La grande salle de la Maison du Pdci à Daloa a, le dimanche 2 décembre 2012, abrité une réunion relative aux municipales 2013.
«Pour la commune de Daloa, le Pdci a une liste unique qui ira aux élections municipales du 24 février 2013. Et c’est Me Kossougro, qui est la tête de cette liste. C’est pourquoi, je vous mets en mission ». Telle a été l’information que Me Kossougro Séry Emile Christophe, Délégué communal Pdci de Daloa a passée aux femmes de la cité, à travers celles de son parti. « Vous, les femmes, vous vous êtes battues pour que ceci soit. Donc, vous devez terminer ce que vous avez commencé en faisant le porte-à-porte chez vos voisines pour leur passer l’information», leur a-t-il demandé. Pour développer Daloa, ce n’est pas une affaire de parti politique, mais une affaire de qui peut et qui est l’agent de développement. «J’ai fait mes preuves à tête du Conseil municipal de Daloa. Tout le monde a vu ce que j’ai fait en si peu de temps. J’ai des relations à travers le monde qui m’ont permis de doter la commune de feux tricolores et de redorer son blason». Ce sont ces quelques éléments que le candidat a donné aux femmes pour leur mission. «Actuellement, il n’y a plus de routes praticables à Daloa. Les taxis refusent d’aller dans certains quartiers et les dépotoirs d’ordures sauvages sont de retour partout», a souligné avec force l’avocat-candidat. Quant aux femmes, par la voix de la présidente de l’UFPDCI pour le Haut-Sassandra, Mme Séry Kanon Thérèse, elle a exhorté toutes les femmes de Daloa à commencer à chuchoter cette candidature dans les oreilles de leurs époux à des moments bien choisis. «C’est nous, les femmes qui souffrons pour nourrir la famille quand le mari est en difficulté financière. Le grand marché est brûlé et ce sont encore nous, les femmes qui allont encore souffrir», a martelé la présidente. Pour Touré Tiémoko, membre du Conseil politique Pdci à Daloa, ce sont les femmes qui se sont levées pour mener la bataille qui est en passe d’être gagnée. C’est pourquoi, il les a incitées à travailler d’arrache-pied pour que la victoire au soir du dimanche 24 février soit à elles. Lorsque l’auditoire des femmes a pris la parole, elle a promis la main sur le cœur de faire en sorte que la voix du développement soit entendue.
M.Ouattara, envoyé spécial
«Pour la commune de Daloa, le Pdci a une liste unique qui ira aux élections municipales du 24 février 2013. Et c’est Me Kossougro, qui est la tête de cette liste. C’est pourquoi, je vous mets en mission ». Telle a été l’information que Me Kossougro Séry Emile Christophe, Délégué communal Pdci de Daloa a passée aux femmes de la cité, à travers celles de son parti. « Vous, les femmes, vous vous êtes battues pour que ceci soit. Donc, vous devez terminer ce que vous avez commencé en faisant le porte-à-porte chez vos voisines pour leur passer l’information», leur a-t-il demandé. Pour développer Daloa, ce n’est pas une affaire de parti politique, mais une affaire de qui peut et qui est l’agent de développement. «J’ai fait mes preuves à tête du Conseil municipal de Daloa. Tout le monde a vu ce que j’ai fait en si peu de temps. J’ai des relations à travers le monde qui m’ont permis de doter la commune de feux tricolores et de redorer son blason». Ce sont ces quelques éléments que le candidat a donné aux femmes pour leur mission. «Actuellement, il n’y a plus de routes praticables à Daloa. Les taxis refusent d’aller dans certains quartiers et les dépotoirs d’ordures sauvages sont de retour partout», a souligné avec force l’avocat-candidat. Quant aux femmes, par la voix de la présidente de l’UFPDCI pour le Haut-Sassandra, Mme Séry Kanon Thérèse, elle a exhorté toutes les femmes de Daloa à commencer à chuchoter cette candidature dans les oreilles de leurs époux à des moments bien choisis. «C’est nous, les femmes qui souffrons pour nourrir la famille quand le mari est en difficulté financière. Le grand marché est brûlé et ce sont encore nous, les femmes qui allont encore souffrir», a martelé la présidente. Pour Touré Tiémoko, membre du Conseil politique Pdci à Daloa, ce sont les femmes qui se sont levées pour mener la bataille qui est en passe d’être gagnée. C’est pourquoi, il les a incitées à travailler d’arrache-pied pour que la victoire au soir du dimanche 24 février soit à elles. Lorsque l’auditoire des femmes a pris la parole, elle a promis la main sur le cœur de faire en sorte que la voix du développement soit entendue.
M.Ouattara, envoyé spécial