Ivoiriennes, ivoiriens, chers frères et sœurs,
Des élections législatives partielles se dérouleront le 03 février 2013.
Le nombre de postes de Députés à pourvoir s’élèvent à six (06), pour une population de Deux Cent Quatre-vingt Mille Six Cent Quatre Vingt Douze (280 692) personnes appelées à exercer leur devoir électoral.
Cette élection partielle concerne six (06) Circonscriptions Electorales qui se répartissent en deux (02) catégories :
1) Reprise des élections en raison de la survenance de graves troubles et de désordres constatés sur le terrain, lors de la dernière consultation législative partielle.
La reprise de ces élections législatives partielles concerne :
La Circonscription Electorale n° 091 (FACOBLY, GUEZON, KOUA, SEMIEN, ET TIENY-SEABLY, COMMUNE ET SOUS-PREFECTURES)
La Circonscription Electorale n° 135 (BONON ET ZAGUIETA, COMMUNES ET SOUS-PREFECTURES)
2) Reprise des élections suite au décès de Députés élus lors de la consultation législative générale du 11 décembre 2011.
Les sièges vacants suite au décès des titulaires concernent :
La Circonscription Electorale n° 042 (KOUMASSI COMMUNE)
La Circonscription Electorale n° 086 (BANGOLO, GOHOUO-ZAGNA, KAHIN-ZARABAON ET ZOU, COMMUNES ET SOUS-PREFECTURES)
La Circonscription Electorale n° 102 (BOGUEDIA, ISSIA ET TAPEGUIA, COMMUNES ET SOUS-PREFECTURES)
La Circonscription Electorale n° 125 (CHIEPO, DIDOKO, NEBO ET OGOUDOU, COMMUNES, SOUS-PREFECTURES, DIVO, SOUS-PREFECTURE)
En conséquence, pour pallier les vides occasionnés par ces évènements, la Commission Electorale Indépendante a proposé au Gouvernement la convocation des collèges électoraux des Circonscriptions Electorales susmentionnées pour la date du 03 février 2013.
La campagne électorale pour ces législatives partielles se déroulera du samedi 26 Janvier 2013 à 00 heure et prendra fin le vendredi 1er février à minuit.
Je saisis cette occasion pour appeler l’attention des électrices, des électeurs et des candidats sur l’importance de cette consultation dont le bon déroulement est nécessaire à la certification globale par les Nations Unies de l’élection des députés à l’Assemblée Nationale.
C’est pourquoi, je compte sur la mobilisation massive des électeurs et sur la sérénité nécessaire de la part de tous les acteurs concernés pour que la consultation soit apaisée, transparente, c'est-à-dire conforme aux canons de la légitimité démocratique de nos élus.
Il me revient et il m’incombe également d’insister sur l’importance de l’enjeu que comporte cette consultation partielle dans la mesure où les députés qui seront élus le 03 février 2013, comme leurs honorables collègues déjà élus, auront un mandat national et une mission de réconciliation :
Un mandat national, car chaque élu exerce souverainement et solidairement le pouvoir législatif au nom de l’ensemble de la Nation.
Une mission de réconciliation, car chaque député est l’élu de tous les électeurs de sa Circonscription et représente chacun d’entre eux.
Le Parlement est l’un des pôles essentiels au sein duquel s’exerce l’ardente obligation qui s’impose à chacun d’entre nous : promouvoir la paix par le dialogue et garantir, par le respect de la Constitution et de la loi, l’égalité entre tous les citoyens.
Une campagne électorale apaisée, un processus électoral respecté, un verdict accepté avec
des élus reconnus, tel est le triptyque de la démocratie telle qu’elle nous apparait et telle qu’elle s’impose à nous à l’aune des exigences universelles de la dignité des citoyens et de la responsabilité des élus.
Je vous remercie
Youssouf BAKAYOKO
Président de la CEI
Des élections législatives partielles se dérouleront le 03 février 2013.
Le nombre de postes de Députés à pourvoir s’élèvent à six (06), pour une population de Deux Cent Quatre-vingt Mille Six Cent Quatre Vingt Douze (280 692) personnes appelées à exercer leur devoir électoral.
Cette élection partielle concerne six (06) Circonscriptions Electorales qui se répartissent en deux (02) catégories :
1) Reprise des élections en raison de la survenance de graves troubles et de désordres constatés sur le terrain, lors de la dernière consultation législative partielle.
La reprise de ces élections législatives partielles concerne :
La Circonscription Electorale n° 091 (FACOBLY, GUEZON, KOUA, SEMIEN, ET TIENY-SEABLY, COMMUNE ET SOUS-PREFECTURES)
La Circonscription Electorale n° 135 (BONON ET ZAGUIETA, COMMUNES ET SOUS-PREFECTURES)
2) Reprise des élections suite au décès de Députés élus lors de la consultation législative générale du 11 décembre 2011.
Les sièges vacants suite au décès des titulaires concernent :
La Circonscription Electorale n° 042 (KOUMASSI COMMUNE)
La Circonscription Electorale n° 086 (BANGOLO, GOHOUO-ZAGNA, KAHIN-ZARABAON ET ZOU, COMMUNES ET SOUS-PREFECTURES)
La Circonscription Electorale n° 102 (BOGUEDIA, ISSIA ET TAPEGUIA, COMMUNES ET SOUS-PREFECTURES)
La Circonscription Electorale n° 125 (CHIEPO, DIDOKO, NEBO ET OGOUDOU, COMMUNES, SOUS-PREFECTURES, DIVO, SOUS-PREFECTURE)
En conséquence, pour pallier les vides occasionnés par ces évènements, la Commission Electorale Indépendante a proposé au Gouvernement la convocation des collèges électoraux des Circonscriptions Electorales susmentionnées pour la date du 03 février 2013.
La campagne électorale pour ces législatives partielles se déroulera du samedi 26 Janvier 2013 à 00 heure et prendra fin le vendredi 1er février à minuit.
Je saisis cette occasion pour appeler l’attention des électrices, des électeurs et des candidats sur l’importance de cette consultation dont le bon déroulement est nécessaire à la certification globale par les Nations Unies de l’élection des députés à l’Assemblée Nationale.
C’est pourquoi, je compte sur la mobilisation massive des électeurs et sur la sérénité nécessaire de la part de tous les acteurs concernés pour que la consultation soit apaisée, transparente, c'est-à-dire conforme aux canons de la légitimité démocratique de nos élus.
Il me revient et il m’incombe également d’insister sur l’importance de l’enjeu que comporte cette consultation partielle dans la mesure où les députés qui seront élus le 03 février 2013, comme leurs honorables collègues déjà élus, auront un mandat national et une mission de réconciliation :
Un mandat national, car chaque élu exerce souverainement et solidairement le pouvoir législatif au nom de l’ensemble de la Nation.
Une mission de réconciliation, car chaque député est l’élu de tous les électeurs de sa Circonscription et représente chacun d’entre eux.
Le Parlement est l’un des pôles essentiels au sein duquel s’exerce l’ardente obligation qui s’impose à chacun d’entre nous : promouvoir la paix par le dialogue et garantir, par le respect de la Constitution et de la loi, l’égalité entre tous les citoyens.
Une campagne électorale apaisée, un processus électoral respecté, un verdict accepté avec
des élus reconnus, tel est le triptyque de la démocratie telle qu’elle nous apparait et telle qu’elle s’impose à nous à l’aune des exigences universelles de la dignité des citoyens et de la responsabilité des élus.
Je vous remercie
Youssouf BAKAYOKO
Président de la CEI