Les militaires français jugés à Paris pour l'avoir tué dans son pays n'ont aucun doute, l'Ivoirien Firmin Mahé était un criminel, un "coupeur de route", même si des proches de la victime sont venus d'Abidjan pour affirmer lundi devant la cour d'assises qu'ils avaient éliminé un innocent.
L'audience s'est achevée lundi soir sur un rebondissement: trois proches qui étaient bloqués jusqu'alors à Abidjan par des problèmes administratifs et assistaient pour la première fois au procès, ne l'ont pas reconnu sur une photo prise par les militaires peu avant sa mort.
"Aucune de ces personnes ne reconnaît la personne dont elle serait le frère, le cousin, la compagne", a constaté un avocat de la défense, Jacques Trémolet de Villers, avant de demander à la cour, comme ses... suite de l'article sur Jeune Afrique
L'audience s'est achevée lundi soir sur un rebondissement: trois proches qui étaient bloqués jusqu'alors à Abidjan par des problèmes administratifs et assistaient pour la première fois au procès, ne l'ont pas reconnu sur une photo prise par les militaires peu avant sa mort.
"Aucune de ces personnes ne reconnaît la personne dont elle serait le frère, le cousin, la compagne", a constaté un avocat de la défense, Jacques Trémolet de Villers, avant de demander à la cour, comme ses... suite de l'article sur Jeune Afrique