ABIDJAN - Une réunion d'urgence de la haute hiérarchie militaire s'est tenue mercredi à Abidjan en vue de la "sécurisation optimale" des sites stratégiques du pays, a appris Xinhua mercredi de source officielle.
Les chefs des grands commandements militaires des forces ivoiriennes et des forces de l'Opération des Nations-Unies en Côte d'Ivoire ont convenu avec des autorités gouvernementales ivoiriennes de la nécessité de mettre en place des stratégies visant à dissuader toute velléité ou de sabotage de sites.
"Avec l'appui du ministère ivoirien de la Défense, nous sommes assurés qu'aucun de nos sites ne sera violé", a noté le ministre ivoirien des Mines et de l'Energie Adama Toungara.
A en croire celui-ci, il n'y aura pas de délestage dû à la destruction de certains équipements de la centrale thermique d' Azito (ouest d'Abidjan).
Dans la nuit de dimanche à lundi, des individus armés ont attaqué la centrale thermique d'Azito située dans la commune de Yopougon (ouest d'Abidjan), endommageant l'une des deux turbines.
La centrale thermique d'Azito se présente comme un site hautement stratégique car constituant une source de fourniture en énergie électrique pour la capitale économique ivoirienne.
Au total, neuf personnes parmi les assaillants ont été appréhendées, y compris deux policiers, deux gendarmes, trois marins et deux civils.
La même nuit, un poste de contrôle de l'armée, un commissariat de police et une brigade de gendarmerie ont été attaqués à Bonoua et Samo à moins de 100 km au sud-est d'Abidjan.
Officiellement, ces attaques n'ont pas fait de victimes dans les rangs de l'armée nationale mais deux assaillants ont été tués.
Depuis début août, des positions de l'armée nationale sont visées par des attaques d'individus.
Les chefs des grands commandements militaires des forces ivoiriennes et des forces de l'Opération des Nations-Unies en Côte d'Ivoire ont convenu avec des autorités gouvernementales ivoiriennes de la nécessité de mettre en place des stratégies visant à dissuader toute velléité ou de sabotage de sites.
"Avec l'appui du ministère ivoirien de la Défense, nous sommes assurés qu'aucun de nos sites ne sera violé", a noté le ministre ivoirien des Mines et de l'Energie Adama Toungara.
A en croire celui-ci, il n'y aura pas de délestage dû à la destruction de certains équipements de la centrale thermique d' Azito (ouest d'Abidjan).
Dans la nuit de dimanche à lundi, des individus armés ont attaqué la centrale thermique d'Azito située dans la commune de Yopougon (ouest d'Abidjan), endommageant l'une des deux turbines.
La centrale thermique d'Azito se présente comme un site hautement stratégique car constituant une source de fourniture en énergie électrique pour la capitale économique ivoirienne.
Au total, neuf personnes parmi les assaillants ont été appréhendées, y compris deux policiers, deux gendarmes, trois marins et deux civils.
La même nuit, un poste de contrôle de l'armée, un commissariat de police et une brigade de gendarmerie ont été attaqués à Bonoua et Samo à moins de 100 km au sud-est d'Abidjan.
Officiellement, ces attaques n'ont pas fait de victimes dans les rangs de l'armée nationale mais deux assaillants ont été tués.
Depuis début août, des positions de l'armée nationale sont visées par des attaques d'individus.
