Yamoussoukro - La Commission électorale indépendante (CEI) a organisé jeudi à Yamoussoukro, un séminaire d’information et de formation à l’attention d’une trentaine de commissaires centraux sur le nouveau mode de scrutin devant régir les élections régionales et municipales couplées prévues pour se tenir le 24 février 2013.
Pour le président de la CEI, Youssouf Bakayoko, cet autre rendez-vous qui intervient après les élections présidentielles et législatives, lesquelles ont permis la mise en place dans le pays des institutions clés essentielles au fonctionnement d’une nation démocratique, est tout aussi important.
« Nous entrons dans une phase décisive des préparatifs de nos élections qui se dérouleront pour la première fois de façon couplée, dans notre pays. La mise en œuvre effective de ce mode de scrutin inédit pour notre institution constitue un challenge pour nous. Je suis conscient de votre détermination à le réussir, avec le même brio que lors des précédents scrutins », a dit le président de la CEI.
Youssouf Bakayoko a rappelé par ailleurs que les élections de février permettront à la fois de boucler le cycle électoral dont s’est doté le pays et permettront aux régions et communes de se doter d’organes de développement rénovés et redynamisés pour les cinq prochaines années. Il a noté que la semaine dernière, l’Assemblée nationale a adopté les textes législatifs essentiels à l’organisation de ces deux scrutins.
« C’est la raison pour laquelle, nous n’avons pas hésité un seul instant pour accéder à votre demande de renforcement des capacités. Cette formation comportera les étapes majeures notamment la gestion des candidatures, la sensibilisation de la population, le mode de déroulement des scrutins couplés proprement dits », a-t-il dit à l’endroit des participants.
Le premier responsable en charge de l'organisation des élections nationales a souligné que pour ces scrutins, la conduite de chacune des étapes susmentionnées constitue un enjeu majeur, vu le nombre extrêmement important de candidatures attendues, sans commune mesure avec les scrutins passés, car contrairement aux élections antérieures, toutes les candidatures seront composées de listes variant de 25 à 60 voire plus de candidats.
Aussi, le président de la CEI invite-t-il les participants, les organes de presse, les organisations de la société civile, les responsables administratifs, chefs traditionnels et religieux à s’impliquer et à contribuer à l’atteinte de cet objectif.
Samedi, les commissaires régionaux recevront à leur tour des informations et une formation sur le nouveau mode de scrutin retenu pour les régionales et municipales à venir.
Pour le président de la CEI, Youssouf Bakayoko, cet autre rendez-vous qui intervient après les élections présidentielles et législatives, lesquelles ont permis la mise en place dans le pays des institutions clés essentielles au fonctionnement d’une nation démocratique, est tout aussi important.
« Nous entrons dans une phase décisive des préparatifs de nos élections qui se dérouleront pour la première fois de façon couplée, dans notre pays. La mise en œuvre effective de ce mode de scrutin inédit pour notre institution constitue un challenge pour nous. Je suis conscient de votre détermination à le réussir, avec le même brio que lors des précédents scrutins », a dit le président de la CEI.
Youssouf Bakayoko a rappelé par ailleurs que les élections de février permettront à la fois de boucler le cycle électoral dont s’est doté le pays et permettront aux régions et communes de se doter d’organes de développement rénovés et redynamisés pour les cinq prochaines années. Il a noté que la semaine dernière, l’Assemblée nationale a adopté les textes législatifs essentiels à l’organisation de ces deux scrutins.
« C’est la raison pour laquelle, nous n’avons pas hésité un seul instant pour accéder à votre demande de renforcement des capacités. Cette formation comportera les étapes majeures notamment la gestion des candidatures, la sensibilisation de la population, le mode de déroulement des scrutins couplés proprement dits », a-t-il dit à l’endroit des participants.
Le premier responsable en charge de l'organisation des élections nationales a souligné que pour ces scrutins, la conduite de chacune des étapes susmentionnées constitue un enjeu majeur, vu le nombre extrêmement important de candidatures attendues, sans commune mesure avec les scrutins passés, car contrairement aux élections antérieures, toutes les candidatures seront composées de listes variant de 25 à 60 voire plus de candidats.
Aussi, le président de la CEI invite-t-il les participants, les organes de presse, les organisations de la société civile, les responsables administratifs, chefs traditionnels et religieux à s’impliquer et à contribuer à l’atteinte de cet objectif.
Samedi, les commissaires régionaux recevront à leur tour des informations et une formation sur le nouveau mode de scrutin retenu pour les régionales et municipales à venir.