Les autorités de Côte d'Ivoire sont divisées sur l'attitude à adopter après l'émission par la Cour pénale internationale (CPi) d'un mandat d'arrêt contre Simone Gbagbo.
La Cour pénale internationale (CPI) s'impatiente. Le 29 février dernier, elle a émis un mandat d'arrêt contre Simone Gbagbo, 63 ans, l'épouse de l'ancien président, détenue depuis avril 2011 à Odienné, dans le nord de la Côte d'Ivoire. Le bureau du procureur de la CPI l'accuse en effet d'avoir participé, à partir de novembre 2010, à un plan visant à maintenir son mari au pouvoir et d'avoir donné des ordres aux milices et aux forces de sécurité ciblant les partisans d'Alassane Ouattara.
Pour ne pas brusquer les autorités ivoiriennes, la CPI avait pris soin de leur adresser ce mandat dans la... suite de l'article sur Jeune Afrique
La Cour pénale internationale (CPI) s'impatiente. Le 29 février dernier, elle a émis un mandat d'arrêt contre Simone Gbagbo, 63 ans, l'épouse de l'ancien président, détenue depuis avril 2011 à Odienné, dans le nord de la Côte d'Ivoire. Le bureau du procureur de la CPI l'accuse en effet d'avoir participé, à partir de novembre 2010, à un plan visant à maintenir son mari au pouvoir et d'avoir donné des ordres aux milices et aux forces de sécurité ciblant les partisans d'Alassane Ouattara.
Pour ne pas brusquer les autorités ivoiriennes, la CPI avait pris soin de leur adresser ce mandat dans la... suite de l'article sur Jeune Afrique