• Excellence, Monsieur le Premier Ministre et cher frère,
• Excellence, Monsieur le Premier Ministre et cher Frère,
• Messieurs les Ministres d’Etat ;
• Mesdames et Messieurs les Ministres ;
• Excellences Mesdames et Messieurs les Ambassadeurs ;
• Honorables Membres de la délégation burkinabé ;
• Mesdames et Messieurs ;
Je voudrais, dès l’entame de la réunion de ce jour, vous réitérer, à vous-même ainsi qu’aux illustres membres de la délégation de haut niveau qui vous accompagne, nos souhaits de cordiale et fraternelle bienvenue en Côte d’Ivoire, ainsi que j’ai eu l’occasion de vous l’exprimer hier, à l’Aéroport Felix Houphouët BOIGNY, à votre arrivée.
Je me félicite d’autant plus de votre visite en terre ivoirienne, Excellence, que celle-ci s’inscrit dans le cadre du raffermissement des liens déjà excellents d’amitié et de fraternité qui unissent si harmonieusement nos deux Chefs d’Etat et nos deux peuples.
Ce lien séculaire de fraternité, renforcé par notre solidarité, est forgé et scellé par l’histoire, la culture et la géographie, ainsi que par une communauté de destin et d’intérêt. Il est aussi, je puis l’affirmer, le réceptacle d’une appartenance commune à diverses organisations sous régionales, Conseil de l’Entente, UEMOA, CEDEAO et j’en passe.
Bien plus, nos deux Chefs d’Etat, leurs Excellences Messieurs BLAISE COMPAORE, Président du Burkina Faso et ALASSANE OUATTARA, Président de la République de Côte d’Ivoire partagent une forte convergence de vues dans la conduite des dossiers touchant à la politique internationale et, plus particulièrement aux questions de coopération.
• Excellence, Monsieur le Premier Ministre,
Il est en effet heureux de constater que ces relations profondes et historiques, malheureusement perturbées pendant un moment par les effets pervers de la grave crise que notre pays a connue, repartent de plus belle, consolidées par la confiance, l’amitié sincère et l’estime réciproque de nos deux Chefs d’Etat.
Cela est d’autant plus important que nos deux pays se sont fixés ensemble, à travers le traité d’amitié et de coopération signé le 29 juillet 2008 à Ouagadougou, des objectifs communs, qui doivent nous permettre de tracer les sillons de la croissance, du développement et de la coopération sous régionale.
Nos Etats ont ainsi convenu, entre autres :
➢ de créer un cadre de concertation permanent entre nos deux pays qui doit notamment conduire à mettre en place un partenariat dynamique en vue de garantir la stabilité et la prospérité de nos pays ;
➢ de consolider les relations privilégiées de fraternité et de coopération dans les grands domaines d’intérêt commun, notamment politique, socio-culturel, scientifique, judiciaire, de défense, de sécurité, d’environnement et de droits humains entre nos deux pays ;
➢ de stimuler le processus d’intégration sous- régionale ;
➢ et de promouvoir le bien–être des peuples Burkinabé et ivoiriens.
Et nous nous rappelons tous que dans ce cadre, s’est tenue le vendredi 18 novembre 2011, sous la co-présidence de Leurs Excellences Messieurs Blaise COMPAORE, Président du Burkina Faso et Alassane OUATTARA, Président de la République de Côte d’Ivoire, la deuxième Conférence au Sommet qui fait suite à celle tenue en 2009 à Yamoussoukro.
Nous avons également souvenance que cette conférence au Sommet a été très fructueuse, puisqu’elle a permis aux deux plus hautes autorités de nos Etats respectifs de prendre des décisions et des engagements importants pour nos deux peuples.
Les dix-sept (17) points qui furent les pierres d’angle du communiqué final concernent, des domaines assez divers et variés, entre autres, la politique et l’intégration sous régionale, le projet de l’autoroute Yamoussoukro-Ouagadougou, la réhabilitation et le prolongement du chemin de fer de la RAN (Régie de chemin de fer d’Abidjan jusqu’à Niamey), le domaine du foncier rural et l’agriculture, la coopération énergétique et minière ainsi que la coopération douanière et transfrontalière, la sécurité et la libre circulation des personnes et des biens.
• Excellence, Monsieur le Premier Ministre et cher frère,
Notre mission, aujourd’hui et demain, au cours des différentes séances de travail entre nos deux délégations, consistera, notamment, à préparer la conférence au Sommet de nos deux Chefs d’Etats, prévue pour se tenir au cours du premier trimestre de cette année 2013 en Côte d’Ivoire.
Il s’agira notamment pour nous, d’évaluer l’état de mise en œuvre des décisions prises et des recommandations faites au cours de la deuxième Conférence au Sommet mais également de définir les perspectives nouvelles en vue de la consolidation et du renforcement de la coopération entre nos deux pays.
Je note donc qu’il nous faut, au niveau des deux délégations, travailler ensemble et sans relâche à répertorier les avancées concrètes et pratiques, envisager les moyens appropriés pour leur consolidation, mais également et surtout, identifier les points de blocage, les retards observés ainsi que les dysfonctionnements, de façon à nous donner les moyens de lever les obstacles qui freinent le fonctionnement et le progrès harmonieux de tout le dispositif mis en place.
• Excellence Monsieur le Premier Ministre, cher frère,
• Mesdames et Messieurs,
Je reste convaincu de l’engagement personnel, de la détermination et de la disponibilité de nos délégations respectives à œuvrer de concert, avec diligence et efficacité, afin de créer les conditions de la tenue effective de la prochaine Conférence au sommet devant réunir Leurs Excellences Messieurs Blaise COMPAORE et Alassane OUATTARA.
Avant de terminer, permettez-moi d’adresser, à vous-même, Excellence Monsieur le Premier Ministre, au Gouvernement et au peuple Burkinabé, nos vives et chaleureuses félicitations pour l’historique et méritée qualification de votre brillante équipe de football à la phase finale de la CAN 2013 en Afrique du Sud. Très bonne chance pour la suite.
Sur ces notes d’espoir, et tout en vous renouvelant l’expression de nos sentiments fraternels, je souhaite plein succès aux travaux de notre rencontre préparatoire à la troisième conférence au sommet Burkinabé-Ivoirienne du premier trimestre 2013.
Je vous remercie de votre aimable attention.
• Excellence, Monsieur le Premier Ministre et cher Frère,
• Messieurs les Ministres d’Etat ;
• Mesdames et Messieurs les Ministres ;
• Excellences Mesdames et Messieurs les Ambassadeurs ;
• Honorables Membres de la délégation burkinabé ;
• Mesdames et Messieurs ;
Je voudrais, dès l’entame de la réunion de ce jour, vous réitérer, à vous-même ainsi qu’aux illustres membres de la délégation de haut niveau qui vous accompagne, nos souhaits de cordiale et fraternelle bienvenue en Côte d’Ivoire, ainsi que j’ai eu l’occasion de vous l’exprimer hier, à l’Aéroport Felix Houphouët BOIGNY, à votre arrivée.
Je me félicite d’autant plus de votre visite en terre ivoirienne, Excellence, que celle-ci s’inscrit dans le cadre du raffermissement des liens déjà excellents d’amitié et de fraternité qui unissent si harmonieusement nos deux Chefs d’Etat et nos deux peuples.
Ce lien séculaire de fraternité, renforcé par notre solidarité, est forgé et scellé par l’histoire, la culture et la géographie, ainsi que par une communauté de destin et d’intérêt. Il est aussi, je puis l’affirmer, le réceptacle d’une appartenance commune à diverses organisations sous régionales, Conseil de l’Entente, UEMOA, CEDEAO et j’en passe.
Bien plus, nos deux Chefs d’Etat, leurs Excellences Messieurs BLAISE COMPAORE, Président du Burkina Faso et ALASSANE OUATTARA, Président de la République de Côte d’Ivoire partagent une forte convergence de vues dans la conduite des dossiers touchant à la politique internationale et, plus particulièrement aux questions de coopération.
• Excellence, Monsieur le Premier Ministre,
Il est en effet heureux de constater que ces relations profondes et historiques, malheureusement perturbées pendant un moment par les effets pervers de la grave crise que notre pays a connue, repartent de plus belle, consolidées par la confiance, l’amitié sincère et l’estime réciproque de nos deux Chefs d’Etat.
Cela est d’autant plus important que nos deux pays se sont fixés ensemble, à travers le traité d’amitié et de coopération signé le 29 juillet 2008 à Ouagadougou, des objectifs communs, qui doivent nous permettre de tracer les sillons de la croissance, du développement et de la coopération sous régionale.
Nos Etats ont ainsi convenu, entre autres :
➢ de créer un cadre de concertation permanent entre nos deux pays qui doit notamment conduire à mettre en place un partenariat dynamique en vue de garantir la stabilité et la prospérité de nos pays ;
➢ de consolider les relations privilégiées de fraternité et de coopération dans les grands domaines d’intérêt commun, notamment politique, socio-culturel, scientifique, judiciaire, de défense, de sécurité, d’environnement et de droits humains entre nos deux pays ;
➢ de stimuler le processus d’intégration sous- régionale ;
➢ et de promouvoir le bien–être des peuples Burkinabé et ivoiriens.
Et nous nous rappelons tous que dans ce cadre, s’est tenue le vendredi 18 novembre 2011, sous la co-présidence de Leurs Excellences Messieurs Blaise COMPAORE, Président du Burkina Faso et Alassane OUATTARA, Président de la République de Côte d’Ivoire, la deuxième Conférence au Sommet qui fait suite à celle tenue en 2009 à Yamoussoukro.
Nous avons également souvenance que cette conférence au Sommet a été très fructueuse, puisqu’elle a permis aux deux plus hautes autorités de nos Etats respectifs de prendre des décisions et des engagements importants pour nos deux peuples.
Les dix-sept (17) points qui furent les pierres d’angle du communiqué final concernent, des domaines assez divers et variés, entre autres, la politique et l’intégration sous régionale, le projet de l’autoroute Yamoussoukro-Ouagadougou, la réhabilitation et le prolongement du chemin de fer de la RAN (Régie de chemin de fer d’Abidjan jusqu’à Niamey), le domaine du foncier rural et l’agriculture, la coopération énergétique et minière ainsi que la coopération douanière et transfrontalière, la sécurité et la libre circulation des personnes et des biens.
• Excellence, Monsieur le Premier Ministre et cher frère,
Notre mission, aujourd’hui et demain, au cours des différentes séances de travail entre nos deux délégations, consistera, notamment, à préparer la conférence au Sommet de nos deux Chefs d’Etats, prévue pour se tenir au cours du premier trimestre de cette année 2013 en Côte d’Ivoire.
Il s’agira notamment pour nous, d’évaluer l’état de mise en œuvre des décisions prises et des recommandations faites au cours de la deuxième Conférence au Sommet mais également de définir les perspectives nouvelles en vue de la consolidation et du renforcement de la coopération entre nos deux pays.
Je note donc qu’il nous faut, au niveau des deux délégations, travailler ensemble et sans relâche à répertorier les avancées concrètes et pratiques, envisager les moyens appropriés pour leur consolidation, mais également et surtout, identifier les points de blocage, les retards observés ainsi que les dysfonctionnements, de façon à nous donner les moyens de lever les obstacles qui freinent le fonctionnement et le progrès harmonieux de tout le dispositif mis en place.
• Excellence Monsieur le Premier Ministre, cher frère,
• Mesdames et Messieurs,
Je reste convaincu de l’engagement personnel, de la détermination et de la disponibilité de nos délégations respectives à œuvrer de concert, avec diligence et efficacité, afin de créer les conditions de la tenue effective de la prochaine Conférence au sommet devant réunir Leurs Excellences Messieurs Blaise COMPAORE et Alassane OUATTARA.
Avant de terminer, permettez-moi d’adresser, à vous-même, Excellence Monsieur le Premier Ministre, au Gouvernement et au peuple Burkinabé, nos vives et chaleureuses félicitations pour l’historique et méritée qualification de votre brillante équipe de football à la phase finale de la CAN 2013 en Afrique du Sud. Très bonne chance pour la suite.
Sur ces notes d’espoir, et tout en vous renouvelant l’expression de nos sentiments fraternels, je souhaite plein succès aux travaux de notre rencontre préparatoire à la troisième conférence au sommet Burkinabé-Ivoirienne du premier trimestre 2013.
Je vous remercie de votre aimable attention.