Abidjan -Le président de la Commission électorale indépendante (CEI), Youssouf Bakayoko, et le ministre délégué à la Défense, Paul Koffi Koffi, rassurent les candidats aux élections législatives partielles des dispositions prises pour la sécurisation de la campagne électorale et du scrutin du 3 février.
Lors d’une rencontre, vendredi, au siège de la CEI, Youssouf Bakayoko et Paul Koffi Koffi ont mis en garde qu’"aucun débordement ne sera toléré".
"Nous serons présents pendant la campagne, pendant le vote et à toutes les étapes. Nos hommes seront déployés et vont quadriller toutes les localités où se dérouleront les scrutins", a dit le ministre Koffi Koffi.
Il a assuré qu’aucun Dozo ne sera autorisé à sécuriser le scrutin en substitution aux forces de sécurité, tout en demandant aux candidats de ne pas faire appel, dans leurs états-major, à ces chasseurs traditionnels.
"A vous candidats, je demande de ne pas faire appel aux Dozos", s’est-il adressé à eux.
Pour sa part, le directeur de cabinet du ministre d’Etat, ministre de l’Intérieur et de la Sécurité, Bamba Cheick Daniel, qui a assisté à la rencontre, a fait savoir que "le corps préfectoral qui ne s’ingérera pas dans le processus électoral, sera néanmoins là pour soutenir la CEI".
De leur côté, les candidats ont pris l’engagement de bien se tenir sur le terrain et de sensibiliser leurs partisans sur la notion de fair-play et de l’esprit de tolérance.
Outre les circonscriptions électorales où des députés décédés seront pourvus au terme des élections partielles organisées par les nouvelles commissions locales de la CEI, le 3 février prochain, Bonon et Facobly où des violences ont émaillé le scrutin participeront également à ce scrutin.
Devant les commandants des Forces républicaines de Côte d’Ivoire (Frci), de la police nationale, de l’Opération des Nations unies en Côte d’Ivoire (Onuci), Youssouf Bakayoko a rappelé qu’il revient aux candidats de donner l’exemple en adoptant un comportement empreint de fair-play, relevant du code de bonne conduite.
(AIP)
kkp/kp
Lors d’une rencontre, vendredi, au siège de la CEI, Youssouf Bakayoko et Paul Koffi Koffi ont mis en garde qu’"aucun débordement ne sera toléré".
"Nous serons présents pendant la campagne, pendant le vote et à toutes les étapes. Nos hommes seront déployés et vont quadriller toutes les localités où se dérouleront les scrutins", a dit le ministre Koffi Koffi.
Il a assuré qu’aucun Dozo ne sera autorisé à sécuriser le scrutin en substitution aux forces de sécurité, tout en demandant aux candidats de ne pas faire appel, dans leurs états-major, à ces chasseurs traditionnels.
"A vous candidats, je demande de ne pas faire appel aux Dozos", s’est-il adressé à eux.
Pour sa part, le directeur de cabinet du ministre d’Etat, ministre de l’Intérieur et de la Sécurité, Bamba Cheick Daniel, qui a assisté à la rencontre, a fait savoir que "le corps préfectoral qui ne s’ingérera pas dans le processus électoral, sera néanmoins là pour soutenir la CEI".
De leur côté, les candidats ont pris l’engagement de bien se tenir sur le terrain et de sensibiliser leurs partisans sur la notion de fair-play et de l’esprit de tolérance.
Outre les circonscriptions électorales où des députés décédés seront pourvus au terme des élections partielles organisées par les nouvelles commissions locales de la CEI, le 3 février prochain, Bonon et Facobly où des violences ont émaillé le scrutin participeront également à ce scrutin.
Devant les commandants des Forces républicaines de Côte d’Ivoire (Frci), de la police nationale, de l’Opération des Nations unies en Côte d’Ivoire (Onuci), Youssouf Bakayoko a rappelé qu’il revient aux candidats de donner l’exemple en adoptant un comportement empreint de fair-play, relevant du code de bonne conduite.
(AIP)
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