Les travaux du Sommet des chefs d'Etat des pays membres du Conseil de l'Entente, ouvert lundi 17 dans la capitale nigérienne, sous la présidence du chef de l'Etat béninois, Dr Yayi Bony, président en exercice du Conseil, ont pris fin hier. Outre le président hôte, le Nigérien Mahamadou Issoufou, et le président en exercice, Dr Yayi Bony du Bénin, trois autres chefs d'Etat des pays membres du Conseil de l'Entente ont pris une part active aux travaux. Il s'agit de Blaise Compaoré du Burkina Faso, Alassane Ouattara de la Côte d'Ivoire et Faure Gnassingbé du Togo. Au cours de leur session, les chefs d'Etat ont entériné les points examinés et adoptés lors de la réunion des ministres les 15 et 16 décembre dernier à Niamey.
Il s'agit notamment du plan stratégique 2013-2016, du dossier sur la réforme de l'organisation avec l'adoption d'une charte, du budget 2013 et les perspectives. Dans son discours d'ouverture des travaux, le président Yayi Bony avait émis le vœu de pousser la réflexion afin de promouvoir réellement l'intégration économique des pays dans la logique du vœu des pères fondateurs de cette organisation sous-régionale. "Le Conseil de l'Entente est né du souci et de la détermination de ses pères fondateurs de donner espoir à leurs peuples dans leur légitime aspiration pour réaliser une intégration sous-régionale, gage de sécurité, de paix, de stabilité et de prospérité", a-t-il souligné. Intervenant auparavant, le président nigérien Mahamadou Issoufou, a, tout en se félicitant du choix de Niamey pour abriter la présente session, émis le vœu de voir la Guinée Conakry et le Mali rejoindre l'organisation sous-régionale. Créé en mai 1959, le Conseil de l'Entente regroupe le Bénin, le Burkina Faso, la Côte d'Ivoire, le Niger et le Togo.
T.Guy
Il s'agit notamment du plan stratégique 2013-2016, du dossier sur la réforme de l'organisation avec l'adoption d'une charte, du budget 2013 et les perspectives. Dans son discours d'ouverture des travaux, le président Yayi Bony avait émis le vœu de pousser la réflexion afin de promouvoir réellement l'intégration économique des pays dans la logique du vœu des pères fondateurs de cette organisation sous-régionale. "Le Conseil de l'Entente est né du souci et de la détermination de ses pères fondateurs de donner espoir à leurs peuples dans leur légitime aspiration pour réaliser une intégration sous-régionale, gage de sécurité, de paix, de stabilité et de prospérité", a-t-il souligné. Intervenant auparavant, le président nigérien Mahamadou Issoufou, a, tout en se félicitant du choix de Niamey pour abriter la présente session, émis le vœu de voir la Guinée Conakry et le Mali rejoindre l'organisation sous-régionale. Créé en mai 1959, le Conseil de l'Entente regroupe le Bénin, le Burkina Faso, la Côte d'Ivoire, le Niger et le Togo.
T.Guy