Abidjan – Sous les auspices du président du Comité consultatif national de bioéthique de Côte d’Ivoire (CCNB-CI), Prof. Poamé Lazare, les membres de cette organisation ont participé de mardi à vendredi à l’ENSEA (Cocody, Abidjan), à un atelier de formation portant sur le thème « Bioéthique et paix ».
Procédant à la clôture officielle de la formation, le directeur de cabinet de la ministre de l’Education nationale et de l’Enseignement technique, Menet Assoumou Kabran s’est réjoui de la pertinence du thème qui s’inscrit dans la droite ligne de l’ambition du Président de la République qui « ne ménage aucun effort pour rétablir la confiance entre la Côte d’Ivoire et ses partenaires internationaux ».
« Car, en choisissant ce thème, vous démontrez clairement que vous avez compris le message du Président de la République qui veut que chaque Ivoirien s’approprie le processus de réconciliation et de paix dans le domaine qui est le sien », a indiqué l’émissaire de la ministre Kandia Camara. « Qu’une telle démarche vienne et provienne du secteur en charge de l’éducation des Ivoiriens et Ivoiriennes est une très bonne chose », a-t-il renchéri.
La ministre de l’Education nationale et de l’Enseignement technique, par la voix de son directeur de cabinet, s’est réjouie du choix de la Côte d’Ivoire par l’UNESCO, pour abriter, pour la 3ème fois, ce genre d’initiative. Elle a insisté sur l’importance des comités consultatifs de bioéthique dont « le poids de l’éclairage (…) revêt une grande importance dans les prises de décisions engageant la vie des nations ».
Auparavant, le secrétaire général de la Commission nationale ivoirienne pour l’UNESCO, Prof. Lou Mathieu Bamba a fait observer que le rôle de la bioéthique est fondamental en « permettant d’ajuster constamment et avec une critique avisée, la relation entre humain et humain, entre humain et son environnement afin d’éviter la dégradation de cette relation ».
De son côté, Prof. Poamé s’est appesanti sur les sous-thèmes abordés pendant la formation et ayant la paix comme l’élément transcendant toutes les problématiques, notamment le respect de la dignité de la personne humaine comme valeur intrinsèque; le respect de la diversité culturelle et du pluralisme; le partage des bienfaits; la non discrimination et la non stigmatisation; la protection des générations futures, de l’environnement, de la biosphère et de la biodiversité; la responsabilité sociale.
Trois expertes, Marie-Géneviève Pinsart de l’Université Libre de Bruxelles, Lizbeth Sagols de l’Université de Mexico et Dafna Feinholz de l’Unesco Paris ont assuré la formation des membres du CCNB-CI.
Procédant à la clôture officielle de la formation, le directeur de cabinet de la ministre de l’Education nationale et de l’Enseignement technique, Menet Assoumou Kabran s’est réjoui de la pertinence du thème qui s’inscrit dans la droite ligne de l’ambition du Président de la République qui « ne ménage aucun effort pour rétablir la confiance entre la Côte d’Ivoire et ses partenaires internationaux ».
« Car, en choisissant ce thème, vous démontrez clairement que vous avez compris le message du Président de la République qui veut que chaque Ivoirien s’approprie le processus de réconciliation et de paix dans le domaine qui est le sien », a indiqué l’émissaire de la ministre Kandia Camara. « Qu’une telle démarche vienne et provienne du secteur en charge de l’éducation des Ivoiriens et Ivoiriennes est une très bonne chose », a-t-il renchéri.
La ministre de l’Education nationale et de l’Enseignement technique, par la voix de son directeur de cabinet, s’est réjouie du choix de la Côte d’Ivoire par l’UNESCO, pour abriter, pour la 3ème fois, ce genre d’initiative. Elle a insisté sur l’importance des comités consultatifs de bioéthique dont « le poids de l’éclairage (…) revêt une grande importance dans les prises de décisions engageant la vie des nations ».
Auparavant, le secrétaire général de la Commission nationale ivoirienne pour l’UNESCO, Prof. Lou Mathieu Bamba a fait observer que le rôle de la bioéthique est fondamental en « permettant d’ajuster constamment et avec une critique avisée, la relation entre humain et humain, entre humain et son environnement afin d’éviter la dégradation de cette relation ».
De son côté, Prof. Poamé s’est appesanti sur les sous-thèmes abordés pendant la formation et ayant la paix comme l’élément transcendant toutes les problématiques, notamment le respect de la dignité de la personne humaine comme valeur intrinsèque; le respect de la diversité culturelle et du pluralisme; le partage des bienfaits; la non discrimination et la non stigmatisation; la protection des générations futures, de l’environnement, de la biosphère et de la biodiversité; la responsabilité sociale.
Trois expertes, Marie-Géneviève Pinsart de l’Université Libre de Bruxelles, Lizbeth Sagols de l’Université de Mexico et Dafna Feinholz de l’Unesco Paris ont assuré la formation des membres du CCNB-CI.