Bondoukou, S’il y a une constante qui revient au cœur des attentes et préoccupations des populations du district du Zanzan, c’est bien l’accès à l’eau potable et à l’électricité, ainsi que l’amélioration de leurs conditions de vie face à la hausse des prix des produits de grande consommation.
"Si le Président Ouattara trouve des solutions à nos aspirations, nous ne pouvons que le louer davantage", font savoir des femmes venues de la mosquée Koudouss pour prendre part à Bondoukou, à une cérémonie œcuménique en faveur du chef de l’Etat qui entame, mardi, une visite d’Etat de quatre jours dans le district du Zanzan.
Mme Koffi Amenan Nifodja, tenancière d’un restaurant dans un hôtel de la place, déplore, pour sa part, que "les coupures d’électricité ont lieu tous les trois jours, de même que les coupures d’eau dont la rupture du ravitaillement peut aller jusqu’à 30 jours".
Autres lieux communs qui transpirent des conversations, des complaintes ou allusions nostalgiques de la gouvernance d’Houphouët-Boigny, la mauvaise qualité ou l’absence de voies de communication qui permettent aux régions du Bounkani et du Gontougou de s’ouvrir vers les autres localités du pays.
Des artisans rencontrés vers le centre ville appellent à la mise en œuvre d’un programme volontariste de construction d’infrastructures, notamment des routes et des pistes carrossables, pour favoriser la circulation des personnes et des biens, ainsi que les échanges intra et inter communautaires.
A la veille de la visite du président de la République dans leur région, les jeunes de Bondoukou en escomptent des solutions à leur situation d’emploi. Et ce n’est pas sans raisons que les frères Gaoussou et Mahama Ouattara, respectivement 32 et 30 ans, soulignent avec force que "à Bondoukou, tous les jeunes sont des chômeurs".
Pour le reste, cadres, leaders religieux et communautaires, autorités politiques, administratives et traditionnelles, enfants, jeunes femmes, élèves et étudiants estiment que cette visite d’Etat constitue un honneur pour eux et à leur grande région.
(AIP)
Nf/kp
"Si le Président Ouattara trouve des solutions à nos aspirations, nous ne pouvons que le louer davantage", font savoir des femmes venues de la mosquée Koudouss pour prendre part à Bondoukou, à une cérémonie œcuménique en faveur du chef de l’Etat qui entame, mardi, une visite d’Etat de quatre jours dans le district du Zanzan.
Mme Koffi Amenan Nifodja, tenancière d’un restaurant dans un hôtel de la place, déplore, pour sa part, que "les coupures d’électricité ont lieu tous les trois jours, de même que les coupures d’eau dont la rupture du ravitaillement peut aller jusqu’à 30 jours".
Autres lieux communs qui transpirent des conversations, des complaintes ou allusions nostalgiques de la gouvernance d’Houphouët-Boigny, la mauvaise qualité ou l’absence de voies de communication qui permettent aux régions du Bounkani et du Gontougou de s’ouvrir vers les autres localités du pays.
Des artisans rencontrés vers le centre ville appellent à la mise en œuvre d’un programme volontariste de construction d’infrastructures, notamment des routes et des pistes carrossables, pour favoriser la circulation des personnes et des biens, ainsi que les échanges intra et inter communautaires.
A la veille de la visite du président de la République dans leur région, les jeunes de Bondoukou en escomptent des solutions à leur situation d’emploi. Et ce n’est pas sans raisons que les frères Gaoussou et Mahama Ouattara, respectivement 32 et 30 ans, soulignent avec force que "à Bondoukou, tous les jeunes sont des chômeurs".
Pour le reste, cadres, leaders religieux et communautaires, autorités politiques, administratives et traditionnelles, enfants, jeunes femmes, élèves et étudiants estiment que cette visite d’Etat constitue un honneur pour eux et à leur grande région.
(AIP)
Nf/kp