Après l’arrestation et l’extradition de Charles Blé Goudé, la sérénité n’est plus de mise dans le camp des pro-Gbagbo exilés au Ghana. À la tête d’une forte délégation, Ahoua Don Mello, Assoa Adou, Justin Koné Katinan et plusieurs jeunes patriotes sont allés solliciter la protection des autorités policières du Ghana.
Quand le vent souffle, chacun cherche à se mettre à l’abri. A la suite du « typhon » qui a projeté le leader des jeunes ’’patriotes’’, Charles Blé Goudé, au bord de la lagune Ebrié, ses amis restés au Ghana prennent leurs dispositions sécuritaires. Le bureau de la Coordination des patriotes en exil (Copie) de Damana Pickas, l’ancien ministre Assoua Adou, président de la coordination des exilés, Ahoua Don Mello et Justin Koné Katinan sont allés le mercredi 23 janvier dernier, rencontrer les autorités ghanéennes. Cette rencontre est la première d’une série d’entretiens en vue entre le Fpi en exil et les autorités d’Accra. A l’issue de cette première séance, qui a eu lieu dans la soirée de mercredi avec les autorités policières du Ghana, les cadres Fpi en exil, ont soutenu avoir été rassurés par leurs hôtes. Les chefs de la police ghanéenne ont invité les visiteurs à la sérénité et au calme. Mais selon Watchard Kedjebo, la délégation du Fpi a discuté avec les autorités policières ghanéennes pour que la lumière soit faite sur les cas de ceux qui sont sous le coup d’un mandat d’arrêt, notamment Koné Katinan, porte-parole de Gbagbo. « Cette rencontre a été demandée et programmée par les exilés pour avoir le cœur net après l’affaire Blé Goudé », a-t-il soutenu. Avant de lever un coin du voile sur l’entretien entre les deux parties sur l’arrestation et l’extradition rapide de Blé Goudé vers Abidjan : « Les autorités ghanéennes et la Direction générale de la police ont rassuré la forte délégation ivoirienne que jamais le Ghana n'extradera un Ivoirien vivant sur son territoire. Toutefois, elles ne peuvent pas s'opposer à la volonté d'un exilé qui désire rentrer dans son pays. Cette nouvelle a apaisé la communauté ivoirienne », a révélé Watchard Kedjebo.
Sam-Wakouboué
Quand le vent souffle, chacun cherche à se mettre à l’abri. A la suite du « typhon » qui a projeté le leader des jeunes ’’patriotes’’, Charles Blé Goudé, au bord de la lagune Ebrié, ses amis restés au Ghana prennent leurs dispositions sécuritaires. Le bureau de la Coordination des patriotes en exil (Copie) de Damana Pickas, l’ancien ministre Assoua Adou, président de la coordination des exilés, Ahoua Don Mello et Justin Koné Katinan sont allés le mercredi 23 janvier dernier, rencontrer les autorités ghanéennes. Cette rencontre est la première d’une série d’entretiens en vue entre le Fpi en exil et les autorités d’Accra. A l’issue de cette première séance, qui a eu lieu dans la soirée de mercredi avec les autorités policières du Ghana, les cadres Fpi en exil, ont soutenu avoir été rassurés par leurs hôtes. Les chefs de la police ghanéenne ont invité les visiteurs à la sérénité et au calme. Mais selon Watchard Kedjebo, la délégation du Fpi a discuté avec les autorités policières ghanéennes pour que la lumière soit faite sur les cas de ceux qui sont sous le coup d’un mandat d’arrêt, notamment Koné Katinan, porte-parole de Gbagbo. « Cette rencontre a été demandée et programmée par les exilés pour avoir le cœur net après l’affaire Blé Goudé », a-t-il soutenu. Avant de lever un coin du voile sur l’entretien entre les deux parties sur l’arrestation et l’extradition rapide de Blé Goudé vers Abidjan : « Les autorités ghanéennes et la Direction générale de la police ont rassuré la forte délégation ivoirienne que jamais le Ghana n'extradera un Ivoirien vivant sur son territoire. Toutefois, elles ne peuvent pas s'opposer à la volonté d'un exilé qui désire rentrer dans son pays. Cette nouvelle a apaisé la communauté ivoirienne », a révélé Watchard Kedjebo.
Sam-Wakouboué