L’on en sait un peu plus sur la décision du ministre Alain Lobognon qui a suspendu la Fédération ivoirienne de boxe, le vendredi 28 décembre 2012.
Le président de la Fédération ivoirienne de boxe, Arsène Yoboué, a préféré garder le silence dès l’annonce du ministre le vendredi 28 décembre 2012, après la dissolution pure et simple de la structure qui gère le noble art en Côte d’Ivoire. «Je ne veux pas me prononcer sur cette décision», a-t-il précisé hier, encore au téléphone. Un mutisme qui inquiète ses proches collaborateurs et certains membres de la Conférence des présidents de fédérations qui envisagent de rentrer en négociation avec la tutelle. Mais du côté du ministère, les choses sont claires. Le ministre Alain Lobognon n’a pas pris cette décision de dissolution de la Fédération ivoirienne de boxe de façon fortuite. Des membres de son Cabinet sont unanimes sur un fait et ils l’ont fait savoir en ces termes : «Demandez bien au président Arsène Yoboué ! Il sait pourquoi le ministre a dissout la fédération qu’il dirige. Il a commis une faute lourde qui a valu une sanction au plan international. Il sait pourquoi il refuse de parler». Selon les proches du ministre Alain Lobognon, les malheurs du président Arsène Yoboué prennent leur source au niveau de l’AIBA (Association internationale de boxe Amateur). C’est donc cette faute qui n’a pas échappé à l’instance mondiale du noble art et qui par ricochet, a terni l’image de la Côte d’Ivoire, qui aurait amené le ministre Alain Lobognon à sévir. Un proche du président Arsène Yoboué, précise toutefois, que le ministre recevra une délégation du comité directeur de la Fédération ivoirienne de boxe, ce matin, à son Cabinet. Une chose est sure, de nouvelles élections seront organisées dans ce mois de janvier 2013 pour renouveler les instances dirigeantes de la Fédération. Car Alain Lobognon n’entend pas revenir sur sa décision.
Annoncia Sehoué
Le président de la Fédération ivoirienne de boxe, Arsène Yoboué, a préféré garder le silence dès l’annonce du ministre le vendredi 28 décembre 2012, après la dissolution pure et simple de la structure qui gère le noble art en Côte d’Ivoire. «Je ne veux pas me prononcer sur cette décision», a-t-il précisé hier, encore au téléphone. Un mutisme qui inquiète ses proches collaborateurs et certains membres de la Conférence des présidents de fédérations qui envisagent de rentrer en négociation avec la tutelle. Mais du côté du ministère, les choses sont claires. Le ministre Alain Lobognon n’a pas pris cette décision de dissolution de la Fédération ivoirienne de boxe de façon fortuite. Des membres de son Cabinet sont unanimes sur un fait et ils l’ont fait savoir en ces termes : «Demandez bien au président Arsène Yoboué ! Il sait pourquoi le ministre a dissout la fédération qu’il dirige. Il a commis une faute lourde qui a valu une sanction au plan international. Il sait pourquoi il refuse de parler». Selon les proches du ministre Alain Lobognon, les malheurs du président Arsène Yoboué prennent leur source au niveau de l’AIBA (Association internationale de boxe Amateur). C’est donc cette faute qui n’a pas échappé à l’instance mondiale du noble art et qui par ricochet, a terni l’image de la Côte d’Ivoire, qui aurait amené le ministre Alain Lobognon à sévir. Un proche du président Arsène Yoboué, précise toutefois, que le ministre recevra une délégation du comité directeur de la Fédération ivoirienne de boxe, ce matin, à son Cabinet. Une chose est sure, de nouvelles élections seront organisées dans ce mois de janvier 2013 pour renouveler les instances dirigeantes de la Fédération. Car Alain Lobognon n’entend pas revenir sur sa décision.
Annoncia Sehoué