secrétaires généraux de sections sommes mieux placés pour rendre immortel le président Félix Houphouët Boigny. En même temps, nous allons rassembler, réconcilier tous les Ivoiriens autour de ce grand homme. Que tous les ivoiriens se retrouvent à nos côtés le 18 octobre prchain. De sorte que, les enfants de Félix Houphouët Boigny se retrouvent autour de lui.
Quelles sont les articulations de cette manifestation ?
J’ai déjà rencontré le maire de Yamoussoukro. Cette manifestation est placée sous le haut patronage d’Henri Konan Bédié. Le président de la République, Alassane Ouattara est notre invité spécial. Plusieurs autres invités de marque et de hautes personnalités de l’Etat sont attendus. Les personnalités de l’opposition sont aussi nos invités. Cette cérémonie est placée sous la présidence du maire de Yamoussoukro, Jean KouaKou Gnrangbé. Nous souhaitons que ce jour là, tous les Ivoiriens comme un seul homme se retrouvent autour de Félix Houphouët-Boigny. Qu’on apprenne à se parler et qu’on oublie le passé pour un moment. Nous avons de gros soucis financiers. Nous souhaitons que les cadres du parti nous viennent en aide financièrement et matériellement. Il s’agit de dire au monde entier que Houphouët-Boigny n’est pas mort. Que le 18 octobre, Yamoussoukro soit noir de monde.
réalisée par
PATRICK N’GUESSAN