Sakassou, Les habitants de Sakassou (région de Gbèkè), en majorité des fonctionnaires en service, se sont lancés, depuis quelques mois, dans l’élevage de poulets de chair, afin de combler le déficit en bétail et poissons, au niveau de la localité, a constaté l’AIP.
L’élevage de poulets de chair dans les cours, est en passe d’être une activité qui occupe les temps libres de nombreux fonctionnaires et agents de l’Etat, en service à Sakassou. Les arrière-cours sont transformées en enclos, à l’aide de grillage et des fermes construites, afin de combler un réel besoin de la population en viande, en raison de la rareté de gibier, depuis un certain temps, au sein de la localité.
Le prix du poulet de chair varie entre 4000 francs CFA et 5000 francs CFA, le carton d’œufs varie entre 1900 francs CFA et 2000 francs CFA, tandis que le prix d’un agouti est vendu à 15.000 francs CFA, sur le marché.
Cette rareté du gibier a occasionné une conversion de régime alimentaire chez les populations, en particulier chez les jeunes gens, qui s’adonnent désormais à la pêche aux grenouilles, dans les bas-fonds, entraînant quelque fois des conflits avec les riziculteurs de la localité. Ceux-ci reprochent aux jeunes gens de détruire les retenues d’eau qu’ils visitent pour capturer les grenouilles.
(AIP)
tni/kn/tm
L’élevage de poulets de chair dans les cours, est en passe d’être une activité qui occupe les temps libres de nombreux fonctionnaires et agents de l’Etat, en service à Sakassou. Les arrière-cours sont transformées en enclos, à l’aide de grillage et des fermes construites, afin de combler un réel besoin de la population en viande, en raison de la rareté de gibier, depuis un certain temps, au sein de la localité.
Le prix du poulet de chair varie entre 4000 francs CFA et 5000 francs CFA, le carton d’œufs varie entre 1900 francs CFA et 2000 francs CFA, tandis que le prix d’un agouti est vendu à 15.000 francs CFA, sur le marché.
Cette rareté du gibier a occasionné une conversion de régime alimentaire chez les populations, en particulier chez les jeunes gens, qui s’adonnent désormais à la pêche aux grenouilles, dans les bas-fonds, entraînant quelque fois des conflits avec les riziculteurs de la localité. Ceux-ci reprochent aux jeunes gens de détruire les retenues d’eau qu’ils visitent pour capturer les grenouilles.
(AIP)
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