Bouaké-Le Festival international du film des lagunes (FESTILAG) a organisé vendredi au centre culturel Jacques Aka de Bouaké une soirée de films afin de réconcilier les cinéphiles de Gbèkè avec le septième art.
Le public a eu droit à deux films. Le premier, "Au-delà du miroir", un court métrage de 13 mn sans dialogue ni parole réalisé par l’ivoirien Henri Porquet. Il parle du drame psychologie d’un personnage qui, après avoir vécu les événements postélectoraux en Côte d’Ivoire, a du mal à se regarder dans son miroir.
Le second film, un long métrage intitulé "Le poids du serment", montre comment les problèmes de caste et de la tradition qui s’invitent dans la vie moderne, sont réglés.
Nominé grand prix du festival 2012, ce film est l’œuvre du cinéaste burkinabé Daniel Sanou Kollo.
Ces séances, dénommées "Réconciné", se poursuivent ce samedi avec la projection de deux autres films, en vue d’associer le cinéma au processus de réconciliation.
Au-delà de ces projections, le concept du festival international du cinéma initié par Naky Sy Savané, présidente du FESTILAG, est de permettre à la population ivoirienne de découvrir ou redécouvrir le cinéma.
"Les gens connaissent la télévision, mais n’arrivent pas à faire la différence entre la télévision et le cinéma. C’est cette différence là qu’on veut apporter aux ivoiriens et surtout leur montrer que le cinéma est un loisir éducatif en même temps", a fait savoir Kélétigui Coulibaly, délégué général du festival international du film des lagunes.
"Il s’agit aussi de faire en sorte que les jeunes soient initiés au cinéma, à son charme et à toutes les valeurs que peut porter le cinéma, avec l’idée de relancer l’industrie du cinéma en en Afrique et particulièrement en Côte d’Ivoire", a-t-il ajouté.
Il a expliqué que cette idée tient à cœur à la présidente du festival qui rêve de voir les populations africaines profiter des vertus du septième art dont la puissance a permis à l’Amérique d’imposer son mode de vie au monde.
(AIP)
Nam/kp
Le public a eu droit à deux films. Le premier, "Au-delà du miroir", un court métrage de 13 mn sans dialogue ni parole réalisé par l’ivoirien Henri Porquet. Il parle du drame psychologie d’un personnage qui, après avoir vécu les événements postélectoraux en Côte d’Ivoire, a du mal à se regarder dans son miroir.
Le second film, un long métrage intitulé "Le poids du serment", montre comment les problèmes de caste et de la tradition qui s’invitent dans la vie moderne, sont réglés.
Nominé grand prix du festival 2012, ce film est l’œuvre du cinéaste burkinabé Daniel Sanou Kollo.
Ces séances, dénommées "Réconciné", se poursuivent ce samedi avec la projection de deux autres films, en vue d’associer le cinéma au processus de réconciliation.
Au-delà de ces projections, le concept du festival international du cinéma initié par Naky Sy Savané, présidente du FESTILAG, est de permettre à la population ivoirienne de découvrir ou redécouvrir le cinéma.
"Les gens connaissent la télévision, mais n’arrivent pas à faire la différence entre la télévision et le cinéma. C’est cette différence là qu’on veut apporter aux ivoiriens et surtout leur montrer que le cinéma est un loisir éducatif en même temps", a fait savoir Kélétigui Coulibaly, délégué général du festival international du film des lagunes.
"Il s’agit aussi de faire en sorte que les jeunes soient initiés au cinéma, à son charme et à toutes les valeurs que peut porter le cinéma, avec l’idée de relancer l’industrie du cinéma en en Afrique et particulièrement en Côte d’Ivoire", a-t-il ajouté.
Il a expliqué que cette idée tient à cœur à la présidente du festival qui rêve de voir les populations africaines profiter des vertus du septième art dont la puissance a permis à l’Amérique d’imposer son mode de vie au monde.
(AIP)
Nam/kp