La petite ville ghanéenne d'Elubo, à la frontière avec la Côte d'Ivoire, était habituée au ramdam incessant de la circulation avec la Côte d'Ivoire qui commence de l'autre côté de la rivière Tanoé. Mais un vacarme d'un genre nouveau a éclaté une nuit du mois dernier, celui des armes à feu.
"Ils ont tiré, tiré et tiré", raconte Thomas Offin, un changeur installé à la frontière, encore sous le coup de l'incident.
Car si cette localité, succession de stations-service, de bouibouis et de bureaux de change, s'était accoutumée à voir des Ivoiriens passer la frontière lors de la crise électorale qui a ébranlé leur pays l'an dernier, ils n'avaient pas encore eu droit à une fusillade en bonne et due forme. suite de l'article sur Slate Afrique
"Ils ont tiré, tiré et tiré", raconte Thomas Offin, un changeur installé à la frontière, encore sous le coup de l'incident.
Car si cette localité, succession de stations-service, de bouibouis et de bureaux de change, s'était accoutumée à voir des Ivoiriens passer la frontière lors de la crise électorale qui a ébranlé leur pays l'an dernier, ils n'avaient pas encore eu droit à une fusillade en bonne et due forme. suite de l'article sur Slate Afrique