Le maire-résident de Bouna, Camara Nouho souhaite la réhabilitation rapide des bâtiments de la mairie pris en compte par le programme présidentiel d’urgence (PPU), afin que les agents puissent travailler efficacement.
Le bâtiment abritant la mairie ne dispose ni de meubles, ni de sièges, encore moins de portes pour les bureaux. Ce qui a une incidence sur le rendement de ces agents. « Comme tu vois ce bâtiment, tu es arrêté présentement, tu n’es pas assis. Moi je suis assis sur un tabouret en train de travailler », a ironisé le maire-résident lors d’un entretien avec l’AIP, dans l’un de ces bureaux.
Le premier magistrat de la commune de Bouna a remercié le chef de l’Etat pour le don d’engins de ramassage des ordures qui énormément fait défaut à la mairie. « Donc vraiment, je prie Dieu et je demande au chef de l’Etat de penser à nous rapidement pour la réhabilitation de ce bâtiment pour qu’on puisse véritablement travailler », a-t-il insisté.
Profitant de l’occasion, le maire-résident, réitérant l’appel du chef de l’Etat à la paix et la réconciliation, a invité tous les cadres, femmes, enfants à l’union. « Je les interpelle en tant que maire-résident, pendant dix ans j’étais là, je représente en quelque sorte la bibliothèque du parti », a-t-il soutenu.
« Il faut que nous organisions une journée de réconciliation véritable pour que tous les fils, tous les cadres, tous les jeunes, les enfants se mettent ensemble pour voir comment il faut réussir cette réconciliation et comment il faut faire avancer cette région », a-t-il affirmé. « Si le chef de l’Etat a insisté sur la réconciliation, c’est qu’il a vraiment appris quelque chose à Bouna », a ajouté M. Camara.
Les échéances électorales de décembre 2011 avaient fait apparaître des dissensions entre les candidats, ce qui a avait eu pour conséquence l’annulation des résultats des législatives à Bouna et la reprise de ces élections par la Commission électorale indépendante.
« Le pays est en train de se battre pour la paix et la sécurité, Bouna aussi c’est pareil, Bouna fait partie de la Côte d’Ivoire comme les autres régions, il faut demander la réconciliation. C’est pourquoi, le chef de l’Etat nous interpelle », a-t-il conclu.
(AIP)
Le bâtiment abritant la mairie ne dispose ni de meubles, ni de sièges, encore moins de portes pour les bureaux. Ce qui a une incidence sur le rendement de ces agents. « Comme tu vois ce bâtiment, tu es arrêté présentement, tu n’es pas assis. Moi je suis assis sur un tabouret en train de travailler », a ironisé le maire-résident lors d’un entretien avec l’AIP, dans l’un de ces bureaux.
Le premier magistrat de la commune de Bouna a remercié le chef de l’Etat pour le don d’engins de ramassage des ordures qui énormément fait défaut à la mairie. « Donc vraiment, je prie Dieu et je demande au chef de l’Etat de penser à nous rapidement pour la réhabilitation de ce bâtiment pour qu’on puisse véritablement travailler », a-t-il insisté.
Profitant de l’occasion, le maire-résident, réitérant l’appel du chef de l’Etat à la paix et la réconciliation, a invité tous les cadres, femmes, enfants à l’union. « Je les interpelle en tant que maire-résident, pendant dix ans j’étais là, je représente en quelque sorte la bibliothèque du parti », a-t-il soutenu.
« Il faut que nous organisions une journée de réconciliation véritable pour que tous les fils, tous les cadres, tous les jeunes, les enfants se mettent ensemble pour voir comment il faut réussir cette réconciliation et comment il faut faire avancer cette région », a-t-il affirmé. « Si le chef de l’Etat a insisté sur la réconciliation, c’est qu’il a vraiment appris quelque chose à Bouna », a ajouté M. Camara.
Les échéances électorales de décembre 2011 avaient fait apparaître des dissensions entre les candidats, ce qui a avait eu pour conséquence l’annulation des résultats des législatives à Bouna et la reprise de ces élections par la Commission électorale indépendante.
« Le pays est en train de se battre pour la paix et la sécurité, Bouna aussi c’est pareil, Bouna fait partie de la Côte d’Ivoire comme les autres régions, il faut demander la réconciliation. C’est pourquoi, le chef de l’Etat nous interpelle », a-t-il conclu.
(AIP)