Les organisations de société civile et les groupements d’intérêt économique locaux, réclament plus de sécurité économique pour les jeunes et les femmes ainsi que pour la région, " de loin déshérité et en retard d’un développement". Par la voix de leurs leaders Koffi François, président d’une mutuelle de développement, Ayé Alin, Ouattara Siriki, dirigeants d’un mouvement de jeunes, Mariam Ouattara, porte-parole des femmes RHDP, Madjalia Touré, présidente d’une union de femmes, ces organisations demandent que grand cas soit fait désormais de leurs conditions.
"En tant que jeunes et femmes, cette visite du président ADO, nous réjouit énormément, car elle donne l’occasion de se saisir de la réalité du vécu des populations et des ménages", soulignent-ils, et appellent expressément, le gouvernement à trouver réponse à leurs préoccupations et attentes, notamment au niveau de l’adduction d’eau et de l’accès à l’eau potable, à l’électricité, aux routes et à la voirie ainsi qu’à l’emploi des jeunes et l’insertion sociale des femmes.
Les leaders d’opinion font également savoir que cette visite d’Etat devra offrir par ailleurs l’opportunité de trouver des solutions efficientes à la question récurrente de l’exploitation (abusive) des ressources naturelles, notamment le manganèse et l’or dont la région et les populations ne tirent aucun dividende ainsi que le bois dont l’exploitation également va au-delà du huitième parallèle au mépris de la législation en vigueur dans le domaine. Estimant que seule l’union est porteuse d’espérance, ces leaders appellent les cadres à la cohésion, l’entente et à la solidarité en vue de rendre tout possible. "Tout est possible dans le meilleur des mondes pour peu qu’on accepte d’aliéner un peu de son amour propre", formulent-ils.
S’agissant de l’insertion sociale, les femmes demandent un appui sous forme d’aide au financement de projets-femmes. De source digne d’intérêt, l’on annonce que l’épouse du chef de l’Etat Mme Dominique Ouattara va à l’occasion de cette visite octroyer aux femmes de la région du Gontougou un appui de 100 millions de FCFA, domiciliés dans un établissement financier de la place pour appuyer les projets-femmes. Les femmes appellent notamment à un renforcement de la politique de la scolarisation de la jeune fille par l’ouverture d’écoles, de collèges et d’internats pour jeunes filles, en vue de créer les conditions de leur réussite sociale future.
"En tant que jeunes et femmes, cette visite du président ADO, nous réjouit énormément, car elle donne l’occasion de se saisir de la réalité du vécu des populations et des ménages", soulignent-ils, et appellent expressément, le gouvernement à trouver réponse à leurs préoccupations et attentes, notamment au niveau de l’adduction d’eau et de l’accès à l’eau potable, à l’électricité, aux routes et à la voirie ainsi qu’à l’emploi des jeunes et l’insertion sociale des femmes.
Les leaders d’opinion font également savoir que cette visite d’Etat devra offrir par ailleurs l’opportunité de trouver des solutions efficientes à la question récurrente de l’exploitation (abusive) des ressources naturelles, notamment le manganèse et l’or dont la région et les populations ne tirent aucun dividende ainsi que le bois dont l’exploitation également va au-delà du huitième parallèle au mépris de la législation en vigueur dans le domaine. Estimant que seule l’union est porteuse d’espérance, ces leaders appellent les cadres à la cohésion, l’entente et à la solidarité en vue de rendre tout possible. "Tout est possible dans le meilleur des mondes pour peu qu’on accepte d’aliéner un peu de son amour propre", formulent-ils.
S’agissant de l’insertion sociale, les femmes demandent un appui sous forme d’aide au financement de projets-femmes. De source digne d’intérêt, l’on annonce que l’épouse du chef de l’Etat Mme Dominique Ouattara va à l’occasion de cette visite octroyer aux femmes de la région du Gontougou un appui de 100 millions de FCFA, domiciliés dans un établissement financier de la place pour appuyer les projets-femmes. Les femmes appellent notamment à un renforcement de la politique de la scolarisation de la jeune fille par l’ouverture d’écoles, de collèges et d’internats pour jeunes filles, en vue de créer les conditions de leur réussite sociale future.