Cette fois, c’est le gouvernement ghanéen qui réagit officiellement au rapport des experts indépendants de l’Onu. «Le gouvernement du Ghana est donc surpris de constater que les observations du Groupe sur les questions connexes n’ont pas été partagées avec le gouvernement avant la publication hâtive du rapport provisoire», reprouve son ministère des Affaires étrangères et de l’intégration régionale dans une déclaration dont notre Rédaction a reçu copie. Nonobstant, il reconnaît avoir reçu et « autorisé» les experts à visiter le Ghana.
«En accordant cette opportunité et en fournissant toutes les informations demandées par les experts, le gouvernement du Ghana a ouvertement démontré sa bonne foi et sa disposition à coopérer pleinement avec les Nations unies en vue du suivi et de la mise en œuvre de ses décisions et résolutions », fait-il remarquer, tout en notant sa « consternation » devant la publication inattendue dudit document.
Selon les autorités ghanéennes, elles ont parlé de la mise en œuvre des régimes des sanctions imposées à la Côte d’Ivoire. Du reste, « le gouvernement du Ghana, peut-on lire, désapprouve fermement le contenu de ce prétendu rapport puisqu’il cherche à accorder du crédit aux allégations répétées que le Ghana est utilisé comme une base des réfugiés et exilés ivoiriens au Ghana pour déstabiliser le gouvernement ivoirien».
BI
«En accordant cette opportunité et en fournissant toutes les informations demandées par les experts, le gouvernement du Ghana a ouvertement démontré sa bonne foi et sa disposition à coopérer pleinement avec les Nations unies en vue du suivi et de la mise en œuvre de ses décisions et résolutions », fait-il remarquer, tout en notant sa « consternation » devant la publication inattendue dudit document.
Selon les autorités ghanéennes, elles ont parlé de la mise en œuvre des régimes des sanctions imposées à la Côte d’Ivoire. Du reste, « le gouvernement du Ghana, peut-on lire, désapprouve fermement le contenu de ce prétendu rapport puisqu’il cherche à accorder du crédit aux allégations répétées que le Ghana est utilisé comme une base des réfugiés et exilés ivoiriens au Ghana pour déstabiliser le gouvernement ivoirien».
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