La pratique de la langue française n’est pas toujours aisée. Aussi la 3ème édition de la caravane du français veut-elle contribuer à son bon maniement.
Donner à la langue de Molière en Côte d’Ivoire ses lettres de noblesse. C’est tout l’enjeu de la 3ème édition de la caravane du français dont la finale aura lieu le samedi 20 octobre à l’Institut français (ex-Centre culturel français). L’information a été donnée hier à Cocody par le Prof Aliou Mane, président fondateur de l’Université de l’Atlantique initiateur dudit concours. Selon le conférencier, il s’agit de rehausser le niveau du français par le goût de la lecture et susciter des vocations à l’écriture. De même qu’une saine émulation entre les populations par cette compétition qui met en valeur leurs compétences dans le bon usage du français. Car, soutient-il, les pédagogues mal formés, la scolarisation tous azimuts et autres effectifs pléthoriques dans les salles de classes ne permettent pas d’avoir une maîtrise correcte des règles de la langue française. De plus l’appropriation de « cet outil de travail » par les populations est une nécessité dans la mesure où plusieurs nations l’ont en partage dans l’espace francophone. Les villes de Tiassalé, Aboisso, Bingerville, Taabo et les communes de Koumassi, Cocody, Port-Bouët sont les finalistes. Elles se confronteront en grammaire, vocabulaire et culture générale. Le 1er prix est celui du parrain Maurice kouakou Bandaman, ministre de la culture et de la francophonie.
Franck Koffi
Donner à la langue de Molière en Côte d’Ivoire ses lettres de noblesse. C’est tout l’enjeu de la 3ème édition de la caravane du français dont la finale aura lieu le samedi 20 octobre à l’Institut français (ex-Centre culturel français). L’information a été donnée hier à Cocody par le Prof Aliou Mane, président fondateur de l’Université de l’Atlantique initiateur dudit concours. Selon le conférencier, il s’agit de rehausser le niveau du français par le goût de la lecture et susciter des vocations à l’écriture. De même qu’une saine émulation entre les populations par cette compétition qui met en valeur leurs compétences dans le bon usage du français. Car, soutient-il, les pédagogues mal formés, la scolarisation tous azimuts et autres effectifs pléthoriques dans les salles de classes ne permettent pas d’avoir une maîtrise correcte des règles de la langue française. De plus l’appropriation de « cet outil de travail » par les populations est une nécessité dans la mesure où plusieurs nations l’ont en partage dans l’espace francophone. Les villes de Tiassalé, Aboisso, Bingerville, Taabo et les communes de Koumassi, Cocody, Port-Bouët sont les finalistes. Elles se confronteront en grammaire, vocabulaire et culture générale. Le 1er prix est celui du parrain Maurice kouakou Bandaman, ministre de la culture et de la francophonie.
Franck Koffi