Bondoukou - Le chef de cantonnement des Eaux et Forêts de Bondoukou, Zéli Lia Maubert, appelle les populations locales à la vigilance et à la persévérance dans la lutte contre les feux de brousse fréquents en cette période de sécheresse.
"Nous disons aux populations de Bondoukou, du district du Zanzan de ne pas baisser les bras parce que le feu est dangereux, de ne pas le négliger quelque soit son ampleur", a affirmé M. Zéli face à la presse.
Il a insisté sur la nécessité pour ces populations de faire des pare-feux autour de leurs plantations et de leurs villages, d’éviter de faire le repas en brousse et de jeter des mégots de cigarettes aux abords des routes, en vue de prévenir les feux de brousse.
"Bondoukou n’est pas à l’abri des feux de brousse. Les feux de brousse sont considérés ici comme un fléau eu égard à leur régularité. C’est l’une des principales causes de la pauvreté dans la région, surtout la partie nord (Sorobango, Laoudiba)", a fait savoir, pour sa part, son adjoint, Ossohou Yavo Justin.
M. Ossohou a indiqué que ce fléau qui est principalement du fait de l’homme (par imprudence) dans le département, a causé, de 1999 à 2011, la mort de 21 personnes, la destruction de près de 5000 ha de plantations d’anacarde, de neuf villages et de 384 cases.
Pour faire face à la situation, le cantonnement des Eaux et Forêts a mené plusieurs campagnes de sensibilisation de lutte contre les feux de brousse auprès des populations villageoises, a-t-il souligné.
Il a mis en place 68 comités dans les villages centres et une coordination départementale, et favorisé également la création de trois ONG (Lucofebrou, Trougo et Assanssa) pour la lutte contre les feux de brousse.
Ossohou Yavo Justin a indiqué que ces actions menées sur le terrain ont porté leur fruit, justifiant cela par le recul des feux de brousse dans le département. Toutefois, il a évoqué des problèmes qui freinent leur élan sur le terrain.
"Nous sommes freinés par le manque de moyens. Nous n’arrivons pas à équiper et encadrer les comités mis en place. Les ONG sont également inactives, faute de moyens", a déploré M. Ossohou, soulignant que, malgré toutes ces difficultés, les équipes du cantonnement sont sur le terrain pour vaincre les feux, afin que la zone soit prospère.
"Nous disons aux populations de Bondoukou, du district du Zanzan de ne pas baisser les bras parce que le feu est dangereux, de ne pas le négliger quelque soit son ampleur", a affirmé M. Zéli face à la presse.
Il a insisté sur la nécessité pour ces populations de faire des pare-feux autour de leurs plantations et de leurs villages, d’éviter de faire le repas en brousse et de jeter des mégots de cigarettes aux abords des routes, en vue de prévenir les feux de brousse.
"Bondoukou n’est pas à l’abri des feux de brousse. Les feux de brousse sont considérés ici comme un fléau eu égard à leur régularité. C’est l’une des principales causes de la pauvreté dans la région, surtout la partie nord (Sorobango, Laoudiba)", a fait savoir, pour sa part, son adjoint, Ossohou Yavo Justin.
M. Ossohou a indiqué que ce fléau qui est principalement du fait de l’homme (par imprudence) dans le département, a causé, de 1999 à 2011, la mort de 21 personnes, la destruction de près de 5000 ha de plantations d’anacarde, de neuf villages et de 384 cases.
Pour faire face à la situation, le cantonnement des Eaux et Forêts a mené plusieurs campagnes de sensibilisation de lutte contre les feux de brousse auprès des populations villageoises, a-t-il souligné.
Il a mis en place 68 comités dans les villages centres et une coordination départementale, et favorisé également la création de trois ONG (Lucofebrou, Trougo et Assanssa) pour la lutte contre les feux de brousse.
Ossohou Yavo Justin a indiqué que ces actions menées sur le terrain ont porté leur fruit, justifiant cela par le recul des feux de brousse dans le département. Toutefois, il a évoqué des problèmes qui freinent leur élan sur le terrain.
"Nous sommes freinés par le manque de moyens. Nous n’arrivons pas à équiper et encadrer les comités mis en place. Les ONG sont également inactives, faute de moyens", a déploré M. Ossohou, soulignant que, malgré toutes ces difficultés, les équipes du cantonnement sont sur le terrain pour vaincre les feux, afin que la zone soit prospère.