Yamoussoukro - Me Kouadio-Ahoussou, candidat à l’élection du conseil regional a invité son cadet Aloco Arthur, candidat indépendant aux mêmes élections, à accepter de dialoguer pour juguler le "litige" dans le choix de la tête de liste Pdci dans le Bélier.
"Je voudrais encore lancer cet appel à l’union que mes bras sont encore ouverts, que mes portes sont encore ouvertes. Qu’il vienne, qu’on continue à discuter pour qu’on trouve la forme", s’est adressé le ministre d’Etat auprès du président de la République à Aloco Arthur, lors d’une rencontre avec les chefs traditionnels de la région.
Déplorant que M. Aloco n’ait pas soumis sa candidature à sa délégation de Toumodi contrairement à ce qu’il a fait au niveau de Didiévi conformément à la procédure pour permettre aux six délégués du Pdci d’analyser son dossier, sous la haute direction du parti, l’ancien premier ministre a souligné que son "jeune adversaire" lui a fait part de sa volonté d’être son 1er vice-président, "alors qu’il n’a pas subi l’épreuve de la sélection à la base", a-t-il ajouté.
"Comme nous sommes en politique, aucune porte n’est fermée, moi je suis ouvert et le Pdci est un parti de dialogue", a fait savoir Me Ahoussou, tout en précisant qu’il lui est difficile de rayer un nom pour insérer celui d’Aloco Arthur sur sa liste.
"J’allais être en difficulté avec tous les cadres du parti et ce serait une prime au contournement des règles du Pdci. Je suis un militant discipliné (...) On ne doit pas être un obstacle à la cohésion sociale. Nous avons tous des ambitions, mais il faut savoir les gérer dans les règles qui régissent le parti, les règles qui régissent notre vivre ensemble", a déclaré le député de Didiévi, estimant toutefois que le dialogue est encore possible avec M. Aloco.
"Il peut venir pour qu’on continue la discussion. On s’est rencontré une seule fois... Vous savez, on peut te dire non pour tester ta bonne foi, ton endurance. Or en politique, c’est l’endurance. Qu’il vienne, qu’on rencontre les délégués pour discuter. Qu’on réexamine le dossier. On ne peut pas se dire houphouétiste et arrêter de discuter pour une histoire de vice- président du conseiller régional", a-t-il fait remarquer.
(AIP)
Zgrp/kp
"Je voudrais encore lancer cet appel à l’union que mes bras sont encore ouverts, que mes portes sont encore ouvertes. Qu’il vienne, qu’on continue à discuter pour qu’on trouve la forme", s’est adressé le ministre d’Etat auprès du président de la République à Aloco Arthur, lors d’une rencontre avec les chefs traditionnels de la région.
Déplorant que M. Aloco n’ait pas soumis sa candidature à sa délégation de Toumodi contrairement à ce qu’il a fait au niveau de Didiévi conformément à la procédure pour permettre aux six délégués du Pdci d’analyser son dossier, sous la haute direction du parti, l’ancien premier ministre a souligné que son "jeune adversaire" lui a fait part de sa volonté d’être son 1er vice-président, "alors qu’il n’a pas subi l’épreuve de la sélection à la base", a-t-il ajouté.
"Comme nous sommes en politique, aucune porte n’est fermée, moi je suis ouvert et le Pdci est un parti de dialogue", a fait savoir Me Ahoussou, tout en précisant qu’il lui est difficile de rayer un nom pour insérer celui d’Aloco Arthur sur sa liste.
"J’allais être en difficulté avec tous les cadres du parti et ce serait une prime au contournement des règles du Pdci. Je suis un militant discipliné (...) On ne doit pas être un obstacle à la cohésion sociale. Nous avons tous des ambitions, mais il faut savoir les gérer dans les règles qui régissent le parti, les règles qui régissent notre vivre ensemble", a déclaré le député de Didiévi, estimant toutefois que le dialogue est encore possible avec M. Aloco.
"Il peut venir pour qu’on continue la discussion. On s’est rencontré une seule fois... Vous savez, on peut te dire non pour tester ta bonne foi, ton endurance. Or en politique, c’est l’endurance. Qu’il vienne, qu’on rencontre les délégués pour discuter. Qu’on réexamine le dossier. On ne peut pas se dire houphouétiste et arrêter de discuter pour une histoire de vice- président du conseiller régional", a-t-il fait remarquer.
(AIP)
Zgrp/kp