Les élections municipales de 2013 ont été fixées au 24 Février 2013. Et depuis le Mardi 25 Décembre 2012, La Commission Electorale Indépendante a surpris toutes les formations politiques et mêmes les candidats indépendants, en annonçant la date d’ouverture des dépôts des dossiers de candidature à compter du Mercredi 26 Décembre jusqu’au 10 Janvier 2013.
Cette annonce provoque à n’en point douter un véritable remue ménage au sein des différentes formations politiques qui jusque là n’ont pas encore fini de désigner leur tête de liste. Mais pourquoi donc ce retard alors que cela fait plusieurs mois que la date du 24 Février a été communiquée par le gouvernement ?
Selon des sources bien introduites au sein des différents Etats majors, ce retard serait imputable non seulement aux difficultés rencontrées dans la recherche des consensus, mais à des interventions incongrues et inadaptées de certains délégués et secrétaires de section nommés par eux donc acquis à leur cause.
En effet ayant à leur actifs les contre performances aux présidentielles et aux législatives du fait qu’ils n’ont aucune maîtrise du terrain, ces délégués et secrétaires de section rempilent afin d’induire une fois encore en erreur, la direction du parti.
Depuis les dernières élections municipales de 2001, nous avons tous eu le temps d’apprécier ce qui se fait sur le terrain et qui le fait.
les nombreuses actions de certains candidats ont été maintes fois relayées par la presse, d’autres ont pu produire une compilation de parutions dans un document de type press-book.
Les élections municipales sont faites pour désigner des acteurs de développement et non des acteurs politiques de premier choix. C`est-à-dire que les critères premiers qui doivent guider le choix des têtes de liste apparaissent clairement. Il s’agit de savoir qui a été le plus présent sur le terrain ces dernières années ? Mieux qui à été le plus dans le quotidien des populations ? Ou encore qui bénéficie de l’estime des populations toutes tendances confondues (politiques, religieuses et ethniques)
C’est pourquoi, les critères selon lesquels un tel est le premier représentant du parti dans la région ou dans le département ou encore dans la commune ne nous paraissent pas du tout objectifs. Nous jugeons légitime que des délégués veuillent occuper les têtes de liste, Cependant, la qualité première souhaitée par le Président Henri Konan Bédié, est le choix de celui qui est en parfaite communion et en parfaite complicité avec leurs populations électrices et non avec les secrétaires de section qui jouissent d’une impopularité dans leur base. Pour imager nos propos, prenons le cas de l’équipe nationale de Côte d’Ivoire : Nous savons tous que Laurent Pokou était un grand footballeur. Mais pour la prochaines CAN doit-on le sélectionner au détriment de Didier Drogba ? Nous pensons que non car certes le premier cité fut un grand buteur de tous les temps mais, pour gagner cette CAN, Didier Drogba est le buteur indiqué du moment qui vaille la peine d’être sélectionné. Comme le dirait l’autre : « à chaque époque sa vedette ou son leader et aux âmes bien nées, la valeur n’attend point le nombre d’années. »
CLAUDE KOUASSI (Analyste politique expert en Stratégie Electorale)
Cette annonce provoque à n’en point douter un véritable remue ménage au sein des différentes formations politiques qui jusque là n’ont pas encore fini de désigner leur tête de liste. Mais pourquoi donc ce retard alors que cela fait plusieurs mois que la date du 24 Février a été communiquée par le gouvernement ?
Selon des sources bien introduites au sein des différents Etats majors, ce retard serait imputable non seulement aux difficultés rencontrées dans la recherche des consensus, mais à des interventions incongrues et inadaptées de certains délégués et secrétaires de section nommés par eux donc acquis à leur cause.
En effet ayant à leur actifs les contre performances aux présidentielles et aux législatives du fait qu’ils n’ont aucune maîtrise du terrain, ces délégués et secrétaires de section rempilent afin d’induire une fois encore en erreur, la direction du parti.
Depuis les dernières élections municipales de 2001, nous avons tous eu le temps d’apprécier ce qui se fait sur le terrain et qui le fait.
les nombreuses actions de certains candidats ont été maintes fois relayées par la presse, d’autres ont pu produire une compilation de parutions dans un document de type press-book.
Les élections municipales sont faites pour désigner des acteurs de développement et non des acteurs politiques de premier choix. C`est-à-dire que les critères premiers qui doivent guider le choix des têtes de liste apparaissent clairement. Il s’agit de savoir qui a été le plus présent sur le terrain ces dernières années ? Mieux qui à été le plus dans le quotidien des populations ? Ou encore qui bénéficie de l’estime des populations toutes tendances confondues (politiques, religieuses et ethniques)
C’est pourquoi, les critères selon lesquels un tel est le premier représentant du parti dans la région ou dans le département ou encore dans la commune ne nous paraissent pas du tout objectifs. Nous jugeons légitime que des délégués veuillent occuper les têtes de liste, Cependant, la qualité première souhaitée par le Président Henri Konan Bédié, est le choix de celui qui est en parfaite communion et en parfaite complicité avec leurs populations électrices et non avec les secrétaires de section qui jouissent d’une impopularité dans leur base. Pour imager nos propos, prenons le cas de l’équipe nationale de Côte d’Ivoire : Nous savons tous que Laurent Pokou était un grand footballeur. Mais pour la prochaines CAN doit-on le sélectionner au détriment de Didier Drogba ? Nous pensons que non car certes le premier cité fut un grand buteur de tous les temps mais, pour gagner cette CAN, Didier Drogba est le buteur indiqué du moment qui vaille la peine d’être sélectionné. Comme le dirait l’autre : « à chaque époque sa vedette ou son leader et aux âmes bien nées, la valeur n’attend point le nombre d’années. »
CLAUDE KOUASSI (Analyste politique expert en Stratégie Electorale)