Cela fait exactement deux semaines, que la cité du Tchologo est confrontée aux coupures intempestives d’électricité. Une sorte de délestage qui ne dit pas son nom. Tous les soirs entre 18heures 30 et 21 heures, la ville reste plongée dans un noir indescriptible. Paralysant ainsi, toutes les activités liées à l’utilisation de l’électricité et des actes de banditisme. Cette situation est-elle la conséquence des ressentes attaques de la centrale thermique d’Azito ? Toute porte à le croire. En attendant, les populations vivent le martyr. A quand la fin ? violente question a dit l’artiste.
Hamed Billy
Hamed Billy