ABIDJAN -- Le président de la Commission électorale indépendante (CEI) Youssouf Bakayoko a invité vendredi à Abidjan les candidats aux élections législatives partielles et les électeurs à une campagne électorale civilisée.
M. Bakayko qui adressait un message à l'occasion de l'organisation imminente du scrutin local a indiqué que le bon déroulement de l'élection législative partielle est nécessaire à la certification globale par les Nations Unies de l'élection des députés à l'Assemblée nationale.
"Je compte sur la mobilisation massive des électeurs et sur la sérénité nécessaire de la part de tous les acteurs concernés pour que la consultation soit apaisée, transparente, c'est-à-dire conforme aux canons de la légitimité démocratique de nos élus", a souligné le président de la Commission électorale.
"Une campagne électorale apaisée, un processus électoral respecté, un verdict accepté avec des élus reconnus, tel est le triptyque de la démocratie telle qu'elle nous apparaît et telle qu'elle s'impose à nous à l'aune des exigences universelles de la dignité des citoyens et de la responsabilité des élus", a-t-il insisté.
Pour celui-ci, le Parlement est l'un des pôles essentiels au sein duquel s'exerce l'ardente obligation qui s'impose à chacun de promouvoir la paix par le dialogue et garantir, par le respect de la Constitution et de la loi, l'égalité entre tous les citoyens.
L'élection législative partielle est prévue pour le 3 février 2013. La campagne électorale démarre samedi à 00 heure et prendra fin le vendredi 1er février à minuit.
Le processus de démocratisation est en cours en Côte d'Ivoire, avec l'organisation de l'élection législative partielle qui sera suivie du scrutin municipal et des élections régionales.
La Commission électorale indépendante, structure en charge de l'organisation pratique des élections, tente de relever un autre défi après avoir organisé l'élection présidentielle et les élections législatives générales.
M. Bakayko qui adressait un message à l'occasion de l'organisation imminente du scrutin local a indiqué que le bon déroulement de l'élection législative partielle est nécessaire à la certification globale par les Nations Unies de l'élection des députés à l'Assemblée nationale.
"Je compte sur la mobilisation massive des électeurs et sur la sérénité nécessaire de la part de tous les acteurs concernés pour que la consultation soit apaisée, transparente, c'est-à-dire conforme aux canons de la légitimité démocratique de nos élus", a souligné le président de la Commission électorale.
"Une campagne électorale apaisée, un processus électoral respecté, un verdict accepté avec des élus reconnus, tel est le triptyque de la démocratie telle qu'elle nous apparaît et telle qu'elle s'impose à nous à l'aune des exigences universelles de la dignité des citoyens et de la responsabilité des élus", a-t-il insisté.
Pour celui-ci, le Parlement est l'un des pôles essentiels au sein duquel s'exerce l'ardente obligation qui s'impose à chacun de promouvoir la paix par le dialogue et garantir, par le respect de la Constitution et de la loi, l'égalité entre tous les citoyens.
L'élection législative partielle est prévue pour le 3 février 2013. La campagne électorale démarre samedi à 00 heure et prendra fin le vendredi 1er février à minuit.
Le processus de démocratisation est en cours en Côte d'Ivoire, avec l'organisation de l'élection législative partielle qui sera suivie du scrutin municipal et des élections régionales.
La Commission électorale indépendante, structure en charge de l'organisation pratique des élections, tente de relever un autre défi après avoir organisé l'élection présidentielle et les élections législatives générales.